RD Congo. RAM : Ce qui choque dans la nouvelle mesure de son arrêt
OPINION. 1. L’annonce laconique de l’arrêt de la mesure du RAM qui a fait couler tant d’encre et de salive fait révulser les bonnes consciences. Les prélèvements d’une taxe de 7 dollars l’an par les opérateurs mobiles sur les unités de communication rechargées par des dizaines de millions de leurs abonnés ont dû générer des centaines de millions de dollars pour une taxe mise en application il y a quasi deux années. Après avoir rançonné tout un peuple pendant de longs mois, le gouvernement prend la mesure de son arrêt sans justifier où sont allés les fonds rackettés. L’Ecofin ( Commission économique et financière de l’Assemblée Nationale) avoue n’avoir noté la traçabilité de l’argent de RAM ni dans les documents comptables de la Banque centrale ni dans aucune autre régie financière du pays. Le gouvernement doit donc rendre des comptes à ceux qui se sont sentis lésés et spoliés sur leurs maigres revenus. 2. L’on se souviendra que depuis le 24 septembre 2020, la taxe RAM a été mise en place avec l’objectif, selon l’ARPTC, de protéger les utilisateurs contre les effets néfastes des téléphones contrefaits, de lutter contre le vol des appareils mobiles et d’optimiser la qualité du réseau en éliminant les téléphones contrefaits sur le marché congolais, etc. L’on constate fort malheureusement que depuis son lancement, aucun bilan n’a été présenté sur ces missions. Combien de téléphones contrefaits ont été déclassés? La qualité du service s’est-elle améliorée? Aucun signal positif sur le marché d’usage ne vient appuyer ces bonnes intentions. Dans la suite, le ministre Kibassa et le président de l’ARPTC se sont longuement étendus sur d’autres nobles motivations d’après lesquelles les recettes de RAM allaient entre autre contribuer à soutenir la politique nationale de la gratuité scolaire et du mega projet de l’installation des wifi sur les campus des universités de l’Etat congolais. Il faudra aussi ici faire un inventaire pour savoir ce qui a été réellement fait en vue de juger l’Exécutif sur ses propres paroles. 3. À propos d’un ACTE ILLÉGAL flagrant tel les prélèvements du RAM, l’on se souvient que le droit congolais interdit de lui accorder un sursis. En termes clairs, aussitôt que la mesure d’arrêt a été annoncée le vendredi 18 février par le Ministre de PTNTIC, l’Etat congolais devait sur-le-champ cesser de lui faire produire des effets. La prorogation de cette mesure scélérate jusqu’au 1 er mars 2022 entérine, si besoin en est, les comportements délictueux des auteurs de ce racket. Le ministre des PTNTIC se rend même ridicule lorsqu’il prétend que d’ici à cette échéance, le temps sera mis à profit pour comprendre, entreprendre les travaux techniques de réinitialisation des paramètres de la base des données pour qu’il n’y ait aucune ponction. Le hic est que le gouvernement a eu tout le temps pour comprendre son mode opératoire de racket et ce sursis de dix jours est la preuve que le voleur ne se gêne même plus de le faire en flagrance ou de faire amende honorable. Bref, pour paraphraser la Lucha en rapport avec la levée de mesure sur le RAM, « c’est trop peu et c’est trop tard. ». Le mal est déjà fait. Et cette décision tardive est juste une demie-victoire pour tous ceux qui se sont mobilisés contre ce vol en bande organisée au sommet de l’Etat. Pour que la victoire du peuple soit TOTALE dans ce dossier, il faut revenir sur les voies de droit pour établir les mécanismes internes de ce dossier RAM que l’histoire du Congo Kinshasa retient comme un des plus grands crimes financiers économiques opérés au vu et au su de tous contre les citoyens congolais. Il faut coûte que coûte que les congolais se constituent en partie civile pour entamer des poursuites judiciaires contre les auteurs directs et intellectuels de ce forfait. En croisant les avis des uns et des autres, deux exigences du peuple congolais semblent prendre le dessus : – primo que toute la lumière soit faite sur les responsables directs et indirects de ce vol organisé au sommet de l’Etat et – secundo que soient établis clairement le volume et la destination des sommes d’argent déjà collectées illégalement ainsi que les modalités de leur remboursement aux consommateurs lésés. Par Germain Nzinga
