IFC investit dans Bénin Terminal pour stimuler les échanges et créer des emplois au Bénin et en Afrique de l’Ouest

IFC investit dans Bénin Terminal pour stimuler les échanges et créer des emplois au Bénin et en Afrique de l’Ouest

La Société financière internationale (IFC) a annoncé (28 novembre 2024, DNR) un financement en faveur de Bénin Terminal (BT), le plus grand terminal à conteneurs du pays, afin d’améliorer les opérations du Port de Cotonou et de stimuler les échanges commerciaux au Bénin et en Afrique de l’Ouest. IFC prêtera jusqu’à 20 millions d’euros à BT, qui est une filiale d’Africa Global Logistics (AGL) détenue par Mediterranean Shipping Company Holding SA (MSC), la plus grande compagnie de transport de conteneurs au monde. Ce financement, qui s’inscrit dans le cadre d’un vaste plan d’investissement de 165 millions d’euros de BT pour améliorer ses opérations, permettra à ce dernier d’accroître sa capacité d’accostage et de stockage. À la suite des travaux d’améliorations financées par ce financement, qui marque le tout premier investissement direct d’IFC dans le secteur des infrastructures du Bénin, IFC estime que l’activité accrue du terminal ajouterait une valeur brute estimée à 873 millions de dollars à l’économie du Bénin (soit l’équivalent d’environ 1,2 % de son PIB) et soutiendrait plusieurs milliers d’emplois indirects et induits supplémentaires d’ici 2035. Les aménagements effectués contribueront à réduire les goulots d’étranglement et à accroître considérablement l’efficacité des opérations de manutention des conteneurs et la qualité des services du terminal. Le projet augmentera la capacité du terminal en doublant le nombre et la longueur des quais et en équipant ce dernier de nouvelles grues de manutention respectueuses de l’environnement. Il contribuera aussi à l’agrandissement sur 15 hectares de l’espace de stockage et à la modernisation de l’accès au terminal et accroîtra ainsi de 33 % la capacité statique de ce dernier. Le projet mettra aussi l’accent sur la durabilité et l’atténuation des effets du changement climatique en appliquant les normes de performance d’IFC. Le projet sera mis en œuvre sous le label « Green Terminal » d’AGL, qui a pour objet d’améliorer la performance environnementale et de formaliser les engagements écologiques de l’entreprise dans le secteur de la logistique. « Nous nous réjouissons de travailler en partenariat avec IFC dans le cadre de ce projet transformateur », a déclaré Fabrice Ture, directeur général de Bénin Terminal. « L’expansion de notre terminal améliorera considérablement nos opérations, et renforcera l’attractivité du Bénin en tant que pôle régional pour le commerce. Ce projet témoigne de notre détermination à contribuer au développement économique du Bénin et de l’Afrique de l’Ouest en général. » « La promotion de l’industrialisation de l’économie béninoise, notamment grâce à l’expansion des infrastructures de transport et de la logistique qui la soutient, est un aspect essentiel de la stratégie d’IFC au Bénin », a déclaré Olivier Buyoya, directeur régional d’IFC pour l’Afrique de l’Ouest. « En augmentant la capacité de Bénin Terminal, nous facilitons le commerce régional et nous améliorons la connectivité et la logistique de manière à renforcer la compétitivité et à promouvoir l’inclusion. » Le Port de Cotonou, où BT est installé, revêt une importance cruciale pour le commerce du pays et la génération de recettes douanières, et traite la plus grande partie des échanges internationaux du Bénin. Il est aussi un point de transit clé en Afrique de l’Ouest, car il permet aux pays enclavés de la région d’exporter et d’importer. L’augmentation de la capacité de Bénin Terminal favorisera de manière significative l’intégration commerciale de la région, en aidant à accroître les volumes de fret commercial et, par conséquent, en améliorant les résultats économiques de chaînes d’approvisionnement comme l’agriculture, le commerce et le transport. IFC a un portefeuille d’investissements en cours au Bénin d’une valeur de 60,8 millions de dollars ainsi qu’un portefeuille de services-conseil d’une valeur de 1,5 million de dollars, couvrant principalement le secteur financier. La Banque mondiale, qui appuie la stratégie de développement du Bénin, entend avant tout favoriser la croissance économique, améliorer la fourniture de services essentiels, la gouvernance et les capacités institutionnelles.

