Programme nucléaire du Burkina : Le Directeur général de l’Énergie, Dr Alidou Koutou, précise les prochaines étapes après la signature de l’accord intergouvernemental

Le Directeur général de l’Énergie, Dr Alidou Koutou, également point focal de Rosatom au Burkina Faso, était présent lors de la signature de l’accord nucléaire intergouvernemental intervenu le 19 juin 2025 à Saint-Pétersbourg. Interrogé ce matin par l’AIB, il a détaillé les prochaines étapes qui suivront cet accord stratégique entre le Burkina Faso et la Russie. Selon lui, un programme nucléaire est une entreprise d’envergure qui exige une planification rigoureuse, des investissements considérables dans les études préliminaires, le renforcement des institutions, et la mobilisation de ressources humaines. Ce programme, bien que comparable à d’autres projets énergétiques, se distingue par des exigences spécifiques en matière de sûreté, de sécurité et de garanties internationales. Dr Koutou a rappelé que les bénéfices pour le Burkina Faso sont multiples : production d’énergie à coût acceptable, sécurité énergétique accrue, retombées socio-économiques importantes et contribution à la lutte contre le changement climatique. Il a précisé que l’infrastructure nécessaire englobe non seulement les installations physiques telles que les réseaux électriques et les infrastructures de transport, mais aussi les compétences humaines, les ressources financières, ainsi qu’un cadre juridique et réglementaire solide. La signature de l’accord intergouvernemental permettra ainsi de renforcer les activités déjà engagées par les groupes de travail en vue de la mise en place de ces infrastructures. Ces travaux sont structurés en trois étapes. La première, en cours, vise à produire un rapport complet pour soutenir la volonté politique exprimée, conformément aux recommandations de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Ce rapport couvrira entre autres l’analyse de la demande énergétique nationale et des alternatives disponibles, une évaluation des impacts économiques du nucléaire (notamment sur le PIB et l’emploi), une étude technologique préliminaire pour identifier les solutions compatibles avec les besoins du pays, ainsi que la sélection possible de sites et l’analyse de la capacité du réseau électrique. Il abordera aussi l’estimation des coûts nécessaires pour les phases suivantes, l’étude des options de financement et de gestion, les responsabilités de l’exploitant, ainsi que la viabilité du marché de l’électricité pour garantir une exploitation sûre et durable. La gestion des risques, même improbables, comme un rejet radiologique majeur, et la capacité du pays à faire face à de telles situations seront également examinées. Par ailleurs, le rapport proposera des mesures pour l’adhésion aux instruments juridiques internationaux pertinents, l’élaboration d’un cadre juridique national cohérent, la mise en place d’une autorité de régulation indépendante, et le développement des bases réglementaires en matière de sûreté, de sécurité et de garanties. Il intégrera également des plans pour la gestion des déchets radioactifs, le déclassement des installations, et la création d’un système de communication transparent pour renforcer la confiance nationale et internationale. Une attention particulière sera portée à la formation et à l’acquisition des compétences requises, aussi bien pour les techniciens que pour les institutions telles que l’autorité de régulation et l’exploitant. Ce document sera soumis à un examen par les pairs, à travers une mission de l’Équipe d’examen intégré de l’infrastructure nucléaire (INIR) de l’AIEA, pour accompagner le Burkina Faso dans son processus. La deuxième étape du programme consistera à préparer les négociations contractuelles en vue de la construction de la centrale, tandis que la troisième sera dédiée à la mise à niveau des capacités techniques et à la préparation de l’exploitation effective de l’installation. AIB
Kinshasa : signature du Mémorandum des politiques économiques et financières

Le ministre des Finances, Doudou Fwamba, a signé, mardi 17 juin, le Mémorandum des politiques économiques et financières lors de la réunion stratégique de la Troïka politique, tenue au Centre financier de Kinshasa. À travers ce document clé, le gouvernement congolais vise à renforcer la gouvernance économique à l’échelle nationale. Selon l’argentier national, la signature de ce mémorandum constitue un jalon essentiel dans le processus de finalisation du nouveau programme soutenu par le Fonds monétaire international (FMI), en prélude à la réunion du Conseil d’administration prévue le 2 juillet prochain. Il a indiqué que cet acte traduit l’alignement institutionnel autour des réformes prioritaires menées sous la conduite du gouvernement. Les ministères des Finances et du Budget, en étroite coordination avec la Banque