Maroc Telecom entame l’année avec des résultats encourageants
Maroc Telecom a entamé l’année 2022 avec des résultats encourageants, a annoncé le Groupe qui vient de publier ses résultats consolidés au titre du premier trimestre 2022. Ainsi, au premier trimestre 2022, le résultat net ajusté part du Groupe (RNPG) a enregistré une progression de 2,5% à taux de change constant par rapport au premier trimestre de l’année précédente pour s’établir à 1,5 milliard de dirhams (MMDH). Le résultat opérationnel avant amortissement (EBITDA) ajusté du Groupe Maroc Telecom a accusé au cours de la même période une légère baisse de 0,9% (-0,1% à taux de change constant) pour atteindre 4,519 MMDH, grâce aux efforts continus de maîtrise des coûts opérationnels, a indiqué le Groupe ajoutant que la marge d’EBITDA a progressé de 0,3 pt à taux de change constant et s’est maintenu au niveau élevé de 51,5%. Sous l’effet de la baisse de la charge d’amortissement, le résultat opérationnel (EBITA) ajusté consolidé du Groupe s’est établi à 2,815 MMDH, correspondant à une hausse de 2,5% (+3,2% à taux de change constant), a indiqué Maroc Telecom dans un communiqué sur ses résultats consolidés du 1er trimestre 2022. Selon la même source, la marge d’exploitation ajustée a pour sa part affiché une progresse de +1,2 pt à taux de change constant pour atteindre 32,1%. En s’établissant à 8,8 milliards de dirhams au titre des trois premiers mois de l’année, le chiffre d’affaires consolidé du Groupe Maroc Telecom a accusé une baisse de 1,6% (-0,6% à taux de change constant). Dans son communiqué, le Groupe précise que son CA a été soutenu par les revenus à l’international qui ont progressé de 1,8% à taux de change constant et ont compensé en partie la baisse des revenus observée au Maroc (-2,7%). Lesquels revenus sont toujours impactés par l’environnement concurrentiel et règlementaire. Au niveau du parc, il ressort des chiffres publiés que le nombre de clients du Groupe s’est accru de 3,6% sur un an. Tiré essentiellement par la croissance des parcs Mobile au Maroc et dans les filiales qui a progressé respectivement +2,8% et +4,4%, il a atteint près de 76 millions à fin mars 2022. Quant au Cash Flow, il apparaît que les flux nets de trésorerie opérationnels (CFFO) ajustés se sont établis à 3,151 MMDH, ce qui correspond à une hausse de 17,5% (+18,5% à taux de change constant) par rapport à la même période de 2021. Au niveau national, les activités de Maroc Telecom ont généré un chiffre d’affaires de 4,756 MMDH, en baisse de 2,7% suite au recul des revenus des activités Mobile qui ont reculé de -5,1% «dans un contexte réglementaire et concurrentiel difficile, et partiellement compensées par la Data Fixe toujours en croissance soutenue (+8,3%), a expliqué le Groupe. En recul de 2,2% par rapport à la même période de l’année précédente, le résultat opérationnel avant amortissement (EBITDA) ajusté a de son côté atteint 2,613 MMDH, tandis que la marge d’EBITDA s’est améliorée de 0,3 pt pour s’établir au niveau élevé de 54,9%. En raison de la baisse des charges d’amortissement, le résultat opérationnel (EBITA) ajusté est pour sa part ressorti à 1,742 MMDH, quasi stable (-0,1%). Alors que la marge d’EBITA ajusté s’est établie à 36,6%, en amélioration de 0,9 pt. Quant aux flux nets de trésorerie opérationnels (CFFO) ajustés, ils se sont s’améliorés de 57,1% pour atteindre 1 919 millions de dirhams. Selon Maroc Telecom, à fin mars 2022, le parc Mobile comptait 19,9 millions de clients, en hausse de 2,8% sur un an, tandis que le chiffre d’affaires Mobile enregistrait une baisse de 5,1% par rapport à la même