Selon les chiffres publiés par Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne, en avril 2020, le taux de chômage corrigé des variations saisonnières s’est établi à 7,3% dans la zone euro, en hausse par rapport au taux de 7,1% enregistré en mars 2020.
Dans l’UE, le taux de chômage s’est établi à 6,6% en avril 2020, en hausse par rapport au taux de 6,4% de mars 2020, a indiqué Eurostat estimant qu’en avril 2020, 14,079 millions d’hommes et de femmes étaient au chômage dans l’UE, dont 11,919 millions dans la zone euro.
Par rapport à mars 2020, le nombre de chômeurs a augmenté de 397 000 dans l’UE et de 211 000 dans la zone euro, a ajouté l’Office dans un communiqué rendu public récemment.
En avril 2020, le deuxième mois pendant lequel les mesures de confinement liées au Covid-19 ont été mises en place par la plupart des Etats membres, le taux de chômage corrigé des variations saisonnières s’est établi à 7,3% dans la zone euro, en hausse par rapport au taux de 7,1% enregistré en mars 2020.
Dans l’UE, le taux de chômage s’est établi à 6,6% en avril 2020, en hausse par rapport au taux de 6,4% de mars 2020. Ces chiffres sont publiés par Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne.
Eurostat estime qu’en avril 2020, 14,079 millions d’hommes et de femmes étaient au chômage dans l’UE, dont 11,919 millions dans la zone euro. Par rapport à mars 2020, le nombre de chômeurs a augmenté de 397 000 dans l’UE et de 211 000 dans la zone euro.
Toujours en avril 2020, le taux de chômage des femmes s’est établi à 6,8% dans l’UE, en hausse par rapport au taux de 6,7% de mars 2020. Le taux de chômage des hommes était quant à lui de 6,4% en avril 2020, contre 6,1% en mars 2020. Dans la zone euro, le taux de chômage est resté inchangé pour les femmes, à 7,6% en avril comme en mars 2020 et il a augmenté de 6.8% à 7.0% pour les hommes.
A noter que les mesures de confinement introduites à partir de mars 2020 en raison du COVID-19 ont déclenché une forte hausse des demandes d’indemnisation chômage dans l’UE.
Dans le même temps, l’Office relève qu’une part importante des personnes qui étaient déjà inscrites dans les agences pour l’emploi n’étaient plus en recherche active d’emploi en raison des limitations imposées par le confinement ou, par exemple, parce qu’elles devaient s’occuper de leur(s) enfant(s) pendant cette période et n’étaient donc plus disponibles pour travailler.
Cette situation conduit à des écarts entre le nombre de chômeurs enregistrés dans les agences pour l’emploi et ceux mesurés comme chômeurs selon la définition du BIT, a-t-il fait savoir.