Rabat Business School et l’Institut supérieur international de tourisme de Tanger signent un accord de partenariat

Rabat Business School et l’Institut supérieur international de tourisme de Tanger signent un accord de partenariat

L’Institut supérieur international de tourisme de Tanger (ISIT) et Rabat Business School (Université internationale de Rabat) ont signé un accord de partenariat portant sur la mise en œuvre d’un « plan de développement d’une offre de formation supérieure en tourisme/hôtellerie/restauration ». La formation initiale, la formation continue, la recherche-développement-innovation, l’entrepreneuriat, le conseil et consulting constituent les composantes principales de cet accord. Plusieurs formules sont explorées pour faire émerger une offre de formation innovante et à forte valeur ajoutée comme la double diplomation, la validation des acquis de l’expérience, la délocalisation de modules, de semestres et de mobilité maroco-marocaine (étudiants/ professeurs…) entre les deux établissements ainsi que l’exportation des ressources et d’ingénierie à l’international…etc. Le premier projet d’opérationnalisation de ce partenariat concerne le « Master en Tourisme et Hospitality Management » de Rabat Business School, pour lequel les deux parties mettent d’ores et déjà en œuvre des actions d’information et de communication auprès des professionnels, tant sur le plan régional que national, afin d’assurer une forte « professionnalisation » des futurs lauréats du Master. Ce programme, qui fait partie des dix programmes de Masters proposés par Rabat Business School sur le campus de l’Université Internationale de Rabat, a pour objectif de former des cadres supérieurs polyvalents capables d’assurer le management et la gestion d’entreprises touristiques et hôtelières dans le cadre de la vision sectorielle du Royaume. Ce Master intègre notamment un stage rémunéré en Floride (USA), dans le cadre du partenariat entre Walt Disney World et Rabat Business School.

Signature d’un accord de partenariat relatif aux ODD entre le HCP, le PNUD et 10 agences des Nations Unies au Maroc

Signature d’un accord de partenariat relatif aux ODD entre le HCP, le PNUD et 10 agences des Nations Unies au Maroc

Le Haut commissaire au plan, Ahmed Lahlimi Alami et la Représentante Résidente du PNUD au Maroc, Martine Therer ont présidé, le mardi 22 janvier au siège du HCP, une cérémonie au cours de laquelle ils ont signé, ainsi que 10 agences des Nations Unies au Maroc, un accord de partenariat pour l’appui et le suivi des Objectifs de développement durable au Maroc. Cet accord qui s’inscrit dans le cadre de l’Agenda 2030 pour le Développement Durable et du Plan Cadre des Nations Unies d’Aide au Développement (UNDAF) 2017-2021, se fixe comme objectif  l’élaboration d’un cadre de référence pour le suivi et le reporting des ODD au Maroc et de contribuer à l’éclairage des décideurs politiques et de l’opinion publique sur les réalisations nationales dans ce domaine. D’une durée de 3 ans, il s’articule autour de quatre composantes portant sur l’exploitation des données statistiques et des indicateurs de performance relatifs aux programmes de réalisation des ODD, l’élaboration de rapports périodiques de suivi et de reporting qui rendent comptent de ces derniers, aux niveaux national et territorial avec l’appui des dispositifs de coordination et de concertation nécessaires à cet effet, et la promotion, dans ce domaine, des performances du Maroc à travers les réseaux sud-sud et triangulaires de coopération. Le présent accord fait suite à celui de 2012-2016, relatif aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), conclu  en décembre 2012  entre le HCP, le PNUD et les autres agences des Nations Unies, lequel avait posé les principaux jalons de la démarche intersectorielle dans la réalisation des OMD au Maroc et a permis un reporting régulier sur l’état d’avancement de la réalisation de ces derniers dans ce pays, aux niveaux national et régional, et ce dans une démarche participative incluant les départements ministériels, les acteurs de la société civile, le secteur privé et les agences des Nations Unies au Maroc. Cette cérémonie s’est déroulée en présence du Représentant du Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdellah Ben Mellouk, Directeur de la Coopération multilatérale et des Affaires économiques internationales et du Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies au Maroc, Philippe Poinsot. L’accord a été signé au nom du HCP par Ahmed Lahlimi Alami, au nom du PNUD par Martine Therer et paraphé par Lilia Naas Hachem, Directrice du Bureau de la CEA pour l’Afrique du Nord, Florence Rolle, Représentante de la FAO au Maroc, Ana Fonseca, Chef de Mission de l’OIM, Maryam Bigdeli, Représentante Résidente de l’OMS, Leila Rhiwi, Représentante du Bureau Multi-pays de l’ONU Femmes Maghreb, Kamal Alami, Directeur Pays de l’ONUSIDA, Golda El Khoury, Représentante du Bureau de l’UNESCO pour le Maghreb, Abdel-Ilah Yaakoubd, Représentant Assistant et Coordonateur Programme du FNUAP, Mme Giovanna Barberis, Représentante Résidente de l’UNICEF et Zena Ali Ahmad, Directeur du bureau régional des Etats Arabes de l’ONU-Habitat.