centrale du Congo, s’engagent à accélérer la mise en œuvre des mesures structurantes attendues d’ici la fin du mois de juin. Les ministres Doudou Fwamba des Finances et Aimé Boji du Budget ont enjoint leurs équipes techniques à se mobiliser rapidement afin de faire le point sur l’état d’avancement et d’harmoniser les actions à entreprendre. Ils franchissent une étape décisive et font preuve d’une volonté politique affirmée pour consolider la stabilité macroéconomique et renforcer la confiance des partenaires internationaux. La signature de ce mémorandum intervient une semaine après l’adoption par l’Assemblée nationale de huit projets de loi ratifiant des accords de prêts et de financements conclus avec des partenaires bilatéraux et multilatéraux, pour un montant total avoisinant les deux milliards de dollars. Ces fonds, provenant notamment de la Banque mondiale et de l’Agence française de développement, sont destinés à des projets tels que la construction du barrage Inga 3 et la prévention des catastrophes naturelles dans des villes comme Boma et Kalemie. Radio Okapi
Maroc: Cérémonie de signature de la documentation juridique relative à un prêt de 110 M€ accordé par la BERD à la Société Nador West Med

Madame Nadia FETTAH – Ministre de l’Economie et des Finances a présidé, le 17 mars 2025, au siège de son Département, la cérémonie de signature de la documentation juridique relative au financement par la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) des travaux d’aménagement de la zone d’activité du complexe industrialo- portuaire de Nador West Med. A cette occasion, Monsieur Antoine SALLE DE CHOU – Directeur de la BERD au Maroc et Monsieur Mohamed Jamal BENJELLOUN – Directeur Général de la Société Nador West Med (NWM), ont procédé à la signature d’un contrat de financement de 110 M€. Ce financement constitue la troisième contribution de la Banque en faveur de NWM, confirmant son engagement à soutenir le Royaume dans le déploiement de ses projets stratégiques. Les deux responsables ont procédé également à la signature de trois contrats de dons d’un montant global d’environ 10 M€, mobilisés respectivement auprès du Fonds multi-donateurs « Partenariat à Fort Impact sur l’Action pour le Climat » du Royaume-Uni, représenté à cette cérémonie par la Chargée d’affaires auprès de l’Ambassade, du Fonds Spécial des Actionnaires de la BERD et du Fonds pour l’Environnement Mondial. Lors de son intervention, Madame Nadia FETTAH a mis en avant l’importance du lancement des travaux de la zone d’activités, qui marque une nouvelle étape clé après l’achèvement du port en eau profonde. Cette infrastructure, conçue selon les standards internationaux, ambitionne de créer un écosystème propice à l’investissement et aux échanges commerciaux, contribuant ainsi à l’essor économique de la Région de l’Oriental. Au terme de la cérémonie, Madame Nadia FETTAH et les responsables de la BERD se sont réjouis de la solidité et de la qualité des relations de coopération entre le Maroc et l’institution. Ils ont également réaffirmé leur engagement commun à renforcer et à approfondir davantage ce partenariat.
Sixième session de la commission mixte Maroc-Yémen: Signature de plusieurs accords et mémorandums d’entente

Le Maroc et le Yémen ont signé, vendredi à Rabat, plusieurs accords et mémorandums d’entente couvrant divers secteurs vitaux, à l’occasion de la tenue de la 6ème session de la Commission mixte Maroc-Yémen. Ainsi, les deux parties ont signé un accord relatif à la reconnaissance mutuelle des permis de conduire, un mémorandum d’entente de coopération dans le domaine des ressources en eau, un mémorandum d’entente pour la coopération technique dans le domaine des infrastructures routières et portuaires, ainsi qu’un mémorandum d’entente pour le renforcement des activités de coopération dans le domaine de la météorologie et de la climatologie. Les deux ministres ont également signé un mémorandum d’entente dans le domaine de la formation professionnelle, un accord exécutif portant sur la formation et la formation professionnelle et un accord comprenant un programme exécutif de coopération dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour la période 2025-2027. Au terme des travaux de cette session, le Maroc et le Yémen ont exprimé leur satisfaction de la qualité des relations établies entre les deux pays, ainsi que de leur évolution positive, conformément à la volonté politique et aux Orientations éclairées de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’Assiste, et de Son frère S.E. Dr Rashad Muhammad Al-Alimi, Président du Conseil de direction présidentiel de la République du Yémen, qui veillent à hisser ces liens à des niveaux plus élevés, à élargir davantage leurs horizons et à les inscrire dans une forte dynamique à la hauteur des aspirations des deux Chefs d’États et des deux peuples frères.