Casablanca : L’intelligence artificielle au cœur d’une masterclass tenue au profit de TPME membres de la CGEM

Casablanca : L’intelligence artificielle au cœur d’une masterclass tenue au profit de TPME membres de la CGEM

La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a organisé récemment la deuxième édition des Rencontres de la TPE-PME, une série de rendez-vous mensuels créés pour renforcer le soutien et l’accompagnement des petites et moyennes entreprises, sous le thème « L’IA au service des TPME : Outils pratiques pour booster votre performance ». Mme Meriem ZAIRI, Présidente de la Commission Entrepreneuriat et TPME, a ouvert cette 2ème édition animée par AI Crafters, autour du thème de l’intelligence artificielle (IA) et son impact direct sur la performance des entreprises, en particulier dans l’optimisation de la gestion opérationnelle. L’objectif était de démontrer l’importance des outils d’IA dans l’amélioration de l’efficacité des TPE et PME, dans la rationalisation de leurs processus internes, dans l’optimisation des ressources et dans l’automatisation de certaines tâches récurrentes. En intégrant l’IA dans leurs stratégies opérationnelles, les entreprises peuvent non seulement améliorer leur productivité, mais aussi renforcer leur compétitivité sur le marché. Cette rencontre a réuni plus d’une cinquantaine d’entrepreneurs et de dirigeants de petites et moyennes entreprises et a permis aux participants de se familiariser avec les concepts essentiels de l’intelligence artificielle, de découvrir les différentes solutions accessibles à leur niveau et d’explorer des cas d’utilisation concrets. L’accent a ainsi été mis sur des applications concrètes de l’IA dans la gestion quotidienne des TPE et PME. Les participants ont pu interagir avec des experts en IA et bénéficier de conseils pratiques sur la manière d’intégrer ces technologies innovantes dans leurs processus métier, tout en prenant en compte les contraintes spécifiques liées à la taille de leurs structures. Ces échanges ont permis de lever certains freins à l’adoption de l’IA, notamment les préoccupations liées aux coûts, à la complexité d’implémentation et à la gestion du changement au sein des entreprises. Pour rappel, ces rencontres ont pour objectif de faciliter les échanges, d’offrir un espace de partage d’expériences et de renforcer la compétitivité des TPE/PME à travers des thématiques stratégiques et des solutions pratiques adaptées à leurs besoins spécifiques.

Niamey : Ouverture de la Semaine de l’intelligence Artificielle et des Technologies Géospatiales (SIATeG)

Niamey : Ouverture de la Semaine de l’intelligence Artificielle et des Technologies Géospatiales (SIATeG)

Le ministre de la Communication, des Postes et de l’Économie Numérique, M. Sidi Mohamed Raliou, a procédé, ce mercredi 27 novembre 2024, au Palais des Congrès de Niamey, au lancement de la Semaine de l’Intelligence Artificielle et des Technologies Géospatiales (SIATeG). Cet événement, organisé par l’Agence Nationale pour la Société de l’Information (ANSI) en collaboration avec la société geoMINDS AFRICA, se déroulera sur trois jours et a pour thème : « Intelligence Artificielle et Technologies Géospatiales : Catalyseurs de Progrès et de Durabilité pour les pays africains ». Lors de son intervention, le ministre de la Communication a déclaré que « cet événement n’est pas seulement une célébration des technologies de pointe, mais également une opportunité de réfléchir collectivement à leur rôle dans le développement de notre pays. C’est aussi une vitrine pour montrer au monde que le Niger regorge de compétences prêtes à relever les défis globaux. » Il a également rappelé que :« depuis plusieurs années, nous déployons des efforts concertés pour intégrer les nouvelles technologies dans tous les secteurs de notre économie. Aujourd’hui, nous franchissons une étape importante en mettant en lumière deux domaines stratégiques : l’intelligence artificielle (IA), qui est devenue un moteur d’innovation dans le monde entier, et les technologies géospatiales qui offrent des solutions précises et adaptées aux défis de gestion des ressources naturelles et de planification territoriale. » Pour le ministre, ces technologies ne sont pas de simples tendances, mais des leviers essentiels pour un progrès durable. Dans un pays comme le Niger, où les défis sont nombreux, ces innovations offrent des opportunités concrètes pour transformer la société. Le ministre a conclu en affirmant  que « cette transformation numérique ne peut être accomplie seule. Elle nécessite une synergie entre les institutions publiques, pour encadrer et soutenir les initiatives ; le secteur privé pour investir et accompagner les innovations, la jeunesse nigérienne qui constitue le moteur de cette révolution grâce à sa créativité et à son dynamisme ». De son côté, le Directeur Général de l’ANSI, M. Ali Salatou Adji, a indiqué que « Ce thème s’inscrit pleinement dans les axes prioritaires que l’ANSI s’est fixés pour moderniser notre administration et stimuler l’innovation dans notre pays. » Il a ajouté que la richesse du programme, qui s’étendra sur quatre jours, témoigne de l’ambition collective portée par cet événement »Les conférences plénières, les ateliers pratiques, les panels de discussion et le hackathon constituent autant d’opportunités pour enrichir nos connaissances et stimuler l’innovation locale » a-t-il souligné notant aussi que « en sa qualité d’institution garante du numérique et de l’innovation au Niger, l’ANSI réaffirme son engagement à accompagner le développement des compétences locales en matière d’IA et de technologies géospatiales, soutenir l’émergence d’un écosystème d’innovation dynamique, faciliter l’accès aux données et aux ressources nécessaires pour les innovateurs, créer un cadre propice à l’éclosion de startups technologiques. Pour sa part, le fondateur de la société geoMINDS AFRICA, M. Dr Barkawi Mansour, a préconisé que « il faut que chacun de nous s’implique pour faire avancer notre pays vers l’utilisation de ces technologies, en particulier les étudiants, qui sont les moteurs de demain ». ANP