Airbus, Bombardier et Investissement Québec concluent leur accord de partenariat du programme C Series pour une entrée en vigueur le 1er juillet 2018.

Airbus, Bombardier et Investissement Québec concluent leur accord de partenariat du programme C Series pour une entrée en vigueur le 1er juillet 2018.

Disposant de toutes les autorisations règlementaires requises, Airbus SE (EPA : AIR), Bombardier Inc. (TSX : BBD.B) et Investissement Québec (IQ) sont parvenus à un accord pour que leur partenariat sur le C Series entre en vigueur à partir du 1er juillet 2018. Cette transaction par laquelle Airbus acquiert une part majoritaire dans la Société en commandite Avions C Series (SCACS) avait été initialement annoncée en octobre 2017. Ce partenariat basé à Mirabel et initié à l’origine entre Bombardier et Investissement Québec (IQ), bénéficiera de la portée et de la présence mondiale d’Airbus, ainsi que de son expertise en matière de vente, de marketing et d’achats afin de produire la gamme d’avions de ligne de toute dernière génération C Series de 100 à 150 sièges. Airbus travaillera avec ses partenaires Bombardier et IQ afin de valoriser pleinement le potentiel du C Series et d’apporter beaucoup plus de valeur aux clients, fournisseurs, employés et actionnaires, ainsi qu’aux collectivités au sein desquelles le partenariat opèrera. Le siège, la principale chaîne d’assemblage et les fonctions associées seront basées à Mirabel, au Québec. Comme annoncé précédemment, Bombardier continuera son plan actuel de financement de SCACS. En raison de la clôture anticipée du partenariat, les conditions de ce plan sont mises à jour conformément à l’échéancier suivant : Bombardier financera les déficits de trésorerie de SCACS, si nécessaire, au cours du second semestre de 2018, jusqu’à un maximum de 225 millions $ US; jusqu’à un maximum de 350 millions $ US en 2019; et jusqu’à un montant total maximum de 350 millions $ US au cours des deux années suivantes, en échange d’unités participantes de SCACS avec droit à un dividende annuel cumulatif de 2 %. Tout déficit de trésorerie excédentaire enregistré au cours de ces périodes sera partagé proportionnellement entre les porteurs d’actions classe A de SCACS. Airbus intègrera SCACS dans son périmètre à compter du 1er juillet 2018. Plus d’information financière sur l’opération sera fournie plus tard cette année. Le programme C Series poursuit sa montée en cadence. Après 17 avions livrés en 2017 l’objectif est de doubler les livraisons en 2018. Avec cet accord de partenariat, et les performances de ces avions largement éprouvés en service, les parties s’attendent à une demande accrue, nécessitant la création d’une deuxième chaîne d’assemblage final du C Series à Mobile, en Alabama, afin de servir les clients américains. Cette gamme d’appareils est bien placée pour conquérir une large part du marché de 6000 avions dont les sociétés estiment avoir besoin au cours des 20 prochaines années. Tom Enders, Président exécutif (CEO) d’Airbus, a déclaré à cette occasion : « ce partenariat renforce notre engagement envers le Québec et toute la communauté aérospatiale canadienne. Nous sommes ravis d’accueillir autant de collègues du programme C Series dans la grande famille Airbus. La force de toute notre organisation est maintenant au service du C Series. Grâce à ce partenariat, ces avions atteindront leur plein potentiel sur le marché et compléteront notre offre globale de produits, apportant ainsi beaucoup de valeur à Airbus, nos clients et nos actionnaires. » Pour sa part, Alain Bellemare, président et chef de la direction de Bombardier, a déclaré que « cet accord marque le début d’un nouveau chapitre passionnant pour le C Series et l’industrie aéronautique canadienne ». « Les avions C Series sont largement reconnus comme étant les avions les plus avancés et performants de leur catégorie, et ce partenariat ne fera que renforcer leur succès commercial. Ensemble, nous allons apporter d’incroyables plus-values et opportunités aux compagnies aériennes, fournisseurs, actionnaires et employés », a-t-poursuivi. « En alliant la technologie aéronautique la plus innovante et efficiente au monde, conçue et fabriquée au Québec, au savoir-faire et à la présence sur le marché d’Airbus, nous créons une dynamique totalement nouvelle dans un segment prometteur, a déclaré Dominique Anglade, vice-première ministre du Québec, ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique. Et de rappeler: « nous assurons la croissance des appareils C Series et le maintien de plus de 2 000 emplois qui en dépendent à Mirabel. En plus de conserver les activités d’ingénierie, de recherche et de développement ainsi que le siège social de la C Series au Québec, ce partenariat fait de Montréal le plus grand centre de recherche et développement d’Airbus hors de l’Europe, ce qui représente de nombreuses possibilités pour toute notre industrie aérospatiale. » Philippe Balducchi, chef de la direction du partenariat C Series, a estimé qu’« avec cette opportunité, l’équipe C Series au Québec est fière de participer au renforcement du succès de ces avions exceptionnels ». Selon lui, « nos équipes ont travaillé sans relâche et en un temps record pour rapprocher les cultures et les opérations. Nous sommes certains que ce partenariat gagnant-gagnant sera une formidable réussite commerciale. La composition de l’équipe dirigeante du partenariat C Series reflète nos principes de réunir les meilleurs talents que possèdent les deux parties. Aujourd’hui, nous sommes prêts à aller de l’avant et à offrir à nos clients les meilleurs avions qui soient sur leur segment. »

