RD Congo. Rawbank enregistre une progression exceptionnelle dans le classement des 300 champions de la finance africaine
Rawbank a enregistré une progression exceptionnelle dans le classement des 300 champions de la finance africaine, a annoncé récemment cet acteur majeur du secteur bancaire en République Démocratique du Congo. La banque, qui accompagne le développement de l’économie congolaise depuis 20 ans, » est fier de compter parmi le classement des 200 premiers champions Africains de Banque publié par le Magazine Jeune Afrique dans son édition les 300 champions de la finance, parue le 26 septembre 2022″, peut-on dans un communiqué parvenu à notre Rédaction. Selon les explication de la banque, cette progression notable de 22 places par rapport à l’année 2021 est le résultat des différents programmes lancés concernant la digitalisation des services bancaires le financement des PME, l’accompagnement du secteur informel ou encore le soutien de l’entreprenariat féminin. Dans le classement de cette année, Rawbank consolide sa position de leader et réaffirme son engagement constant en tant que première banque Congolaise et troisième banque en Afrique centrale avec un Produit Net Bancaire qui a augmenté de 37% et une variation de 45% du bilan en 2021. « Nous nous réjouissons d’avoir progressé de 22 places parmi les 300 champions de la finance. Ceci est le résultat du travail de l’ensemble des équipes, de la confiance accordée par nos partenaires et de l’exigence que nous nous fixons tous les jours pour répondre aux enjeux de demain. Nous continuerons à progresser et à nous surpasser chaque jour » a déclaré Mustafa Rawji, Directeur général de Rawbank.
Verdant Capital se classe première ex æquo du classement M&A Leagues Tables 2021
Verdant Capital a été classée première ex æquo en termes de flux de transactions par l’édition 2021 des prestigieuses « Leagues Tables » (tableaux de classement) de la DealMakers Africa, pour l’ensemble de la région panafricaine (hors Afrique du Sud). Principale agence de classement pour l’Afrique, DealMakers a annoncé le 11 mars 2022 le nom des lauréats 2021. Verdant Capital a terminé première du classement de la région Afrique de l’Est (flux de transactions). En Afrique de l’Ouest, Verdant Capital s’est classée deuxième. Parmi les transactions historiques réalisées par Verdant Capital en 2021 citons notamment la levée de capitaux de 80 millions USD pour WIOCC, principale société panafricaine d’infrastructures de télécommunications ; la levée de capitaux de 25 millions USD pour Tugende, principale société de financement des micro et petites fintechs d’Afrique de l’Est ; et la vente de Baxibox, leader des fintechs nigérianes, à MFS Africa. En 2021, Verdant Capital a également réalisé des sorties pour les principales entreprises africaines de capital-investissement et leurs sociétés de portefeuille, notamment Fairfax Africa et Kibo. APO
Le Maroc améliore son rang dans le classement de l’innovation
Le Maroc a un peu amélioré son rang au classement mondial des pays les plus avancés en matière d’innovation, si l’on en croit le dernier rapport de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI). Selon l’édition 2019 de l’Indice mondial de l’innovation, le Royaume a gagné deux nouvelles marches sur le podium des pays considérés comme les plus innovants, pointant désormais au 79ème rang sur 129 pays passés au scanner. Il devance le Panama (75ème), la Bosnie-Herzégovine (76ème) et le Kenya (77ème) mais arrive juste derrière la Biélorussie (72ème) et l’Argentine (73ème) et. Dans ce classement, publié conjointement par l’OMPI, l’Université Cornell et l’INSEAD, le Maroc n’obtient qu’un score de 31,63 sur 100, loin de la Suisse qui conserve sa première place dans ce classement avec 67,24 sur 100. Le pays le plus innovant au monde est suivi de la Suède (63,65), des Etats-Unis (61,73), des Pays-Bas (61,44) et du Royaume-Uni (61,30). A l’échelle du continent africain, le Maroc s’installe dans la troisième marche du podium, derrière l’Afrique du Sud qui pointe au 63ème rang avec un score de 34,04 sur 100 et la Tunisie (70ème, 32,83/100). Selon l’Indice mondial de l’innovation, qui propose un classement des capacités et des performances des économies en matière d’innovation, le Royaume devance, en revanche, le Kenya qui se place au 77ème rang mondial avec un score de 31,13 sur 100, la Mauritanie (82ème ; 30,61/100), l’Egypte (92ème ; 27,47/100), le Botswana (93ème ; 27,43/100), le