RDC – CEEEAC/TCHAD : le président Félix Tshisekedi a présidé la signature d’un accord politique entre le gouvernement tchadien et son opposition

Ce mercredi à la Cité de l’Union africaine, le Chef de l’État Félix Tshisekedi, en sa qualité de Facilitateur de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) dans la crise tchadienne, a présidé pour la troisième fois une cérémonie de signature d’un compromis politique entre le gouvernement du Tchad et l’opposition. Au terme de cet événement, le gouvernement tchadien représenté par le ministre des Infrastructures Aziz Mahamat Saleh et l’opposition ont convenu du retour au Tchad du Dr Hassan Barkai, Président de l’Union des forces démocratiques du Tchad (UFDT). « Trois ans après le début de la transition, nous sommes en phase de finalisation grâce au leadership du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Facilitateur dans cette transition. Cela est un exploit parce que plusieurs pays qui sont en transition sont encore loin », a déclaré Aziz Mahamat Saleh. « Nous félicitons ce compromis qui permettra aux opposants de rester en paix au pays. Et à travers cela, nous lançons un appel aux opposants qui sont encore en exil de rentrer au pays pour refonder ensemble notre nation », a conclu le ministre tchadien. De son côté, le Dr Barkai a exprimé sa joie de rentrer au Tchad après plusieurs années d’exil. « La situation politique au Tchad est plus calme après l’élection présidentielle. Aujourd’hui, le Tchad organise les élections législatives et locales pour finaliser la transition des institutions », s’est-il réjoui. Présent à cette cérémonie, le ministre congolais de l’Intégration régionale Didier Mazenga a félicité le Président Félix Tshisekedi pour la réussite de cette transition qui tend vers sa fin : « ce qui reste, c’est de poursuivre la mise en œuvre de la Feuille de route, l’organisation des élections provinciales et la mise en place des institutions du pays ». C’est le mardi 25 octobre 2024 que le Président Félix Tshisekedi a été désigné Facilitateur dans la crise tchadienne par ses pairs de la CEEAC.
Signature du term sheet entre Guinea Alumina Corporation et l’Etat guinéen

Le Ministre Directeur de Cabinet de la Présidence et Président du comité Stratégique de suivi du projet Simandou, Monsieur Djiba Diakité, a présidé jeudi 6 juin 2024, la signature d’un accord crucial pour l’avenir du secteur bauxitique de la République de Guinée. Il s’agit de la signature du term sheet entre Guinea Alumina Corporation (GAC) et l’État guinéen. Cet accord préliminaire marque une étape décisive dans le développement du projet de raffinerie d’alumine pour un coût global de 4 milliards de dollars et une production moyenne annuelle d’un million de tonnes d’alumine, un projet qui a longtemps stagné. Ce term sheet est un pas déterminant vers la transformation de la bauxite produite par GAC en Guinée, répondant ainsi à une demande formulée par le Président Général Mamadi Doumbouya en 2022. Cet aboutissement tire son essence de la ferme détermination du Chef de l’État, le Général Mamadi Doumbouya, à faire bénéficier au peuple souverain de Guinée la valeur ajoutée des richesses du sous-sol du pays. Pour matérialiser cette volonté politique, le Général Mamadi Doumbouya avait insisté auprès des partenaires miniers opérant en Guinée sur la nécessité de respecter leurs engagements en matière de construction de raffineries. La cérémonie de signature s’est déroulée dans la salle de conférence du Petit Palais de la Présidence ce jeudi 6 juin 2024, en presence de nombreux hauts responsables de l’administration présidentielle. Parmi eux, le Ministre Secrétaire Général de la Présidence, le Général Amara Camara, le conseiller juridique à la présidence, Dr Alpha Oumar Camara, le Ministre des Affaires étrangères, Dr Morissanda Kouyaté, le Ministre des Finances, Mourana Soumah, le Ministre des Mines, Bouna Sylla, le Ministre du Plan et de la Coopération Internationale, Ismael Nabé, le Ministre du Budget, Facinet Sylla, la Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Djami Diallo, le Gouverneur de la Banque Centrale de la République de Guinée, des membres du comité stratégique ainsi que des partenaires miniers de GAC. Le Directeur Général de GAC, Youssuff Sylla, ainsi que les partenaires de l’entreprise, notamment Abdulnasser Ibrahim Saif bin Kalban, chef