RD Congo. RAM ou la défaite du peuple congolais…
TRIBUNE. Le premier mois de cette nouvelle année est en train de toucher à sa fin et pourtant le RAM continue d’imposer bon an mal an son calvaire sur des millions des congolaises et des congolais. RAM refuse d’être supprimé, nonobstant tout l’arbitraire qui s’ajoute au vol massif des misérables citoyens et toute la grande clameur du peuple. La ferme prise de position de la chambre basse du parlement congolais et les manifestations pacifiques de nombreuses associations civiles n’ont pu rien changer. Pourtant… Pourtant toutes les preuves de son irrégularité et illégalité ont été démontrées. Tenez! D’abord l’alors vice-président de l’AN qui avait affirmé de vive voix le lundi 11 octobre 2021 devant les députés de l’Union sacrée que le RAM n’était pas géré par le ministre Augustin Kibassa mais directement par la PRÉSIDENCE de la République. Puis est venu le tour de la commission Economique, financière et contrôle budgétaire (ECOFIN) de l’Assemblée nationale à enfoncer le clou. Lors de la présentation en plénière du rapport de ses délibérations le samedi 11 décembre 2021, le porte-parole de l’ECOFIN a déclaré : “Votre commission a le regret de vous annoncer que le RAM n’est ni dans le budget général, ni dans les comptes spéciaux même là où on ne peut pas le trouver dans les budgets annexes. Nous sommes allés jusque-là, on n’a pas retrouvé RAM”. Aucune traçabilité non plus de l’argent perçu dans les régies financières du pays… Dans la suite du débat et délibération, la majorité des députés a fait bloc avec ce verdict final : “La SUPPRESSION de RAM doit s’imposer comme seule solution responsable de la part de la commission ECOFIN. C’est en effet inconcevable en finances publiques qu’un tel prélèvement autoritaire par un service de l’État ne soit renseigné nulle part sur son affectation et sans justification aucune». Nous avons désormais l’avantage d’initier l’année 2022 en connaissant exactement qui est le responsable numéro un de cette escroquerie et son mode opératoire consistant à jouer avec le temps et avec l’amnésie légendaire des congolais. Le parlement dans sa majorité congolais s’est exprimé contre. Le peuple dans son ensemble refuse de subir la loi des prélèvements de l’argent qui ne prend pas le chemin du Trésor public. Toutes les preuves de l’escroquerie notoire sont mises sur la table. Même l’institution judiciaire qui a voulu s’en mêler est bâillonnée. Pour avoir notifié une sommation judiciaire pour stopper les prélèvements RAM, le Greffier Jules Ngoy a passé sa première nuit à Makala ce Mercredi. Le fait que ni l’institution parlementaire ni la justice ne réussissent plus à agir pour rétablir la justice est la preuve de plus que derrière le RAM se cachent des réseaux mafieux très puissants qui abusent du pouvoir d’Etat pour escroquer tout un peuple. Tous les congolais crient désespérément à l’arnaque publique. Mais le président congolais persiste et signe… Il se montre sourd et impitoyable. Il ne se sent même pas obligé de s’expliquer et se mure dans une indifférence qui frise un mépris total pour le peuple à qui il a le devoir de rendre compte. Ce RAM illégal et maintenu de force envers et contre tout doit désormais être considéré comme l’expression de la DÉFAITE la plus humiliante du peuple congolais. La première de cette nouvelle année avant celle plus crucifiante de 2023 prochain. Honte à nous ! Honte à tout un peuple qui a choisi de vivre dans la servitude volontaire ! Par Germain Nzinga
Maroc: La CGEM conduit une mission économique en Israël