Rwanda (94ème; 27,38/100) et le Sénégal (96ème; 26,83/100). A noter que l’Indice de 2019 a été établi sur la base de 80 indicateurs, allant des instruments de mesure classiques comme les investissements dans la recherche-développement, les demandes internationales de brevet et les demandes d’enregistrement international de marques, jusqu’aux nouveaux indicateurs, notamment la création d’applications mobiles et les exportations de produits de haute technologie, selon l’OMPI. Soulignons qu’il tient compte également du contexte économique. Ce qui permet, par exemple, à l’organisation de faire observer qu’en dépit des signes de ralentissement de la croissance économique mondiale, «l’innovation continue de prospérer, en particulier en Asie». S’agissant des indicateurs liés aux institutions, le Maroc se classe au 72ème rang mondial avec un score de 61,1. Il occupe le 75ème rang en ce qui concerne le «capital humain et recherche» avec un score de 27,8 où il obtient la 47ème place dans le domaine de l’«éducation » (54). Pour ceux liés aux «infrastructures», le pays se situe au 61ème rang avec un score de 48 et une place acceptable en ce qui concerne le développement durable (47ème, 43,6). Avec un score de 65,6, le Maroc se place au 49ème rang dans les domaines du commerce et de la concurrence, alors qu’il occupe un rang peu enviable dans celui du «perfectionnement des affaires» (122ème) avec un score de 19,8 seulement. Par ailleurs, dans ses observations, l’OMPI fait aussi savoir que depuis 2012, les économies de la région «Afrique subsaharienne ont été plus nombreuses à obtenir des résultats relativement bons en matière d’innovation, par rapport à leur niveau de développement économique, que dans toute autre région», citant le cas du Kenya, de l’Afrique du Sud, du Rwanda et du Mozambique qui se sont distingués cette année en matière d’innovation. S’agissant de l’Afrique du Sud, le rapport indique que ce pays «bénéficie d’un marché du crédit et des placements relativement perfectionné, comme le montrent des indicateurs tels que le crédit interne au secteur privé et la capitalisation boursière des entreprises», soulignant d’autres indicateurs de bons résultats telles que la rémunération de la propriété intellectuelle et la qualité des publications. Quant au Rwanda, il ressort que ce pays «a fait des progrès considérables qui lui ont permis d’avancer de cinq places par rapport à 2018 pour atteindre la quatre-vingt-quatorzième position», ce qui lui vaut le titre de meilleure économie du groupe des pays à faible revenu. Selon l’organisation, le pays des mille collines a affiché de «bons résultats s’agissant de la formation de capital, la facilité d’accès au crédit, la formation professionnelle offerte par les entreprises et les importations de produits de haute technologie». Commentant le classement, le directeur général de l’OMPI, Francis Gurry, a estimé que «l’Indice mondial de l’innovation nous montre que les pays qui donnent la priorité à l’innovation dans leurs politiques ont enregistré une progression importante dans leur classement». A souligner que ce classement a été également publié avec les experts partenaires de l’édition 2019 de l’Indice mondial de l’innovation, la Confédération des industries indiennes, Dassault Systèmes – the 3DEXPERIENCE Company, la Confédération nationale de l’industrie du Brésil et le Service brésilien d’aide aux microentreprises et petites entreprises (Sebrae). Alain Bouithy
Le Maroc à la 49ème position en matière de facilitation du commerce
Le Royaume gagne trois places dans le classement du Forum économique mondial Le Maroc s’est hissé au 49ème rang à l’échelle mondiale en matière de facilitation du commerce. Selon les résultats du «Global Enabling Trade Report», le classement du Forum économique mondial (WEF), il a gagné trois petites places au classement. Pour rappel, il occupait la 52ème place en 2014. Le Maroc devance ainsi son principal rival l’Afrique du Sud qui se place à la 55ème place. Il devance la Tunisie (91ème), l’Egypte (116ème), l’Algérie (121ème) et le Nigeria (127ème). Co-publié par le Forum économique mondial et l’Alliance mondiale pour la facilitation du commerce, ce rapport présente l’Indice du commerce habilitant qui évalue le degré d’intégration et d’ouverture des pays au commerce international. « Il évalue 136 économies en fonction de leur capacité à faciliter le flux de marchandises au-delà des frontières et à leur destination », expliquent les