Madagascar : Les opérateurs de Mobile Money réagissent à la proposition de taxation des transactions mobiles

Madagascar : Les opérateurs de Mobile Money réagissent à la proposition de taxation des transactions mobiles

Suite à l’annonce dans la presse le jeudi 14 novembre de l’intention de la Direction Générale des Impôts d’introduire une taxe de 0,5 % sur le montant des transactions mobile money (au-delà de 150 000 Ar), les trois opérateurs de mobile money actifs — MVola, Orange Money et Airtel Money — dénoncent fermement cette mesure. Cette taxe constituera un fardeau pour les 23 millions de Malagasy qui utilisent nos services et met en péril l’économie nationale ainsi que l’avenir de l’inclusion financière. Une taxe sur la vie quotidienne En augmentant significativement le coût des services de mobile money, cette mesure pénalisera d’abord les utilisateurs finaux. Pour les ménages, cela représentera une hausse des frais pouvant aller de x2 à x5 pour les transferts d’argent et de x2 à x10 pour les paiements commerçants. Ces charges supplémentaires, couplées à un risque accru d’inflation, viendront directement affecter le pouvoir d’achat des foyers les plus vulnérables. Par ailleurs, cette mesure affectera également directement les 164 000 agents de distribution (Cash Points). La réduction de l’utilisation des services mobile money limitera leurs revenus, menaçant ainsi la stabilité économique de toutes ces familles (ce qui représente environ 1 million d’individus). Le retour au cash ? Des conséquences graves pour l’économie et la société Les effets de cette taxe iront bien au-delà des consommateurs. Cette taxe, en favorisant le retour au cash : Freinera la digitalisation de l’économie malagasy en décourageant l’utilisation des services de mobile money, entraînant un recul équivalent à une décennie de progrès. Accentuera l’économie informelle, réduisant la traçabilité des transactions et compliquant la collecte de recettes fiscales pour l’État. Accroîtra les risques sécuritaires, avec une manipulation accrue de l’argent liquide. Réduira les entrées de devises, pourtant essentielles à l’équilibre macroéconomique du pays. Découragera les investissements locaux et internationaux, envoyant un signal négatif aux entrepreneurs, petites et moyennes entreprises, investisseurs. Va à l’encontre des efforts d’inclusion financière promus par la Banky Foiben’i Madagasikara, ainsi que des initiatives de digitalisation de l’économie soutenues par l’État lui-même.Soyons tous cohérents. Un leurre pour les finances publiques Loin d’apporter les recettes fiscales attendues, cette mesure s’avère contre-productive. À l’instar des autres pays en Afrique qui ont expérimenté ce projet de taxe (Tanzanie, Ghana, Cameroun, République Centrafricaine notamment), une telle taxe engendrera à Madagascar une baisse immédiate et durable sur le nombre d’utilisateurs actifs du mobile money (-30%) ainsi que sur la valeur de transactions (avec une baisse à 6 mois estimée à -60%). Ainsi, les recettes obtenues suite à la mise en place de cette taxe se révèleront bien inférieures aux prévisions, ne dépassant pas les 50 milliards Ar annuel (et donc bien loin des 143 milliards Ar).Dans le même temps, le manque à gagner fiscal direct occasionné par la baisse d’activité des Établissements de Monnaie Électronique ainsi que par le retard accumulé dans la digitalisation et la formalisation des paiements commerçants sera supérieur à ce montant (fourchette de 60 à 100 milliards Ar de manque à gagner), entraînant mécaniquement une perte nette fiscale pour l’État. L’effet de cette mesure sera donc contraire à celui escompté. Il existe pourtant une alternative… Nous comprenons qu’il est essentiel de trouver des solutions pour augmenter les recettes fiscales, mais une taxe sur les transactions mobile money est une fausse solution. La véritable voie consiste à soutenir le secteur du mobile money pour accélérer son adoption à grande échelle. En effet, le développement libre et sans entrave du mobile money en 2025 devrait générer d’office plus de 50 milliards Ar de recettes fiscales additionnelles, en taxation directe des établissements et en imposition ordinaire de l’activité des commerçants nouvellement formalisés. Par un soutien actif au secteur, par le passage sous régime obligatoire de la digitalisation des paiements des différents services de l’État, la digitalisation pourra être accélérée très fortement. Cette digitalisation contribuera à la formalisation de l’économie et génèrera des recettes fiscales accrues, de l’ordre de 100 milliards Ar dans l’hypothèse d’une accélération du volume total de transaction et d’un doublement de la valeur des paiements commerçants portés par l’informel. Nous continuerons à nous mobiliser pour défendre les consommateurs Sur la forme, ce projet de taxation surprend également par son absence totale de concertation avec les acteurs concernés, alors qu’il menace de bouleverser un secteur vital pour des millions de Malagasy. Cette absence de dialogue est en elle-même un signal préoccupant. En tant qu’acteurs majeurs de l’inclusion financière et du développement économique à Madagascar, nous appelons la Direction Générale des Impôts à reconsidérer cette mesure et à privilégier un dialogue constructif avec l’ensemble des parties prenantes pour bâtir une fiscalité équitable et durable. Les opérateurs de mobile money sont et resteront mobilisés pour défendre les intérêts des millions de Malagasy qui font chaque jour confiance à nos services. MVola, Orange Money, Airtel Money