En marge de l’ouverture de la nouvelle route aérienne reliant Casablanca à Tel-Aviv, la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) organise une mission économique à Tel-Aviv, du 12 au 15 décembre prochain. La délégation marocaine, qui sera conduite par M. Chakib ALJ, Président de la CGEM, est composée de plus de 70 opérateurs économiques représentant les différents secteurs d’intérêt commun identifiés tels que le tourisme, l’industrie, l’agriculture, la technologie et l’innovation, l’éducation, la santé, la finance et les assurances, les énergies renouvelables, la grande distribution ou encore le textile. L’objectif étant d’explorer les pistes de renforcement des liens économiques et commerciaux et de créer de fortes synergies entre les communautés des affaires marocaine et israélienne. « Au vu des similitudes et des complémentarités que présentent les économies marocaine et israélienne, d’innombrables opportunités s’offrent à nos opérateurs économiques respectifs et ce, dans différents secteurs et sur de nouveaux marchés. Cette mission vise à construire, avec nos homologues israéliens, des partenariats d’affaires gagnant-gagnant porteurs de croissance pour nos entreprises nationales » indique M. ALJ. À noter que le programme de la mission inclut un forum économique Israël-Maroc, organisé le 13 décembre en partenariat avec la Israeli Employers and Business Organization (IEBO) en présence d’entreprises israéliennes, des rencontres BtoB, ainsi que des visites de sites industriels et agricoles.
RDC : A l’écoute des victimes du RAM…
I. Voici entre autres messages qui parviennent aux nombreux utilisateurs de téléphonie immédiatement après recharge de leurs téléphones : 1. « Cher utilisateur, votre solde est insuffisant pour payer les frais RAM. Composez *1100*1# yes et alimentez votre compte afin d’acheter des forfaits. Merci » 2. « Merci pour votre paiement. Votre échéance du RAM n’a pu être entièrement réglée. Veuillez recharger 0,81 USD sur votre compte. »3. « Vous avez été débité de USD 0, 630587 pour l’échéance 1/6. Plus d’info sur www.ram.cd ou en envoyant votre IMEI par SMS au 470. » 3. « Il vous reste USD 0,630597 à payer pour compléter l’échéance 1/6. Plus d’info sur www.ram.cd ou en envoyant l’IMEI par SMS au 470 » etc. II. En faisant une investigation sur les dégâts collatéraux du RAM, nous avons choisi de donner la parole aux victimes de cette escroquerie d’Etat et voici dans les lignes qui suivent, les cris de détresse qui sortent de leurs propres cœurs meurtris. 1. « Je ne comprends plus rien de cette histoire avec crédits téléphone surtout Vodacom. Hier j’ai mis 20$ de crédit à mon téléphone et après deux coups de fil, l’opératrice me répond : « vous n’avez plus de crédit ». J’interroge mon entourage et c’est qu’ils me parlent de RAM. Mais de quoi s’agit-il ? Je voudrais bien comprendre ? 2. Je me posais la même question avec la connexion internet. 1Gb s’épuise en moins d’une heure chez @airtelrdc et @AfricellRDCongo » 3. « Ngai na lembi déjà toujours 1/6, je ne comprends même pas ce que ça signifie » 4. « Moi aussi j’en suis victime, pour hier seulement Vodacom m’a pris 6$ de crédits » 5. « Hier! J’avais eu ma dose 225u 125u Vodacom et 100u pour un même téléphone…4eme vague de RAM très mortelle.. » 6. « Avec RAM, même nous qui sommes la base de l’UDPS, nous sommes Contre. Nous n’avons pas fait 38 ans de lutte pour soutirer les unités même aux plus démunis! » 7. « Vraiment le gouvernement Sama dit des « warriors » est la sommation du néant et du vide, le tout élevé au carré » 8. « On n’est même plus à l’aise dans notre propre pays en matière de communication et le gouvernement ne dit mot … Les warriors, manifestez vous … » 9. « #RDC: Si la DGI ne reconnait pas RAM comme taxe et la DGRAD non plus comme impôts , sikoyo RAM yango eza nini ??? » 10. « Et le pire dans tout cela est que l’IGF n’aboie même pas lui qui est censé être défenseur des caisses de l’état c’est bien triste où allons- nous? À quand la rédemption du Congo » Par Germain Nzinga
