Mission économique Québec – Maroc : La CGEM et le CPQ font front commun pour augmenter les investissements et les échanges commerciaux entre le Québec et le Maroc

Mission économique Québec – Maroc : La CGEM et le CPQ font front commun pour augmenter les investissements et les échanges commerciaux entre le Québec et le Maroc

Le Conseil du patronat du Québec (CPQ) et la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) clôturent une mission économique historique qui a réuni les représentants d’entreprises marocaines et québécoises du 20 au 27 octobre 2024. Cette mission a mis en lumière des opportunités d’affaires et de coopération dans des secteurs tels que la technologie, l’aérospatiale, l’innovation, l’agroalimentaire, et la logistique, avec pour fil conducteur la francophonie économique. En partenariat, la CGEM et le CPQ, notamment à travers le Conseil d’Affaires Maroc-Canada, travaillent à renforcer les relations économiques entre le Québec et le Maroc, portés par une vision partagée de l’avenir et une volonté commune de créer des passerelles durables entre leurs entreprises. Les deux organisations économiques sont d’avis qu’il faut travailler à mettre en place tous les outils pour favoriser un resserrement des liens économiques entre le Québec, le Canada et le Maroc. Des échanges enrichissants et des partenariats prometteurs La mission s’est déroulée à Montréal, Québec, Sherbrooke, Repentigny et L’Assomption, offrant aux entreprises marocaines une vision approfondie du potentiel québécois. Les membres de la délégation ont eu l’occasion de participer à des rencontres stratégiques avec des entreprises phares du Québec, notamment Bombardier, BCF, le Port de Québec et OPTEL ainsi qu’avec des institutions de renom telles qu’Investissement Québec, la Caisse de dépôt et placement du Québec, Québec International, Montréal International et l’Université McGill. La délégation a également eu l’occasion de visiter certaines zones d’innovation comme la Zone Quantique et la Zone Agtech ainsi que la super grappe du Canada en Intelligence artificielle Scale AI. Ces échanges ont permis d’explorer des pistes de collaboration et de partenariats d’affaires sur des enjeux de premier plan comme la transformation numérique, le développement durable, et l’innovation. Des perspectives prometteuses et une deuxième mission en 2025 Le CPQ et la CGEM réitèrent leur engagement envers la francophonie en tant que moteur de développement économique et social. En créant des synergies et des opportunités d’investissement pour leurs membres respectifs, ces deux organisations ouvrent la voie à de nouvelles coopérations porteuses pour l’avenir des économies québécoise et marocaine. En 2025, la CGEM et le CPQ organiseront une deuxième mission économique qui se déroulera cette fois-ci au Maroc. Le CPQ mobilisera une forte délégation d’entrepreneurs québécois et canadiens pour y participer. « À travers cette mission, nous avons pu faire découvrir le savoir-faire et l’expertise québécois à nos amis du Maroc, en démontrant la capacité d’innovation et de collaboration de nos entreprises dans des secteurs variés. Je suis convaincu que cette première visite de la CGEM au Québec marquera le début de retombées économiques significatives, tant pour le Québec que pour le Maroc. Les entrepreneurs québécois trouvent dans le Maroc un accès privilégié au continent africain, faisant de ce pays un partenaire incontournable pour toute entreprise en expansion internationale »,  a déclaré Karl Blackburn, président et chef de la direction du Conseil du patronat du Québec. « Nous clôturons cette mission économique au Canada encore plus convaincus de la grande complémentarité entre les économies marocaine et canadienne, notamment québécoise. Les opportunités de collaboration entre nos entreprises sont très importantes dans des secteurs comme l’innovation, l’agroalimentaire, l’aéronautique, les EnR ou encore les services à forte valeur ajoutée. Dans ce cadre, nous avons pris connaissance des outils d’incitation à l’investissement et d’accompagnement que le Québec offre aux entreprises internationales désirant adresser le marché nord-américain. Par ailleurs, nous avons présenté aux chefs d’entreprise québécois les avantages compétitifs du Maroc en tant que terre d’investissement et les avancées réalisées par le Royaume ces 25 dernières années sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu L’Assiste, qui font du Maroc une plateforme vers l’Europe et un hub vers l’Afrique que les entreprises canadiennes peuvent exploiter. Enfin, nous avons été impressionnés par le rôle actif et engagé de la communauté marocaine résidant au Canada qui peut être un vrai levier de rapprochement économique entre nos deux pays », a pour sa part souligné M. Chakib Alj, Président de la CGEM. « Je suis fier de voir le leadership du CPQ en francophonie économique prendre tout son sens à travers cette mission. En tant qu’entrepreneur, je suis particulièrement conscient de l’importance stratégique de la francophonie pour ouvrir de nouvelles opportunités d’affaires et pour renforcer nos liens économiques. Cette mission avec la CGEM démontre combien notre leadership en francophonie économique peut faciliter l’expansion de nos entreprises dans des marchés clés comme le Maroc », a confié Denis Deschamps, président du Conseil d’administration du Conseil du patronat du Québec. « Je suis convaincu que notre mission au Québec a été un succès retentissant et qu’elle marque le début d’un nouveau chapitre dans les relations entre le Maroc et le Canada. Grâce au programme dynamique mis en place par le patronat du Québec, notre délégation a eu l’opportunité de participer à des rencontres enrichissantes, favorisant des échanges d’idées fructueux avec nos homologues. Nos visites de sites stratégiques ont également renforcé nos liens commerciaux et ouvert de nouvelles perspectives de collaboration mutuellement bénéfiques. Cette initiative illustre l’engagement du Maroc à promouvoir le dialogue économique et à explorer de nouvelles avenues de coopération avec des pays partageant des valeurs communes. Nous croyons fermement que le Québec représente une porte d’entrée vers l’Amérique du Nord, tout comme le Maroc est un point d’accès privilégié vers le marché africain. Nous sommes impatients de concrétiser ensemble de beaux projets », déclare M. Rafik LAHLOU, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Canada.