Economie Numérique : le Congo, pionnier de la 5G en Afrique centrale

Economie Numérique : le Congo, pionnier de la 5G en Afrique centrale

La 5G MTN a été officiellement lancée, ce 21 novembre, à Brazzaville, en République du Congo, par le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso. Ainsi, le Congo devient ainsi le premier pays en Afrique centrale à avoir pris ce tournant décisif dans le domaine des technologies de l’information et de la communication. L’avènement de la 5G est l’aboutissement de nombreuses années d’expérimentation, d’innovation et d’investissement massifs. C’est deux ans après le début de la phase pilote, que l’opérateur de téléphonie mobile MTN-Congo a officiellement lancé la phase commerciale de la technologie mobile de cinquième génération au Congo (5G), une véritable révolution qui couvre et offre des opportunités infinies, transformant notre manière de vivre et de travailler. Le Vice-président de la zone MTN Afrique centrale et de l’ouest, monsieur Ebenezer Asanté a expliqué que « … le déploiement de la 5G pose les bases de l’écosystème favorable à l’innovation locale. La jeunesse congolaise se voit offrir une opportunité sans précédente pour se conformer aux défis de demain. Cette infrastructure ouvre la voie au développement des startups, des entreprises spécialisées dans le domaine de pointe : le Web, l’intelligence artificielle ou encore la cybersécurité », a-t-il déclaré. Monsieur Ebenezer Asanté a encouragé les jeunes congolais à être des utilisateurs qui profitent des avantages de la 5G, mais aussi des innovateurs et des développeurs. Le Congo, un pays davantage ouvert à l’économie mondiale. Prenat la parole à son tour, le ministre des postes, télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo a soutenu que la révolution 5G suscitera une vague d’emplois, attirera les talents, encouragera les investisseurs, responsabilisera les jeunes et suscitera l’esprit d’entreprise en permettant [aux jeunes] de participer à l’économie numérique par le biais du commerce électronique, mais aussi le développement durable. En introduisant la 5G au Congo, a ajouté Leon Juste Ibombo, la société MTN accompagne le gouvernement de la République à offrir à la population, les outils nécessaires à la créativité, à l’innovation et au développement des solutions locales ainsi qu’à la participation active à l’économie numérique. Pour lui, le gouvernement congolais reste déterminé à accompagner cette transition en investissant, entres autres, dans les programmes de formation, et en favorisant l’accès à l’internet dans toutes localités du Congo. « La République du Congo peut, avec cette avancée technologique, se prévaloir d’être davantage ouverte à l’économie mondiale », a-t-il renchéri. A noter que, c’est en 2009 que les autorités congolaises ont véritablement entamé les préparatifs pour le lancement de l’ultra haut débit, dans le cadre d’un programme d’expérimentation initié par la commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA). Ce programme impliquait le gouvernement, les opérateurs télécoms locaux, l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) et les acteurs du secteur privé. Wilfrid Lawilla D.

