Le Royaume pointe au 12ème rang ex æquo avec l’Egypte sur 21 pays arabes
Le classement des pays arabes en matière de liberté économique au titre de l’année en cours a été dévoilé, en marge de la 11ème Conférence annuelle de liberté économique dans le monde arabe tenue récemment à Rabat.
Il ressort de ce nouveau classement que le Maroc a gagné deux places, passant de la 14ème position à la 12ème dans le monde arabe. L’indice de liberté économique du Royaume est passé à 6,6 points contre 6,5 points l’année d’avant.
Le Maroc campe ainsi au-delà du milieu de tableau des 21 pays examinés, ex æquo avec l’Egypte, juste dernière le Yémen (9ème, 7,2 points), l’Arabie Saoudite (10ème, 7 points) et la Tunisie (11ème, 6,8 points). Il devance Djibouti (14ème, 6,5 points), les Comores (15ème, 6,3 points), le Soudan (16ème, 6,1 points) et la Mauritanie (17ème, 5,9 points).
A l’échelle de la région Afrique du Nord, le Maroc se situe loin devant de la Lybie (19ème rang) et de l’Algérie (20ème rang) avec respectivement des scores de 5,6 et 5,5 points. Il est à souligner que cet indice de liberté économique est établi sur la base de cinq critères prenant en considération : «La taille du gouvernement : les dépenses, les impôts et les projets», «La loi commerciale et l’assurance des droits de propriété», «La capacité d’obtenir la monnaie et les facilitions financières», «La liberté de commerce au niveau international», ainsi que «La règlementation du crédit et des activités commerciales ».
En détail, l’analyse des conclusions de cette étude fait ressortir que le score du Maroc en ce qui concerne la taille du gouvernement a augmenté de 0,1 point à 6,2. Ce qui le place au 14ème rang, au coude à coude avec le Koweït (14ème) et derrière les Comores (10ème), la Tunisie, le Qatar et l’Egypte qui occupent le même rang (11ème).
Au niveau de la structure juridique et la sécurité de la propriété, la position du Maroc est restée inchangée, comme l’année dernière (7ème rang). Son score est passé de 7,2 à 7,3 points.
Avec un score de 7,3 points, le Maroc se classe à la 18ème place en matière d’accès au secteur de l’argent. En ce qui concerne la liberté de négociation, le Maroc a vu son score s’améliorer, passant de 0,3 à 5,9 points. Mais en débit de cette évolution, il est classé 19ème comme l’année dernière.
En revanche, la note marocaine dans le domaine du crédit, de la main-d’œuvre et de la réglementation des entreprises a baissé de 6,2 à 6,1. En la matière, le Maroc est passé du 11ème au 14ème rang.
A noter que les Emirats arabes unis avec un score de 8,2 points, la Jordanie (8,1 points) et le Bahreïn (8) constituent respectivement les champions des pays arabes en matière de liberté économique. Le trio de tête est suivi par le Koweït (7,8 points), le Liban (7,7 points), Oman (7,7 points), le Qatar (7,6 points) ainsi que les Territoires palestiniens (7,3). La queue du peloton revient à la Syrie (21ème) avec 5,4 points.
Le Maroc campe ainsi au-delà du milieu de tableau des 21 pays examinés, ex æquo avec l’Egypte, juste dernière le Yémen (9ème, 7,2 points), l’Arabie Saoudite (10ème, 7 points) et la Tunisie (11ème, 6,8 points). Il devance Djibouti (14ème, 6,5 points), les Comores (15ème, 6,3 points), le Soudan (16ème, 6,1 points) et la Mauritanie (17ème, 5,9 points).
A l’échelle de la région Afrique du Nord, le Maroc se situe loin devant de la Lybie (19ème rang) et de l’Algérie (20ème rang) avec respectivement des scores de 5,6 et 5,5 points. Il est à souligner que cet indice de liberté économique est établi sur la base de cinq critères prenant en considération : «La taille du gouvernement : les dépenses, les impôts et les projets», «La loi commerciale et l’assurance des droits de propriété», «La capacité d’obtenir la monnaie et les facilitions financières», «La liberté de commerce au niveau international», ainsi que «La règlementation du crédit et des activités commerciales ».
En détail, l’analyse des conclusions de cette étude fait ressortir que le score du Maroc en ce qui concerne la taille du gouvernement a augmenté de 0,1 point à 6,2. Ce qui le place au 14ème rang, au coude à coude avec le Koweït (14ème) et derrière les Comores (10ème), la Tunisie, le Qatar et l’Egypte qui occupent le même rang (11ème).
Au niveau de la structure juridique et la sécurité de la propriété, la position du Maroc est restée inchangée, comme l’année dernière (7ème rang). Son score est passé de 7,2 à 7,3 points.
Avec un score de 7,3 points, le Maroc se classe à la 18ème place en matière d’accès au secteur de l’argent. En ce qui concerne la liberté de négociation, le Maroc a vu son score s’améliorer, passant de 0,3 à 5,9 points. Mais en débit de cette évolution, il est classé 19ème comme l’année dernière.
En revanche, la note marocaine dans le domaine du crédit, de la main-d’œuvre et de la réglementation des entreprises a baissé de 6,2 à 6,1. En la matière, le Maroc est passé du 11ème au 14ème rang.
A noter que les Emirats arabes unis avec un score de 8,2 points, la Jordanie (8,1 points) et le Bahreïn (8) constituent respectivement les champions des pays arabes en matière de liberté économique. Le trio de tête est suivi par le Koweït (7,8 points), le Liban (7,7 points), Oman (7,7 points), le Qatar (7,6 points) ainsi que les Territoires palestiniens (7,3). La queue du peloton revient à la Syrie (21ème) avec 5,4 points.