RD Congo. Ce RAM qui persiste à étrangler tout un peuple…
POLEMIQUE. Que veut bien cacher la proposition de Christophe Mboso et de Jean-Marc Kabund faite lundi passé aux députés de l’union sacrée de supprimer le RAM uniquement pour les téléphones de la deuxième génération (2G) et de le maintenir sur tous les autres téléphones???? D’où vient leur volonté clairement affichée de protéger le Ministre Kibassa et de maintenir coûte que coûte le RAM alors que la traçabilité de versements de RAM n’est visible ni à la banque centrale ni dans la comptabilité des régies financières congolaises? Que peut bien cacher ce mensonge public du Ministre Kiabassa faisant une déclaration globale de 25 millions de $ de recettes de RAM qui sont largement en-deçà des recettes réelles qui, selon une étude menée, avoisinent déjà 912 millions de $ perçus depuis le début de perception de cette taxe scélérate? L’odeur d’escroquerie d’état ou plutôt, pour être plus précis, d’un petit groupe mafieux devient insupportable pour tout un peuple. Lorsqu’à leur dernière rencontre de lundi passé à l’hôtel du Fleuve, J.-M. Kabund signifie clairement aux députés de l’USN que « le RAM est géré par la présidence et non par le ministre Kibassa » et quand le PM Sama implore les mêmes députés de maintenir le RAM pour « ne pas perdre la face devant l’opposition », la vérité éclate sur la place publique, fournissant des preuves accablantes qui attestent clairement que derrière Kibassa, agissent des commanditaires beaucoup plus puissants que le ministre et qui s’avèrent les véritables donneurs d’ordre dans ce dossier maffieux et révoltant. Décidément le RAM est en train de devenir un véritable baromètre du quinquennat de Félix Tshisekedi. Si rien de concret ne sera fait à l’assemblée nationale pour le supprimer, l’opinion publique congolaise en déduira que le jusqu’au-boutisme du ministre Kibassa et le silence complice du chef de l’Etat sont là l’expression d’un régime devenu sourd au cri d’un peuple spolié et étranglé jusqu’à son dernier souffle par ses propres dirigeants. Par Germain Nzinga
RD Congo. RAM. Cette arnaque rendue officielle…
RD Congo. RAM : Cette arnaque rendue officielle… OPINION. Le Registre d’Appareils Mobiles (RAM ), lancé depuis mai 2020 pour lutter contre les téléphones contrefaits, s’est transformé en un véritable cauchemar pour le peuple congolais. En plus d’être imposé abusivement sur les utilisateurs des téléphones, il demeure la seule taxe d’impôt au monde qui est perçue DOUBLEMENT selon la SIM utilisée sur le même téléphone acheté et qui, dans le prélèvement sur chaque recharge d’unités, est régulièrement perçue sans quittance, sans reçu ni même une preuve de paiement et, cerise sur le gâteau, sans aucune contrepartie en faveur du client à qui l’on fait payer des sommes inutiles et injustes. Pour tout dire, un “smarttheft”, une arnaque intelligente. Une grande escroquerie rendue officielle. Nous assistons au scénario d’un État qui dépouille et ruine son propre peuple devant les yeux du monde entier… Par Germain Nzinga
Royal Air Maroc et Egyptair signent un partenariat de partage de codes
Royal Air Maroc et Egyptair ont signé un accord de partage de codes (code-share) qui est entré en vigueur hier, mardi 28. Grâce à ce partenariat, chacune des deux compagnies pourra commercialiser, sous son propre code, les vols directs opérés par les deux transporteurs entre Casablanca et Le Caire. « Cette nouvelle étape de coopération commerciale offrira aux passagers qui souhaitent voyager entre le Maroc et l’Egypte, plus de facilités et de possibilités de transport, en termes d’horaires et de fréquences, des connexions plus courtes, avec l’objectif de pérenniser et de développer les flux de trafic entre nos deux pays », indique Abdelhamid ADDOU, Président Directeur