période de l’année précédente, en raison notamment du contexte réglementaire et concurrentiel. S’agissant du parc Fixe, il a perdu 2,6% et s’est établi à près de 2 millions de lignes à fin mars 2022. « Le parc Haut Débit compte 1,7 million d’abonnés, tiré par l’expansion du parc FTTH (+47%) qui compense en partie les pertes de clients ADSL », a fait savoir l’opérateur ajoutant que les activités Fixe et Internet ont généré un chiffre d’affaires de 2,394 MMDH en hausse de 1% par rapport à 2021 et que l’importante croissance de la Data Fixe (+8,3%) a compensé la baisse de la voix. Signalons que les activités du Groupe à l’international ont enregistré un CA de 4,3 milliards de dirhams, en hausse de 1,8% à taux de change constant, porté par la croissance de la Data Mobile (+29%) et qu’hors baisse des terminaisons d’appel, les revenus des filiales ont progressé de 2,8% à taux de change constant. Sur la même période, Maroc Telecom indique que le résultat opérationnel avant amortissement (EBITDA) ajusté s’est établi à 1,906 MMDH, en hausse de 0,9% (+2,8% à taux de change constant) tiré par la hausse du chiffre d’affaires. Grâce à la croissance de l’EBITDA et la baisse de la charge d’amortissement, le résultat opérationnel (EBITA) ajusté s’est établi à 1,074 MMDH au premier trimestre 2022, soit une hausse de 9% à taux de change constant. En baisse de 13,8% à taux de change constant, les flux nets de trésorerie opérationnels ajustés (CFFO) sont ressortis à 1,232 MMDH, «en lien principalement avec la hausse de 97% des investissements à taux de change constant». Alain Bouithy
Maroc Telecom maintient le cap
Maroc Telecom a maintenu le cap au troisième trimestre de l’année 2018, selon les derniers chiffres publiés par le groupe et qui font état d’une croissance soutenue de ses revenus provenant de l’ensemble de ses marchés au Maroc et dans les filiales. «Avec une croissance soutenue de tous les indicateurs clés du Groupe, ce troisième trimestre de 2018 confirme la tendance positive observée depuis le début d’année dans l’ensemble de ses marchés», s’est réjoui le président du directoire du groupe, Abdeslam Ahizoune. En effet, au terme des neuf premiers mois de l’année 2018, le résultat net part du Groupe (RNPG) a affiché une forte hausse de 7,0% (+6,6% à change constant) par rapport à la même période de l’année dernière. L’accroissement du RNPG est attribué principalement à la croissance de l’activité au Maroc et de la comptabilisation de charges de restructuration au cours des neuf premiers mois de 2017. Autre amélioration relevée au 30 septembre 2018, celle du chiffre d’affaires du Groupe Maroc Telecom qui a atteint 27.137 millions de dirhams, ce qui correspond à une hausse de 4,3% (+3,3% à taux de change constant). Comme pour le RNPG, «cette performance tient essentiellement à la forte croissance du chiffre d’affaires des activités au Maroc (+5,1%) qui profitent de la hausse des usages et des parcs Data, conjuguée à celle des revenus des filiales (+2,4% à taux de change constant)», a expliqué le groupe. Soulignons qu’à fin septembre toujours, le résultat opérationnel avant amortissements (EBITDA) atteint 13.474 millions de dirhams, en hausse de 4,0% (+3,2% à taux de change constant) grâce à la croissance de l’EBITDA au Maroc. A ce propos, le groupe précise que le taux de marge d’EBITDA est resté stable et s’est maintenu toujours au niveau élevé de 49,7%. En ce qui concerne le parc du groupe, les chiffres indiquent qu’il s’est élevé à plus de 61 millions de clients au 30 septembre 2018, correspondant à une hausse de 8,4% sur un an. Selon les analyses du groupe, cette évolution