Cyclisme : Les ligues de Brazzaville et de Kinshasa signent un accord de partenariat

Cyclisme : Les ligues de Brazzaville et de Kinshasa signent un accord de partenariat

La ligue départementale de cyclisme du Congo-Brazzaville et celle provinciale de Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC) ont signé, le 21 mai 2017 à Kinshasa, un accord de partenariat. Selon le document, cet accord est signé afin de faciliter l’échange d’expérience entre les deux ligues et qu’il soit bénéfique à tous les cyclistes des deux ligues. Il vise également à permettre la relance d’un challenge instituant une course inter-villes rotatives qui serait pris en charge par les municipalités. Les deux parties ont aussi convenu de la prise en charge des délégations respectives par la ligue hôtesse et que chaque délégation sera composée au maximum de six coureurs et de deux dirigeants. Les coureurs congolais ont à cet effet pris part à une course Grand prix pour la journée de l’Afrique organisée par l’Union africaine et la ligue provinciale de Cyclisme de Kinshasa (LIPROCYKIN). A son arrivée à la direction de la ligue départementale, Champion Bakouétana s’était fixé trois préoccupation à atteindre, à savoir, le développement de l’élitisme dans les sports de compétition ; le retour à la belle époque par le retour des foules enthousiastes le long des artères pour applaudir les caravanes cyclistes pour vivre le spectacle et le retour des lettres de noblesse du cyclisme après quasiment deux décennies d’anéantissement de tout genre avec des conséquences graves sur la performance ayant fait chuter ce sport de la moyenne du cyclisme à 15 km/h et la revaloriser au moins à 36 km/h qui est la valeur moyenne dans la sous-région.