RD Congo. Vital Kamerhe réceptionne la pétition visant sa destitution

RD Congo. Vital Kamerhe réceptionne la pétition visant sa destitution

Le Président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, accompagné des membres de son bureau, a reçu officiellement mardi 16 septembre des mains du secrétaire général de la chambre basse du Parlement les copies de pétitions qui visent cinq membres du bureau y compris lui-même.   Selon Vital Kamerhe, cet acte illustre son attachement au respect des principes prescrits par la loi précisant que le règlement intérieur sera respecté pour l’examen de cette démarche parlementaire.  « Nous n’allons faire aucune obstruction à une démarche légale. Nous allons poursuivre avec cette démarche pour préserver l’image et le prestige de cette institution. Une pétition ne signifie pas un arrêt de mort. Nous respecterons le règlement intérieur à la lettre et dans son esprit », a affirmé Vital Kamerhe. Par conséquent, le premier vice-président, Isaac Jean-Claude Tshilumbayi, non concerné par les pétitions, convoque les députés ce mercredi pour une plénière. A l’ordre du jour, figure la mise en place d’une commission spéciale chargée d’examiner les pétitions contre certains membres du bureau, précise son communiqué. Les pétitionnaires reprochent à Vital Kamerhe notamment une gestion financière opaque, la mauvaise gestion des motions et le mépris à l’endroit des députés nationaux. Radio Okapi

RDC: la Nouvelle société civile lance une pétition pour la restitution du diamant géant

RDC: la Nouvelle société civile lance une pétition pour la restitution du diamant géant

La Nouvelle société civile du Congo a mis une pétition en circulation pour exiger de l’ancien président Joseph Kabila la restitution du diamant qui appartient, selon cette ONG, à Théodore Ngoyi Kalala. C’est une affaire qui date de 2005 et pour laquelle les deux parties avaient déjà convenu d’un règlement que le sénateur à vie Joseph Kabila n’a pas encore honoré. La pierre appartiendrait à l’homme d’affaires Théodore Mbiya Kalala et aurait initialement été volée par deux négociants, qui l’ont ensuite expédiée à Anvers, en Belgique, assure la Nouvelle société civile du Congo (NSCC). Elle aurait ensuite été interceptée par Joseph Kabila lors d’un passage à la Banque centrale… Lire la suite sur RFI

Pétition pour le report du calendrier de l’Eco, la monnaie unique de la CEDEAO pour cause de COVID-19

Pétition pour le report du calendrier de l’Eco, la monnaie unique de la CEDEAO pour cause de COVID-19