a été tirée par la croissance soutenue des parcs Haut Débit Mobile et Fixe au Maroc (+17,2% et +10,2% respectivement) ainsi que celle des parcs Mobile des filiales (+10,9%). Signalons aussi qu’en dépit de la hausse de 1,9% de la charge d’amortissements consécutive à l’important effort d’investissement, le résultat opérationnel (EBITA) ajusté du groupe a progressé de 4,6% par rapport à la même période de 2017 (+4,0% à taux de change constant) pour s’établir à 8 462 millions de dirhams. A en croire Maroc Telecom, cette progression est directement liée à celle de l’EBITDA (3,2% à taux de change constant) et aboutit à un taux de marge d’EBITA ajusté de 31,2%. Quant au Cash Flow, il ressort que les flux nets de trésorerie opérationnels (CFFO) ajustés se sont élevés à 7.427 millions de dirhams, en retrait de 5,6% (-5,9% à taux de change constant). Alors que les flux nets de trésorerie opérationnels hors ajustements sont en hausse de 3,3% (+3,2% à change constant), suite aux décaissements liés au plan de départs volontaires en 2017. Commentant l’évolution des activités du groupe au niveau national, Abdeslam Ahizoune a relevé que «le Maroc, avec une croissance accélérée de ses activités, capitalise sur la qualité de son réseau et de ses services pour accompagner le développement des usages Data de ses clients, notamment grâce à son réseau 4G qui couvre 98% de la population». A propos justement de la Data, le groupe explique que sous l’effet de son essor de la Data, les activités Mobile et Fixe (en hausse soutenue de 5,0% et 3,6% respectivement), ont contribué à générer des revenus au Maroc de 16.095 millions de dirhams pour les neuf premiers mois de l’année, en forte progression de 5,1%. Quant au résultat opérationnel avant amortissement (EBITDA) des neuf premiers mois de 2018, il s’est élevé à 8 558 millions de dirhams, soit une hausse de 5,2%, en raison notamment de la hausse du chiffre d’affaires. De son côté, la marge d’EBITDA, au niveau élevé de 53,2%, est restée en amélioration continue en gagnant +0,1 pt par rapport à la même période de l’année précédente. En ce qui concerne l’EBITA ajusté, il a atteint 5.743 millions de dirhams, représentant une croissance de 7,9%, « du fait de la hausse de l’EBITDA et d’une charge d’amortissement quasiment stable (+0,2% par rapport à la même période de l’année dernière)», a noté Maroc Telecom soulignant que la marge d’EBITA ajusté s’est située à 35,7%, en hausse de 0,9 point sur une année. Enfin, les flux nets de trésorerie opérationnels ajustés au Maroc ont connu une amélioration de 3,0%, pour atteindre 5.489 millions de dirhams grâce à la croissance de l’activité et à la baisse du niveau des investissements. Ajoutons que le parc(6) Mobile, avec 19,7 millions de clients, a crû de manière significative (+4,1% sur une année) aussi bien sur le segment postpayé (+7,2%) que prépayé (+3,8%). «Avec la croissance de l’Internet Mobile, le CA Mobile poursuit sa croissance pour atteindre 10 501 millions de dirhams, en hausse de 5,0% sur l’ensemble des neuf premiers mois», a noté la société notant que sur le seul troisième trimestre, cette croissance a atteint 7,8%. Quant au parc Fixe, il s’est établi à 1,8 million de lignes à fin septembre, en amélioration de 6,7%, porté par le segment résidentiel dont le parc croît de 9,1%. Le parc Haut Débit progresse de 10,2% pour atteindre 1,5 million d’abonnés grâce aux offres haut débit sur ADSL et fibre optique. Abdeslam Ahizoune a souligné que « les filiales africaines, malgré une forte pression concurrentielle et réglementaire, maintiennent une dynamique positive avec une contribution significative aux résultats du Groupe». Alain Bouithy