de la direction d’EGA, et Al Qubaisi, vice-président mines et métaux de Mubadala, ont unanimement reconnu l’avancée cruciale et déterminante enregistrée avec la signature de cet accord. Ils se sont engagés à réaliser la raffinerie d’alumine de GAC, concrétisant ainsi leurs engagements contractuels dans un esprit de partenariat gagnant-gagnant. Le Ministre Directeur de Cabinet de la Présidence, Monsieur Djiba Diakité, a souligné l’importance de cet accord préliminaire, rappelant au passage l’insistance du Président Général Mamadi Doumbouya sur la nécessité de construction de raffineries d’alumine en Guinée. Ces infrastructures sont d’une importance stratégique pour le développement économique du pays, car elles permettront de créer des emplois, de développer des compétences locales et de stimuler la croissance économique, permettant l’essor d’une chaîne de valeur qui échappait jusque-là à la Guinée. En transformant les ressources naturelles sur place, la Guinée ne se positionnera plus comme un simple exportateur de matière brute, mais désormais comme un acteur clé dans la chaîne de valeur de la bauxite et de l’alumine au niveau mondial. Cette vision pragmatique du Général Mamadi Doumbouya démontre également son leadership agissant, plus déterminé que jamais à protéger les richesses du pays afin qu’elles profitent en premier lieu aux populations guinéennes et aux générations futures. Le Ministre Djiba Diakité a ainsi mis l’accent sur le respect des échéances pour éviter les erreurs du passé. Pour lui, l’État Guinéen a signé avec la société GAC un terme sheet très contraignant qui va inclure tous les intérêts vitaux de l’État à l’image des expériences des négociations du projet Simandou : – au moins 15% de participation non contributive et non dilutive au lieu de 0% actuellement ; – au moins le poste de PCA Guineen ; – les engagements fermes de construction de la raffinerie à défaut, le titre minier sera retiré conformément à l’article 88 du code minier guinéen. Le contenu local est aussi et surtout au cœur de cet accord, avec trois axes prioritaires : offrir en priorité des opportunités d’emploi aux Guinéens, offrir des opportunités de business aux entreprises guinéennes et former les Guinéens pour garantir le transfert de compétences et de technologies. La signature de ce term sheet entre GAC et l’État Guinéen marque une nouvelle avancée dans la concrétisation d’un projet majeur pour la Guinée ainsi que dans la mise en œuvre du plan impulsé par le Général Mamadi Doumbouya pour la transformation locale des matières premières. Une initiative présidentielle qui marque une étape cruciale dans le processus d’industrialisation du pays et la valorisation de ses ressources naturelles. Suite à la signature de ce term sheet préliminaire entre GAC et l’État Guinéen, le Ministre des Mines et de la Géologie, Bouna Sylla, a salué les efforts du Chef de l’État, le Général Mamadi Doumbouya, visant à doter la Guinée de raffineries de haute qualité pour transformer localement la bauxite en alumine, puis l’alumine en aluminium. Quant au Ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Guinéens établis à l’étranger, il estime que la signature de ce term sheet dépasse le cadre des mines et des infrastructures. Selon Dr Morissanda Kouyaté, elle symbolise avant tout le renforcement des relations de coopération entre les Émirats Arabes Unis et la Guinée. Ce partenariat stratégique ouvre la voie à de nouvelles opportunités économiques et diplomatiques, consolidant ainsi les liens entre les deux nations. Sous la direction éclairée du Président de la République, la Guinée est résolument engagée dans une dynamique de partenariat gagnant-gagnant avec ses partenaires industriels afin d’impulser un développement économique durable et inclusif au bénéfice du peuple souverain de Guinée. Avec Présidence
Rabat. Signature d’une Convention de partenariat entre le Haut-Commissariat au Plan et l’Institut national de la statistique de Guinée