Prévue pour remplacer le franc CFA et les 7 autres monnaies nationales des 15 Etats de la CEDEAO, la future monnaie l’Eco devait entrer en vigueur, d’abord, en Juillet 2020, pour les pays de l’UEMOA qui respecteraient les critères de convergence. Ensuite, il était prévu que l’Eco devienne la monnaie unique pour l’ensemble des 15 États de la CEDEAO. Dès le départ, nous avions eu de sérieux doutes sur la capacité de nos dirigeants à faire aboutir ce projet si ambitieux dans un délai si court. En effet, ce fut Le 21 février 2018 que les chefs d’États de la CEDEAO, réunis en ACCRA, avaient annoncé la création de la monnaie unique pour 2020. Heureusement, le Covid-19 et ses nombreuses conséquences sanitaires et économiques déjà visibles sur la planète et surtout sur le continent africain invalident définitivement ce calendrier trop optimiste et un peu bâclé. Aussi le Collectif Sortir du franc CFA lance une pétition internationale pour une suspension officielle du calendrier de mise en place de l’Eco et pour l’inclusion des citoyens, de la diaspora et de la société civile aux discussions sur ce projet de monnaie communautaire africaine. Ce 27 Avril dernier s’est tenu un sommet extraordinaire des Chefs d’État de l’Uemoa par vidéoconférence sous la férule du Président de la Côte d’Ivoire Alassane OUATTARA et un certain nombre de mesures pertinentes ont été prises pour faire au Covid-19. Les Chefs d’États auraient dû cependant aller plus loin en annonçant officiellement le report de l’entrée en vigueur de l’Eco prévu en Juillet 2020. Le cas échéant, ce serait une opportunité pour les populations d’être mieux informées sur les changements majeurs sur leur vie quotidienne induits par le passage à l’Eco. Le colonisateur avait imposé le franc CFA en 1945 sans prendre la peine de consulter les Africains, nos dirigeants actuels ne doivent pas reproduire cette même méthode antidémocratique et de mépris envers leurs propres concitoyens. En effet, chose étrange, au sein les 15 pays de la Cedeao concernés par la monnaie unique, aucune communication, aucune information ne sont données aux populations sur cette future monnaie. Pis les différents parlements nationaux n’ont pas non plus réellement discuté de la mise en place de l’Eco. Notre pétition réclame une suspension du calendrier de l’Eco pour plusieurs raisons: –        Faire taire les oppositions et les dissensions nombreuses et profondes entre les États concernés quant au calendrier proposé, le 21 décembre 2019 à Abidjan, par le Président Alassane Ouattara au nom de ses pairs de l’UEMOA et sous l’autorité du Président Emmanuel MACRON. –       Satisfaire les pays de la ZMAO avec à leur tête le Nigeria, le géant économique et démographique de la Cedeao. En effet, la Zmao avaient publiquement contesté ce calendrier officiel et demandé un report de la mise en place de l’Eco. Parce que le Nigéria représente à lui seul, 75% du PIB de la Cedeao. Rien ne peut donc se faire sans l’aval de Lagos et du Président BUHARI. –       Enfin, les chefs d’Etats doivent répondre aux inquiétudes respectables d’un certain nombre d’Africains qui considèrent que le projet de l’Eco n’est qu’un changement du nom du franc CFA, etc.   –       Sinon, une écrasante majorité des citoyens de la CEDEAO soutient la mise en place de cette monnaie unique, car elle marque une avancée majeure et décisive vers l’abandon du franc CFA et concrétise le début de la construction d’une réelle zone monétaire en l’Afrique de l’Ouest. A partir de demain 05 Mai 2020, signez et faites signer en nombre cette pétition jusqu’à ce que les chefs d’États écoutent le peuple ; nous devons être entendus sur une question aussi importante que la monnaie qui va régir et concerner durablement nos vies. Notre pétition est ouverte à tous et à toutes sans distinctions : aux africains, à la diaspora, aux amis et amoureux de l’Afrique, aux citoyens du monde… Pour signer et faire signer massivement cette pétition, deux possibilités : Sur Change.org :  http://chng.it/r4dFRH9pMq Ou Sur mesopinions.com :https://www.mesopinions.com/petition/autres/petition-report-calendrier-eco-monnaie-unique/88926 SORTIR DU CFA

