Lionel Messi sanctionné pour un geste polémique sur un entraîneur adverse

La Major League Soccer (MLS) a infligé une amende à Lionel Messi après que le capitaine de l’Inter Miami a été surpris en train de saisir un entraîneur du New York City FC par la nuque. La commission de discipline de la MLS a pris cette décision à la suite d’un incident survenu le 22 février 2025, en toute fin de match, alors que l’Inter Miami arrachait un match nul 2-2 face au New York City FC. Des images diffusées sur les réseaux sociaux, notamment sur X (anciennement Twitter), montrent l’octuple Ballon d’Or s’approchant d’un membre du staff adverse avant de poser sa main sur sa nuque lors d’un échange animé. Dans un communiqué, la MLS a confirmé que Messi avait enfreint la règle interdisant tout contact avec le visage, la tête ou le cou d’un adversaire. Toutefois, les détails précis de la sanction restent inconnus. Ce match marquait le début de la saison pour l’Inter Miami, et Messi s’était illustré en offrant une passe décisive à Telasco Segovia pour arracher l’égalisation dans les arrêts de jeu. Son coéquipier Luis Suárez a également écopé d’une amende pour un geste similaire sur le joueur Birk Risa, qu’il a pincé à la nuque à la mi-temps. Cette affaire relance les discussions sur l’attitude de la star argentine sur le terrain. Récemment, un arbitre a été sanctionné pour lui avoir demandé un autographe après un match, tandis que Messi lui-même avait déjà été critiqué pour avoir mis un doigt sur le front d’un arbitre lors d’un désaccord. Pourtant, ces écarts de conduite sont rarement mis en avant par les médias, qui entretiennent, à tort ou à raison, l’image d’un joueur irréprochable. Ya Willy.
Le gouvernement centrafricain plaide pour la levée totale de la sanction imposée sur ses diamants

Le gouvernement centrafricain a plaidé lundi pour la levée totale de la sanction imposée par le processus de Kimberley sur les diamants centrafricains. Rufin Benam Beltoungou, ministre centrafricain des Mines et de la Géologie, a fait la plaidoirie lors d’une rencontre avec les ambassadeurs accrédités auprès de la République centrafricaine (RCA). La rencontre vise à faire la plaidoirie pour la levée totale de l’embargo sur les diamants centrafricains, mais aussi à présenter aux ambassadeurs les potentialités du pays en matières minières. « La RCA a fait preuve de beaucoup de respects vis-à-vis des critères de validation des zones définies dans le cadre opérationnel. En dépit de tout cela, la sanction est toujours maintenue au mépris des textes du processus de Kimberley », a déploré M. Benam. La sanction sur les diamants centrafricains a été à nouveau reconduite en 2023 lors de la session plénière du processus de Kimberley du 6 au 11 novembre dernier au Zimbabwe. Cette sanction était en vigueur depuis 2013 à cause de la guerre civile qui avait secoué la RCA mais allégée, donnant la possibilité à l’Etat centrafricain de vendre les diamants extraits des zones sous contrôle des forces gouvernementales.
Congo: L’activiste Amedé Del’eau-Loemba réclame une sanction contre le député Léonidas Mottom pour « profanation des valeurs républicaines »

Dans une lettre adressée au Secrétaire général du Parti congolais du travail (PCT), Pierre Moussa, et publiée sur sa page Facebook, Amedé Del’eau-Loemba – un activiste des droits de l’Homme basé au Congo- a appelé à prendre une sanction à l’encontre du député Léonidas Mottom pour « profanation des valeurs républicaines ». PAGESAFRIK diffuse, ci-dessous, l’intégralité de cette lettre: « Objet : DEMANDE DE SANCTION A Monsieur Pierre Moussa, Secrétaire-général du Parti Congolais du Travail (Congo-Brazzaville) Monsieur le Secrétaire-général, Très respectueusement, je viens auprès de votre auguste personnalité, solliciter votre implication pour faire appliquer la loi à Monsieur Léonidas Mottom Mamona, un des membres actif du Parti Congolais du travail (PCT), votre parti ». En effet, je suis Monsieur Amedé Del’eau-Loemba, un activiste des droits de l’Homme au Congo. Dans mon combat pour la bonne organisation et crédibilité des élections législatives et locales du 10 Juillet 2022, j’ai constaté une profanation des valeurs républicaines commise par Monsieur Léonidas Moutom Manona, un des candidats-députés investis sur la liste du Parti Congolaise du Travail en PCT dont vous êtes secrétaire-général. Publiquement, sans crainte aucune, celui-ci a incité la population de la Sangha au tribalisme et à la haine contre les populations issus du Congo-Sud. C’est une honte pour la République du Congo, notre chère Nation. Au nom de l’unité et la paix, j’exige que Monsieur Léonidas Mottom Mamona soit sanctionné pour que des tels propos ne se tiennent plus par ceux-la-même qui ont la charge de nous défendre dans au sein de nos institutions. Sachant compter sur vos capacités de remettre l’ordre du PCT, un des grands partis politiques du Congo, je crois à une réponse favorable à ma demande. Veuillez agréer, Monsieur le Secrétaire-général, l’expression de ma profonde considération ».
Prends la porte et tais-toi ! Telle est la sanction reçue par Arancha Gonzalez Laya par le Chef du Gouvernement espagnol