A l’issue d’une visite de travail effectuée par une importante délégation de la République de Guinée au Royaume du Maroc, une convention de partenariat a été signée, à Rabat le 29 décembre 2023, entre le Haut-Commissariat au Plan (HCP), représenté par le Directeur Général de la Statistique de la Comptabilité Nationale et l’Institut National de la Statistique (INS), représenté par son Directeur Général. Ce partenariat vise à renforcer la collaboration des deux institutions dans les domaines clés de comptabilité nationale et de statistiques économiques et sociales. Au-delàs des domaines précités, la convention ouvre la voie à des discussions futures sur d’autres sujets potentiellement fructueux pour une collaboration soutenue. Parmi ceux-ci figurent le partage de l’expérience marocaine en matière de travaux cartographiques et de Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH), ainsi que l’appui du HCP en matière d’élaboration du Rapport National Volontaire de la Guinée. De plus, des opportunités éducatives et d’échange d’expertises seront explorées, telles que la possibilité pour les étudiants guinéens d’étudier à l’Institut National de Statistique et d’Économie Appliquée (INSEA) au Maroc, ainsi que des stages d’immersion pour les professionnels guinéens au sein du HCP. La signature de cette convention entre le Maroc et la Guinée dans le domaine crucial des statistiques renforce les liens bilatéraux, enrichie à l’occasion d’échanges d’expériences et de missions entre les deux institutions. Les deux parties ont exprimé leur satisfaction de la qualité de leurs discussions et des résultats obtenus lors de cette visite et ambitionnent de les élargir à d’autres thématiques relatives aux nouveautés méthodologiques en matière de comptabilité nationale, de reporting des objectifs de développement durable, et de statistiques économiques et sociales.
Guinée/Projet Simandou : le ministre directeur de cabinet de la présidence, président du comité stratégique de Simandou, préside la signature de 8 accords

Le gigantesque et ambitieux projet minier du mont Simandou continuent de franchir des étapes cruciales, marquant une avancée significative vers l’exploitation du plus important gisement de fer à haute teneur inexploité au monde. Sous la présidence éclairée du ministre directeur de cabinet de la présidence, Djiba Diakité, également président du comité stratégique de Simandou, au moins 8 documents contractuels ont été signés ce vendredi 22 décembre 2023. Cette action, conduite par un leadership fort du Ministre Djiba Diakité, rend le Co-développement du projet Simandou irréversible. Ces accords, conclus un an après la signature des Terms sheets avec Rio Tinto Simfer, Winning Consortium Simandou, et l’arrivée de Baowu, géant chinois de l’acier, témoignent de la volonté de matérialiser ce projet ambitieux. Le ministre directeur de cabinet de la présidence a réaffirmé son engagement à réaliser le projet Simandou, aligné sur la vision du président de la République, le Colonel Mamadi DOUMBOUYA, et dans l’intérêt des partenaires impliqués ainsi que le peuple souverain de Guinée. Avant la signature de ces documents, Bouna Sylla, président du conseil d’administration de la compagnie du TransGuinéen, a présenté les avancées techniques réalisées par toutes les parties, soulignant l’importance des efforts collectifs menés jusqu’à ce stade. Les représentants de Rio Tinto, du Winning Consortium Simandou et de Baowu ont de leur côté, exprimé leur solidarité envers le peuple guinéen suite au récent drame ayant endeuillé le pays. Ils ont également réaffirmé leur engagement à travailler de concert pour faire de ce projet une réussite majeure. Les ministres de l’économie et des Finances, du budget, des mines, ainsi que le gouverneur de la Banque Centrale de la République de Guinée, ont salué les accords signés et loué l’engagement continu des partenaires pour concrétiser le projet Simandou. Ce jalon historique marque une avancée majeure vers l’exploitation de ce gisement d’envergure mondiale, ouvrant la voie à une collaboration renforcée entre les partenaires pour le développement économique de la nation. La détermination de l’Etat grâce au leadership de SE le Colonel MD et à l’engagement soutenu des partenaires impliqués, le projet Simandou a atteint un point de non-retour. Cette nouvelle signature d’accords qui intervient en pleine période de crise due à l’explosion du principal dépôt hydrocarbures de Kaloum témoigne de cette volonté manifeste et inébranlable d’aller de l’avant et de rassurer. Le projet Simandou se positionne ainsi comme un symbole d’espoir et de persévérance, porté par un leadership engagé à tracer un avenir plus prometteur pour le peuple souverain de Guinée.