Les violences sexuelles sont utilisées comme arme de guerre dans de nombreux conflits. En Centrafrique, une victime livre un témoignage accablant.
La Cour pénale internationale vient à la rencontre des victimes des crises qui ont ensanglanté la République centrafricaine.
Son président, le juge Piotr Hofmanski, est en visite de travail à Bangui. L’occasion pour lui de discuter avec les autorités mais surtout d’échanger avec les victimes des crimes de guerre relevant de la compétence de la CPI.
Cette cour met d’ailleurs en œuvre un fonds au profit des victimes.
Agnès Yangakola est l’une des bénéficiaires de ce fonds, elle vivait à Bambari, dans le centre du pays, au moment des faits et elle explique, dans un témoignage terrible, comment les Séléka l’ont violé, ont tué son mari, son garçon et sa sœur…
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