Semaine du Numérique : les ministres chargés de la Transition digitale de l’AES font le point au Chef de l’Etat

Semaine du Numérique : les ministres chargés de la Transition digitale de l’AES font le point au Chef de l’Etat

Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a reçu, en audience ce jeudi, les ministres chargés de la Transition digitale de la Confédération « Alliance des Etats du Sahel » (AES), présents au Burkina Faso dans le cadre de la 19e édition de la Semaine du Numérique. En compagnie de la ministre de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques du Burkina Faso, les ministres malien et nigérien ont fait le point des travaux au Président du Faso. La délégation a également fait mention de l’état d’avancement des instructions données par les Chefs d’Etat de l’AES dans le domaine du numérique et de la communication, selon le ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Modernisation de l’Administration de la République du Mali, Alhamdou Ag ILYENE. « Le Président du Faso nous a apporté un grand soutien ; il nous a fait beaucoup de recommandations et nous a donné des conseils, des orientations (…), que nous allons mettre en œuvre pour pouvoir améliorer ce que nous avons déjà fait afin que la communication de l’AES basée sur le numérique apporte le maximum de satisfaction à nos populations », a-t-il soutenu. Le ministre de la Communication, des Postes et de l’Economie Numérique de la République du Niger, Sidi Mohamed RALIOU, pour sa part, a affirmé que le Chef de l’Etat les a instruits de travailler pour l’interconnexion des pays de l’AES et promouvoir la digitalisation de l’administration pour lutter contre la corruption. Selon la ministre de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques du Burkina Faso, Dr Aminata ZERBO/SABANE, les Chefs d’Etats de l’AES ont donné une place de choix au numérique pour en faire un levier de développement. « Le Président du Faso a tenu à nous le rappeler tout en nous encourageant dans nos initiatives pour faire vraiment de ce levier un moteur de développement et un instrument pour améliorer le bien-être de nos populations », a-t-elle ajouté.

Telecom : Orange Centrafrique acquiert la licence d’exploitation de la 4G

Telecom : Orange Centrafrique acquiert la licence d’exploitation de la 4G

Le gouvernement centrafricain et Orange Centrafrique ont signé, jeudi à Bangui, la convention d’attribution de la licence 4G, marquant ainsi l’entrée de la 4ème génération de réseau mobile dans le pays. Cette licence permettra à Orange Centrafrique de déployer le réseau 4G àBangui et dans les villes de province. L’acquisition de cette licence d’une durée de 15 ans est estimée à plus de 15 milliards de FCFA. « Aujourd’hui, nous avons un réseau qui nous permet d’avoir la 2G et la 3G. L’objectif de la licence 4G est de nous offrir une capacité plus importante. Cette évolution améliorera la couverture de nos antennes et garantira un service de meilleure qualité », a expliqué Max Francisco, directeur général d’Orange Centrafrique. Malgré le lancement de la fibre optique en République Centrafricaine le 6 février 2023, les utilisateurs se plaignent encore de la qualité de la connexion qui est jusque-là sur la 3G. Selon Justin Gouna-Zacko, ministre de l’Économie numérique et des Télécommunications, le passage à la 4G permettra de résoudre ce problème. « Avec la 3G, nous étions sur le satellite, ce qui limitait le débit. La fibre optique, quant à elle, utilise des câbles qui améliorent la fluidité et la rapidité à la vitesse de la lumière, offrant ainsi un très haut débit. Pour bénéficier de la 4G, les opérateurs doivent disposer d’équipements adaptés à cette technologie », a précisé le ministre. La licence 4G sera opérationnelle au premier trimestre 2025. Cependant, malgré ces avancées, la qualité de la connexion et des appels reste un défi majeur en République Centrafricaine. Radio Ndeke Luka

Les imprimantes Epson à réservoir jet d’encre haute capacité dépassent les 100 millions d’unités en ventes mondiales cumulées