Le Maroc détient le débit Internet le plus rapide du monde arabe
Le Maroc possède le débit Internet le plus rapide dans le monde arabe, selon les conclusions d’une récente étude qui a passé au crible les performances de 189 pays en matière de vitesse de connexion. L’étude, présentée récemment par le groupe anglais Cable, classe les vitesses Internet mondiales en comparant le temps nécessaire pour chaque pays analysé de « télécharger un film HD de 7,5 Go ». Les données analysées par cette société spécialisée dans l’analyse de la distribution Internet et des services de télécommunication et de télévision, se basent sur plus de 63 millions de tests de vitesse effectués à travers le monde au cours des 12 mois jusqu’au 10 mai 2017. Ainsi, avec un temps de téléchargement de 3heures 53 minutes et 40 secondes pour une vitesse moyenne de connexion estimée à 4,38 Mbps, le Maroc se situe au 79ème rang mondial de ce classement dominé par Singapour (18 minutes et 34 secondes), la Suède (25 minutes et 30 secondes), Taiwan (29 minutes et 46 secondes), le Danemark (30 minutes et 32 secondes) et les Pays-Bas (30 minutes et 33 secondes). D’après les statistiques fournies par cette entreprise, la Lettonie (33 minutes et 43 secondes), la Norvège (35 minutes et 09 secondes), la Belgique (37 minutes et 25 secondes), Hong Kong (37 minutes et 42 secondes) et la Suisse (38 minutes et 01 minute) figurent parmi les autres pays proposant les connexions les plus rapides au monde. Ils complètent respectivement le Top 10 dudit classement. A noter que le Maroc se place à la première place du classement sur les 22 pays arabes analysés dans le cadre de cette enquête consacrée à l’analyse des performances des débits Internet. Dans la région « pays arabes », le Maroc devance notamment les Emirats arabes unis (4 heures, 5 minutes, 39 secondes), le Qatar (4 heures, 23 minutes, 14 secondes), la Tunisie (4 heures, 52 minutes, 23 secondes), Bahreïn (5 heures, 27 minutes, 18 secondes), l’Arabie Saoudite (5 heures, 34 minutes, 57 secondes), la Jordanie (5 heures, 43 minutes, 24 secondes), Oman (6 heures, 32 minutes, 23 seconds), le Koweït (7 heures, 44 minutes, 1 seconde) et la Palestine (8 heures, 43 minutes, 33 secondes). Dans ce même espace, le Maroc arrive loin devant la Mauritanie qui se retrouve au 12ème rang avec 11 heures, 3 minutes et 38 secondes; Djibouti (13ème avec 13 heures, 39 minutes et 29 secondes); l’Egypte se situe au 14ème rang avec 13 heures, 59 minutes et 27 secondes alors que l’Algérie pointe au 15ème rang avec 15 heures et 21 minutes. Toujours dans les pays arabes, ce classement est complété par le Soudan à la 16ème place avec un temps de téléchargement de 15 heures, 34 minutes, 12 secondes. Il est suivi par la Libye à la 18ème place et la Somalie à la 20ème place, avec respectivement 19 heures et 14 minutes et 1 jour, 3 heures, 27 minutes et 33 secondes. Signalons que le Yémen, qui apparait au 21ème rang du classement des pays arabes et 189ème au niveau mondial, aurait besoin de 2 jours, 2 heures, 2 minutes et 28 secondes pour télécharger un film Full HD de 7,5 Go (giga-octets). Au niveau du continent africain, qui abrite plus de la moitié des pays possédant les débits Internet parmi les pires du monde, c’est le Kenya qui détient le débit le plus rapide avec une vitesse de téléchargement de 8,83 Mbps (1heure, 55 minutes et 55 secondes). Classé au 51ème rang mondial, ce pays d’Afrique de l’Est devance le Maroc et l’Afrique du Sud qui pointe au 80ème rang mondial avec un débit moyen de 4,36 Mbps (3heures, 54 minutes et 54 secondes).