Pétition : Non à la WOLOFISATION des enfants Fulbe au Sénégal

Pétition : Non à la WOLOFISATION des enfants Fulbe au Sénégal

TRIBUNE. Conçu pour que chaque enfant du pays reçoive ses premiers enseignements dans sa langue maternelle, le programme Lecture Pour Tous (LPT), financé par l’Amérique, est entrain de virer tout le pays à l’envers. Selon plusieurs sources, 1000 classes auraient été réservées pour la langue wolof, 700 pour le Serer et 500 pour le Pulaar bien que les Fulbé soient majoritaires dans notre pays. Dans les faits, le programme LPT est une catastrophe linguistique où on enseigne la langue wolof à des enfants Fulbé dans plusieurs départements du pays. Pis, ce sont des instituteurs ayant suivi une formation de 2 semaines au plus en Pulaar, que le ministère fait enseigner cette langue à des enfants Fulbé. Pourtant, le ministre de l’Education, monsieur Mamadou Talla, a déclaré à Mbour, le 8 septembre 2019, lors de la semaine de l’alphabétisation, qu’un enfant apprend plus vite et mieux dans sa langue maternelle. Ainsi, la LPT telle que pratiquée actuellement au Sénégal fragilise la cohésion sociale et constitue, de facto, une menace sérieuse pour la survie des langues nationales dont le Pulaar.  C’est un POISON voire un CANCER tueur de langues, que le gouvernement actuel vient de servir à la communauté des FULBE du Sénégal, devant le monde entier. Nous disons non à ce CORONAVIRUS linguistique mortel, qui fera disparaitre nos langues nationales dont le Pulaar, dans un avenir proche. De ce fait, nous demandons au ministre de l’éducation, monsieur Mamadou Talla, d’arrêter immédiatement la WOLIFISATION des enfants Fulbe, en cours dans les écoles du pays. De plus, nous demandons l’égalité des langues nationales à Air Sénégal, à la Présidence de la République, à la RTS, à la SENELEC, au Théâtre National Daniel Sorano etc… Ainsi, appelons-nous, partout à travers le monde, les Fulbe, et toute personne éprise de paix et de justice, à signer la présente pétition (à venir) qui ne demande rien d’autre que d’arrêter l’ASSASINAT de la langue Pulaar/ fulfulde en cours au Sénégal. Enfin, nous vous remercions de votre contribution et votre collaboration en signant cette pétition et en la faisant circuler partout à travers le monde. Nous vous invitons également à nous rejoindre dans ce combat pour la justice des peuples. C’est aussi un combat contre l’oppression, contre également l’exploitation de l’homme par des multinationales étrangères qui sèment la zizanie et la division des peuples qui sont sur leurs territoires légués par leurs ancêtres. Gondiel Ka (Montréal, Canada). Avec la collaboration de : de Dental Fulbé Canada, Kisal Deeyirde Pulaagu, Tabital Pulaagu Allemagne, Kibaaruji Pulaagu International, Fedde Pellital, Dental Faabatobe, Associazione Fulbe in Italia, Pulaar nder serwer Orange, Fedde Bamtore Pulaar et Fedde Darnde Lenol.

Pétition en RDC: 1.509.549 signatures recueillies pour la tenue des élections locales

Pétition en RDC: 1.509.549 signatures recueillies pour la tenue des élections locales

1.509.549 Congolais ont signé la pétition exigeant la tenue des élections locales avant la fin du mois de décembre 2019. C’est l’Abbé André Masinganda, premier Secrétaire général adjoint de la Conférence épiscopale nationale du Congo (ECC), assisté du Pasteur Eric Senga, Secrétaire général de l’Eglise du Christ au Congo (ECC), qui a rendu publics les résultats le vendredi 9 août 2019 au Centre interdiocésain à Kinshasa. Il y a eu au total 2 millions des signatures, mais 491.541 personnes n’ont pas répondu aux critères exigés, à savoir les noms et le numéro de la carte d’électeur. Ainsi, 1.509.549 signatures ont été jugées valables. Dans son mot, le 1er secrétaire général de la CENCO a signalé qu’en son article 218 point 4, la Constitution dispose qu’une fraction du peuple congolais en l’occurrence 100.000 personnes, s’exprimant par une pétition adressée à l’une de deux chambres peut lancer l’initiative de la révision constitutionnelle. Ici, il ne s’agit pas de la révision constitutionnelle, mais d’une matière contenue dans la Constitution et dans le calendrier électoral. Lancée le mardi 28 mai 2019, la pétition a recueilli en deux mois 20 fois plus de signatures que celles exigées par la Constitution de la RDC, a indiqué l’abbé André Masinganda, qui a souligné que jamais dans l’histoire de la RDC, une pétition n’a récolté autant de signatures. Le 1er secrétaire général adjoint de la CENCO a indiqué que la primeur de cette pétition est réservée au Président de la République, Félix Tshisekedi. Il a également fait savoir que, suite aux sérieuses difficultés de transport routier, certains papiers de la pétition ne sont pas encore parvenus au Centre interdiocésain, bien que le travail ait été réalisé par les animateurs.