TRIBUNE. Pour ce trentième sommet de l’Union Africaine, il convient pour l’institution panafricaine de pouvoir redoubler d’efforts afin de lutter contre la corruption qui entrave le développement social et économique du continent.
La corruption est un mal absolu pour qui retarde les pays d’Afrique dans leur marche
vers le progrès tant espérer.
Il importe de révéler que les ressources provenant de l’exportation des matières premières, ressources énergétiques et produits agricoles et une infime nombre de produits manufacturés doivent servir à être investis dans les secteurs de l’éducation, la santé, et l’action sociale mais aussi dans la mise à disposition des fonds par les pouvoirs publics auprès des potentiels acteurs économiques locaux et autres opérateurs économiques locaux afin que ceux-ci puissent initier des investissements dans les secteurs industriels
aux moyens d’obtentions de prêts ou de garanties en vue de créer des petites et moyennes
entreprises pourvoyeurs d’emplois pour des milliers de personnes au chômage dans les pays.
Nos gouvernants dans les pays d’Afrique se doivent de combattre la corruption et autres
détournements de fonds publics qui sont des réalités qui n’augurent aucune possibilité pour les pays d’enclencher leurs pas de géant dans le développement de leurs tissus sociaux et économiques.
Christian LOUHOU KINSANGOU, Melun, France