L’opérateur Méditel passe du rouge à l’Orange
Le groupe français promet d’adapter son ADN à la réalité du marché marocain Méditel a officiellement troqué, jeudi 8 décembre, son nom contre celui d’Orange. Le deuxième opérateur national de téléphonie mobile évoluera donc ouvertement sous les couleurs du groupe de télécommunication français. «Le Royaume est le dernier pays qui va passer sous la marque Orange. On aura eu trois opérations importantes cette année : l’Egypte, la Belgique et aujourd’hui le Maroc», a d’emblée souligné Stéphane Richard, président directeur général du groupe français. Qualifiant cette étape d’importante pour le développement future de la filiale du groupe au Maroc, Yves Gauthier, directeur général d’Orange au Maroc, a indiqué, pour sa part, que l’opérateur national rejoignait «une famille très importante, en constante évolution et surtout déjà présente en Afrique du Nord, en Egypte et en Tunisie. Nous pensons qu’intégrer cette famille nous donnera l’expertise et la puissance nécessaires à notre positionnement qui, je l’espère, sera celui du meilleur opérateur du digital». Selon le comité de direction du groupe, les premiers fruits du rebranding de l’opérateur marocain en Orange devraient se faire ressentir chez les clients dans les jours et semaines à venir. Des offres seront mises sur le marché au fur et à mesure et ce sur plusieurs mois, a-t-il assuré. En guise de bienvenue, «nous allons d’abord donner, sans condition, à tous nos clients 60 minutes de communications gratuites sur le réseau Orange et aux clients post-payés, nous allons leur donner jusqu’à 5GO», a précisé Yves Gauthier, assurant qu’une transformation profonde a été entreprise pour relever les standards par rapport aux services rendus aux clients. Concernant les offres, Stéphane Richard a ajouté que le groupe mettra en place des formules de corridor pour l’ensemble des appels internationaux entrants et sortants qui permettront aux clients Orange au Maroc de bénéficier des conditions très privilégiées pour appeler la France et l’Espagne en particulier. «Ce ne sont là que deux exemples, mais l’idée c’est de faire à ce que tous nos abonnés puissent accéder à un monde de qualité que leur confère le simple fait d’être clients. C’est vrai pour eux, mais aussi pour les collaborateurs et les employés qui vont, maintenant qu’ils sont salariés d’Orange, faire partie intégrante du groupe, partager ses valeurs et accéder à des possibilités de formation et de mobilité plus étendues». Le PDG d’Orange a, par ailleurs, indiqué que «ce qu’on souhaite, c’est d’offrir à tous les clients à travers le monde, et donc au Maroc, une expérience particulière, meilleure que ce qu’on peut trouver ailleurs avec un certain nombre de points qui vont faire la différence». Stéphane Richard s’est aussi exprimé sur le fixe, rappelant que le groupe est un opérateur convergent, c’est-à-dire que la marque est présente non seulement dans le mobile mais aussi dans le fixe. «Malheureusement, le marché du fixe au Maroc n’est pas très concurrentiel puisqu’un opérateur détient 99, 7% de parts de marché», a-t-il regretté. Malgré tout, «on compte bien rentrer sur ce marché du fixe et y apporter aussi notre savoir-faire, nos compétences et proposer une expérience de convergence entre le fixe et le mobile. C’est en tout cas notre ambition», a-t-il lancé. Au cours de cette rencontre, le top management du groupe a aussi confié qu’Orange investissait massivement pour améliorer la qualité de son réseau. Yves Gauthier a assuré que d’ici deux semaines, la couverture 3 et 4G sera nettement améliorée à Casablanca. A noter que le groupe détient 49% du capital d’Orange Maroc aux côtés des actionnaires marocains que sont la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et Finance.com qui en détiennent 51% et «qui ont été des partenaires extrêmement fidèles et nous ont accompagnés dans cette décision importante de changer d’enseigne», a souligné le PDG du groupe. A noter qu’Orange compte parmi les dix premières marques mondiales dans le secteur des télécommunications avec un niveau de notoriété très élevé. Elle fait aussi partie des 50 premières marques tous secteurs confondus. A ce propos, Stéphane Richard a relevé que «même au Maroc où elle n’existait pas encore, la marque avait déjà une notoriété très élevée pratiquement aussi élevée que celle de Méditel. Pour nous, c’est donc un actif très important», a-t-il insisté en rappelant qu’«on est le groupe des télécoms qui a le plus grand nombre d’opérations nationales».