Général de Royal Air Maroc. En effet, grâce à cet accord, les deux compagnies membres toutes les deux de l’AACO (Organisation Arabe du Transport aérien) et de l’AFRAA (Association des compagnies aériennes africaines), offriront à leurs passagers plus de choix pour se déplacer sur les douze fréquences par semaine mises en place par les deux transporteurs et opérées à différents horaires ainsi que des connexions plus courtes. Les liens entre le Maroc et l’Egypte bénéficieront en outre de la contribution conjointe des réseaux de distribution des deux compagnies aériennes qui permettra de mieux promouvoir cette desserte. « Nous sommes très heureux de conclure cet accord avec Royal Air Maroc », souligne de son côté Safwat MUSALLAM, Président Directeur Général d’Egyptair Holding. ce qui nous permettra de mutualiser les réseaux et les services des deux compagnies pour offrir à nos clients un choix de fréquences plus large et des connexions plus pratiques, sachant que cela n’est qu’une première étape dans la perspective de renforcer davantage ce partenariat dans le futur», poursuit-il. Royal Air Maroc bénéficie déjà à ce jour de nombreux accords bilatéraux de “code-share” avec certaines des plus grandes compagnies internationales, renforçant de ce fait son maillage commercial et opérationnel au bénéfice de la destination Maroc et démultipliant les possibilités de service offertes à ses passagers.
Royal Air Maroc ouvre une nouvelle ligne Casablanca-Essaouira
A compter du 12 septembre courant, Royal Air Maroc desservira la ville d’Essaouira au départ de Casablanca à raison de trois fréquences par semaine. La nouvelle ligne aérienne Casablanca-Essaouira, mise en place dans le cadre d’une convention signée avec la région Marrakech-Safi, renforce le réseau domestique de la compagnie qui compte désormais 22 liaisons reliant les différentes villes du Royaume, a annoncé la direction de la compagnie aérienne marocaine. L’inauguration de cette ligne fait suite aux efforts conjoints de Royal Air Maroc, du ministère du Tourisme, du Transport aérien, de l’Artisanat et de l’Economie sociale ainsi que de l’ensemble des acteurs régionaux institutionnels et professionnels, a indiqué la compagnie dans un communiqué. « Elle va permettre de contribuer au développement d’une destination riche d’un fort potentiel touristique grâce à ses atouts naturels, historiques et culturels, notamment sa médina classée depuis 2001 au patrimoine mondial de l’UNESCO », a-t-elle expliqué. Grâce à cette ligne, Essaouira sera reliée directement à la métropole casablancaise et elle sera surtout connectée aux 90 destinations internationales du réseau de Royal Air Maroc. « L’ouverture de cette liaison s’inscrit dans la mission de Royal Air Maroc en tant qu’acteur majeur de la promotion et du développement touristique national. La compagnie renforce également son implication au service du développement territorial dans le cadre de la stratégie de régionalisation avancée du Royaume », souligne Abdelhamid Addou, président Directeur Général de Royal Air Maroc. A travers une série de conventions passées avec différentes régions du Royaume (Draa Tafilalet, Tanger- Tétouan- El Hoceima, Oriental, Laâyoune6 Sakia Elhamra, Dakhla- Oued Eddahab, Guelmim- Oued Noun, Marrakech-Safi), Royal Air Maroc entend ainsi contribuer au renforcement de l’attractivité des régions ainsi qu’à leur désenclavement et leur développement touristique. Par ailleurs, le renforcement de ces partenariats a permis de développer de manière notoire le transport aérien intérieur, a ajouté le document notant que la compagnie marocaine transporte près d’un million de passagers par an sur les vols domestiques. A souligner que les vols, qui seront opérés en ATR72 d’une capacité de 70 sièges, sont d’ores et déjà proposés à la vente sur le site www.royalairmaroc.com, dans les agences commerciales de la compagnie et sur le réseau des agences de voyages.