Les imprimantes Epson à réservoir jet d’encre haute capacité dépassent les 100 millions d’unités en ventes mondiales cumulées

La société Seiko Epson Corporation (TSE : 6724, «Epson») a lancé sa première imprimante à réservoir jet d’encre haute capacité en octobre 2010 en Indonésie. Actuellement, ces imprimantes sont vendues dans environ 170 pays et régions. Les ventes mondiales cumulées des imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité d’Epson ont désormais dépassé 100 millions d’unités. Les imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité d’Epson ont été développées en réponse aux besoins des économies émergentes et sont le fruit d’une innovation qui va au-delà des méthodes de conception et de vente conventionnelles. Depuis leur lancement, Epson a transformé le modèle commercial des imprimantes et s’est établi comme un leader sur le marché des imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité. Les imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité représentent environ 45 %[1]des unités expédiées sur le marché des imprimantes à jet d’encre pour bureaux et foyers. Epson continue de maintenir la premièrepart de marché mondial des imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité, grâce à sa vaste gamme de produits et à la reconnaissance de sa marque. Ce succès est dû à l’approbation générale des clients concernant les caractéristiques des imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité d’Epson. Les clients apprécient non seulement les coûts d’impression réduits et les remplacements moins fréquents des cartouches d’encre, mais avec la prise de conscience environnementale croissante ces dernières années., ils valorisent également que ces imprimantes génèrent moins de déchets et utilisent moins de ressources. Ilias Azzaoui, Directeur Général d’Epson Afrique Francophone a déclaré : « Tout d’abord, nous tenons à exprimer notre plus profonde gratitude à tous ceux qui ont acheté nos imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité. Les imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité se distinguent considérablement des modèles conventionnels à cartouche en termes de conception et de vente, ce qui nous a confrontés à de nombreux défis lors de leur création. Cependant, avec le désir de permettre aux clients d’imprimer sans hésitation, toutes les parties concernées se sont réunies et ont décidé de lancer le produit. Aujourd’hui, les atouts des imprimantes à réservoir jet d’encre haute capacité : des coûts d’impression réduits, un minimum de soucis lors du remplacement des encres et un faible impact environnemental ; ont conduit à leur acceptation généralisée à travers le monde, pour des utilisations allant des milieux professionnels à l’apprentissage des enfants. À l’avenir, nous continuerons à poursuivre et à offrir la valeur unique que seule Epson peut fournir par le biais de l’impression. » À propos d’Epson Epson est un leader technologique mondial dont la philosophie d’innovation efficace, compacte et précise enrichit la vie et contribue à créer un monde meilleur. L’entreprise se concentre sur la résolution des problèmes sociétaux grâce à des innovations dans l’impression à domicile et de bureau, l’impression commerciale et industrielle, la fabrication, ainsi que de l’image et le style de vie. L’objectif d’Epson est de devenir carbone négatif et de mettre fin à l’utilisation des ressources souterraines épuisables, telles que le pétrole et les métaux, d’ici 2050. Dirigé par Seiko Epson Corporation, basée au Japon, le groupe Epson génère des ventes annuelles de plus de 1 trillion de JPY. corporate.epson/en/ À propos d’Epson META-CWA Epson est un leader technologique mondial dont la philosophie d’innovation efficace, compacte et précise enrichit la vie et contribue à créer un monde meilleur. L’attention particulière accordée à la conception de ses produits et le soin qui accompagne tout le processus de fabrication sont au cœur de l’entreprise. L’entité régionale d’Epson – Epson META-CWA – propose des solutions de haute qualité et respectueuses de l’environnement dans les domaines de l’impression, de la numérisation, de l’affichage visuel, de la fabrication et du mode de vie, à plus de 80 pays dans la région du Moyen-Orient, de la Turquie, de l’Afrique, ainsi que de l’Asie Centrale et de l’Ouest. S’appuyant sur un héritage de 80 ans en tant que pionnier technologique japonais de renommée, l’entreprise réinvente ce que l’innovation de rupture peut apporter aux consommateurs, aux entreprises et à la planète, avec une approche visionnaire dans l’une des régions les plus dynamiques dumonde. www.epson.ae [1] – 1ère part de marché en termes de nombre de produits à réservoir d’encre haute capacité expédiés dans le monde de 2010 à 2024, selon une étude d’IDC*. (*Source : Suivi trimestriel des périphériques d’impression d’IDC 2024Q2, part par marque)