TRIBUNE. Le Chef du Gouvernement espagnol, Pedro Sanchez a annoncé, le 10 juillet 2021, un vaste remaniement affectant des portefeuilles fondamentaux, dont celui du Ministère des Affaires Etrangères occupé par Arancha Gonzalez Laya, qui a mis de l’huile sur le feu dans les relations entre le Maroc et l’Espagne. Ainsi donc Arancha Gonzalez Laya sort par la petite porte telle une chatte échaudée par son scandale dans la gestion du dossier du terropolisarien Brahim Ghali dans lequel elle s’était embourbée jusqu’au cou entraînant une profonde crise entre le Maroc et l’Espagne. D’ailleurs, la Cheffe de la diplomatie espagnole était sur la sellette depuis plusieurs semaines et de nombreuses formations politiques espagnoles réclamaient sa démission immédiate. Mais, si évincer du Gouvernement Arancha Gonzalez Laya constitue un signe d’apaisement en direction du Maroc, les raisons profondes de cette crise demeureront, tant que Madrid continuera de botter en touche, sans réelle volonté de prendre le taureau par les cornes car pour apaiser la tension entre les deux pays, sont tout autre, le Sahara marocain et nos territoires encore sous colonisation espagnole en sont la clé. S’agissant du nouveau Chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albares, celui-ci est âgé de 49 ans et est diplômé en Droit de l’Université de Deusto. Il est très proche du du Chef du Gouvernement espagnol et est connu pour sa forte expérience internationale. Avant sa nomination José Manuel Albares occupait le poste d’Ambassadeur d’Espagne à Paris. Il a officié en qualité de Consul en Colombie et Conseiller Culturel à l’Ambassade d’Espagne en France. Il a également fait partie de la représentation permanente de l’Espagne auprès de l’OCDE. Au final, il serait bon ton de féliciter Arancha Gonzalez Laya et son copain proche l’algérien Boukadoum pour leur totale incompétence en matière de diplomatie étrangère et qui sont maintenant hors de leur poste. A noter que le porte-parole du Parti Populaire espagnol au Congrès espagnol, Cuca Gamarra, vient de demander au Président de dissoudre les Cortes : « Changer les clins d’œil ne sert à rien si les indépendantistes continuent de tirer les ficelles ». Farid Mnebhi.
Supersports United – TP Mazembe: la CAF inflige des sanctions aux deux équipes

Le jury disciplinaire de la Confédération africaine de football (CAF) a infligé des sanctions aux deux équipes, suite aux incidents survenus à la fin du match comptant pour la finale retour de la Coupe de la Confédération Total, qui les a opposés, samedi 25 novembre 2015 au stade Lucas Moripe de Pretoria. Supersports écope d’une amende de 15.000$ US (dollars américains) en application des articles 83 et 151 du code disciplinaire du fait des failles constatées dans le dispositif de sécurité. Un rappel sur les conditions de sécurité a été fait au club qui pourrait, si pareil incident se répétait, jouer des matchs à huis-clos. Quant au TP Mazembe, il écope d’une amende de 5000$ US (dollars américains) pour le comportement de ses supporters qui avaient envahi la pelouse et ce en application des articles 82 et 83 du Code disciplinaire de la CAF. TP Mazembe a remporté samedi dernier l’édition 2017 de la Coupe de la Confédération Total après un match nul vierge face à Supersports United. A l’aller à domicile le club congolais s’était imposé, 2-1. Avec CAF