France. Démantèlement d’un réseau de faussaires lié à l’ambassade du Congo
FAITS DIVERS. Les personnes produisaient et vendaient des faux documents à destination de clandestins, et pour organiser des arnaques aux crédits à la consommation. Une enquête commencée en septembre 2020, mais pas encore close. Selon Le Parisien , un réseau de production de faux documents administratifs a été démantelé ces derniers mois, qui œuvrait avec la complicité d’employés de l’ambassade de la République du Congo. Treize personnes auraient été mises en examen, et un des faussaires interpellés en mars dernier aurait été remis en liberté, alors que le travail des enquêteurs se poursuit. C’est tout une «officine» qui a été mise au jour, par la sous-direction de lutte contre l’immigration irrégulière du ministère de l’Intérieur. Elle produisait d’abord des faux documents, vendus à des résidents en situation irrégulière… Lire la suite sur LeFigaro.fr
« ANTONIO » est mort (Anto na Nganda)
La mort a apporté pour son dernier grand voyage ANTONIO, de son vrai nom Antoine Ebouélé, ce 29 Décembre 2012 à Paris (France) Employé à l’Ambassade du Congo en France depuis quelques années, Antonio s’était surtout rendu célèbre dans les années 60, précisément entre 1964 et 1965, lorsque le chanteur Joseph Mulamba « Mujos » lui a dédié la chanson « Anto na Nganda », merveilleusement rendue par Les Bantous de la Capitale. Une chanson qui avait fait fureur à cette époque où « Nganda Faignond » (au bas fond du quartier Massengo) faisait fureur. Tout comme Les Bantous au sommet de leur gloire. Taximen populaire, Antonio était le grand ami de tous. Il était plus qu’un artiste, pour lequel les grands noms du show bis se disputaient les services, pour sa gentillesse et surtout pour sa connaissance de tous les coins et recoins de Brazzaville et ses environs. Il était pour tout le monde un modèle de vie, un exemple à suivre. La mort d’Antonio est pour ceux qui l’ont connu, toutes ses amies des associations féminines de « Chez Faignond », tous ses amis, tous les mélomanes des Bantous de l’époque, une grande tristesse. Nombreux sont ceux qui témoignent qu’il était le meilleur des meilleurs, après Mandola que les brazzavillois ont connu dans les années 50/60 ; taximen célèbre pour lequel Les Bantous avait également dédié une chanson. Ci-après le programme des obsèques d’ANTONIO publié par les services de l’Ambassade du Congo en France : – Jeudi 3 Janvier 2013 de 18 h à l’aube, veillée mortuaire 1 avenue Jenny 92000 Nanterre – Vendredi 4 Janvier de 11 à 12 heures la levé du corps Au funérarium des Batignolles (Porte de Clichy) – 13 à 14 Heures départ du corps au fret aérien – 14 à 17 heures Apéritif au N° 1 Avenue Jenny.Adieu l’artiste. Repose en paix.
Fête de la musique congolaise le 21 juin à l’ambassade du Congo à Paris
Les plus belles voix de la musique congolaise se donnent rendez-vous, le 21 juin 2012, de 18h à 22h, à l’Ambassade du Congo à Paris, pour un grand spectacle. A l’occasion de la Fête internationale de la musique, célébrée à travers le monde le 21 juin de chaque année. La grande Fête de la musique congolaise réunira des artistes d’exception aux horizons divers dans un concert live qui s’annonce haut en couleur. Participeront à ce show : les artistes Zoungou Soul, M’Passi, Lapiosh, Melka Amany, Top Frisson et Ameni Gospel Singers. Entrée sur invitation (réservation obligatoire avant le 14 : cabcongofrance@yahoo.fr)Patricia L. Engali