RETRO. Aux éditions musicales « Esengo », de l’éditeur grec Dino Antonopoulos, les orchestres Rock-A-Mambo et African jazz amènerent entre 1957-1959 des révolutions imprévisibles dans la technique des enregistrements dont le résultat est demeuré historique.
Avec une prodigieuse maîtrise, les musiciens des deux groupes dirigés par Nino Malapet et Joseph Kabasele furent d’authentiques novateurs sur le plan harmonique et rythmique, comme en témoigne ce prodigieux cha cha cha : « Li duo Maravilla », une composition de Nico Kasanda. (1957)
Ci-après la formation « African-Rock » pour cette œuvre :
Chant : Kale – Lando « Rossignol »
Saxo : Nino Malapet, Menga André Clarinette : Essous (clarinette)
Guitare solo : Nico Kasanda – guitare rythmique : Mwamba Dechaud
Contrebasse : Honoré Liengo
Percussions : Saturnin Pandi
Notons qu’aux éditions Esengo, on comptait également un troisième orchestre : Conga Jazz de Paul Ebengo « Dewayon » faisant partie de « l’African-Rock ».
Clément ossinondé
Bonjour mon Grand,
Belle histoire de notre musique !
J’apprécie les commentaires si dessous par ce que c’est la version que j’ai vécu moi même par ce que j’étais fanatique et le suis jusqu’à présent du mouvement African jazz, Rock’Africa et la série continue. J’encourage l’initiative.