auteurs du document. Ainsi, selon les auteurs du rapport, « l’Algérie (en hausse de six) et le Maroc ont nettement amélioré leur positionnement, confirmant la tendance positive de l’intégration croissante en Méditerranée occidentale». Ils ajoutent que «d’autres pays de la région restent largement coupés des flux commerciaux. En particulier le Yémen (134e) et la République islamique d’Iran (132e), où la levée des sanctions internationales pourrait améliorer la situation à l’avenir. » Grâce à cette remontée, le Maroc rejoint désormais le peloton de tête des pays africains, puisqu’il occupe désormais la deuxième place, juste après la République de Maurice (39ème). A noter qu’en termes d’accès au marché intérieur, le Maroc se situe au 91ème rang mondial. Derrière la Turquie, la Thaïlande, la Tanzanie et la Suisse. Concernant l’accès au marché étranger, il se trouve à la 30ème place derrière l’Espagne, la Croatie et la Pologne. Pour ce qui est de l’efficacité et de la transparence de l’administration des frontières, le Maroc trône à la 54ème place, mais devance le Costa Rica, la Grèce, Bahreïn et le Rwanda. S’agissant de la disponibilité et la qualité des infrastructures des transports, le Royaume se situe à la 33ème place. Juste au-dessous de l’Afrique du Sud, du Panama, de l’Arabie Saoudite et d’Oman. « L’Afrique subsaharienne est la région qui s’est le mieux améliorée en 2016, grâce à des améliorations significatives de l’accès aux marchés (notamment l’étranger) et de l’adoption des TIC, où elle reste cependant à la traîne par rapport au reste du monde, augmentant ainsi son écart », note le rapport. Selon le rapport, la Zambie, le Zimbabwe, le Cameroun et la Mauritanie ont amélioré leur score ETI par rapport à la précédente édition. Alors que « la performance de Maurice a stagné, faisant glisser le pays neuf rangs à la 39ème », fait-on observer. Le manque d’infrastructures et la mauvaise qualité des services de transport seraient deux des principaux goulets d’étranglement de la participation de l’Afrique subsaharienne au commerce international, relève le rapport. En conséquence, « la répartition des résultats pour ces deux piliers est la plus déséquilibrée vers le bas du classement ». A noter qu’à l’échelle mondiale, Singapour, les Pays-Bas et Hong-Kong se retrouvent aux trois premiers rangs de ce classement. Ils sont suivis par le Luxembourg, la Suède, la Finlande, l’Autriche, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Belgique. Plus loin, en bas du classement, on retrouve le Venezuela (136ème). Le pays de l’ancien président Hugo Chavez arrive juste après le Yémen et le Tchad. Pour rappel, le rapport présente une évaluation des obstacles entravant le commerce extérieur sur la base d’un indicateur composite « Enabling Trade Index (ETI)», qui permet de comparer les pays en fonction de quatre principaux critères importants : l’accès aux marchés, les infrastructures de transport et de communications, l’administration des douanes et l’environnement des affaires.
Le Classement des personnalités de ces trois dernières années
Le journal web Pagesafrik (ex-Starducongo.com) lance la première édition de son classement des personnalités de la scène artistique, sportive, sociale et politique les plus médiatisées dans ses pages –Edition 2010-2013. Malgré les nombreuses attaques dont il fait l’objet, Koffi Olomide domine ce classement aux côtés de sa protégée Cindy le Cœur. Mais si le patron du groupe Quartier Latin vient largement en tête des artistes les plus « populaires », il est aussi celui qui aura suscité le plus « polémique » durant cette même période. Du côté de Brazzaville, on retiendra une chanteuse -Betty Novallis- qui s’adjuge la seconde place du Top 5 des personnalités les plus populaires. Absents de cette rubrique, ses compatriotes tirent leur épingle du jeu dans la catégorie des personnalités les plus « commentées ». Avec à leur tête l’une des grandes figures de la scène musicale congolaise de ces trois dernières décennies : Youlou Mabiala, suivi en quatrième position de Ruffin Hodja et de l’immense Edo Ganga (5ème position). Signe particulier, aucun sportif (à l’exception de l’Ivoirien Didier Drogba) ni même d’acteur associatif ne figure dans ce classement. On notera toutefois la présence dans ce hit du général JF. Ndengue dans la catégorie « Polémique » Il est à souligner que la méthode utilisée pour élaborer ce classement se base notamment sur les statistiques de lectures et commentaires.