Francophonie : le Canada et le Québec ‘’poignarde’’ publiquement la deuxième candidature de madame Michaelle Jean et participent au couronnement de madame Louise Mushikiwabo du Rwanda.

Francophonie : le Canada et le Québec ‘’poignarde’’ publiquement la deuxième candidature de madame Michaelle Jean et participent au couronnement de madame Louise Mushikiwabo du Rwanda.

TRIBUNE. Il semblerait que les carottes étaient déjà cuites pour madame Jean depuis belle lurette. Les critiques sur sa gestion ont été les principaux éléments qui ont nui à sa réélection. C’est ce mercredi dernier que le premier ministre désigné du Québec, monsieur François Legault aurait rencontré, le président rwandais Mr Paul Kagamé (actuel président en exercice de l’Union africaine) en présence de madame Louise Mushikiwabo, son ministre des affaires étrangères. On l’entendait déjà féliciter cette dernière avant même que la conférence de l’OIF ne porte définitivement son choix sur elle. Comme récompense, le Québec est dans l’attente du juteux poste d’administrateur de l’OIF après avoir soutenu l’adversaire de madame Jean. C’est le même son de cloche de la part du premier ministre canadien, monsieur Justin Trudeau. Le gouvernement canadien avait déjà annoncé publiquement ne pas supporter sa candidature avant même son départ pour Erevan en Arménie. Il aurait troqué la candidature de sa compatriote, madame Jean, contre la rwandaise. Il espère par ce geste inhabituel faire plaisir aux africains qui pourront lui apporter leur soutien pour un siège au conseil de sécurité de l’ONU. Ceci est quand même inqualifiable. Beaucoup de gens d’ici pensent que c’est une erreur et un manque de considération pour la communauté noire. Le Canada et le Québec ont bien fauté dans leurs démarches pour écarter madame Jean, l’actuelle secrétaire générale. Les règles diplomatiques auraient dicté de soutenir une compatriote canadienne. On ne devrait en aucun moment ni la ridiculiser ni la fragiliser. Elle est canadienne et son pays devrait la défendre et la soutenir comme les américains le font avec leurs compatriotes à l’extérieur de leur pays. Son pays lui a refusé une sortie honorable et a comploté pour son éjection. Les règles de consensus et de démocratie n’ont pas été respectées. Madame Jean aurait-elle subi le même sort si elle était blanche ? beaucoup de gens d’ici pensent que non. Les autochtones, les blancs et les non blancs forment actuellement les 3 catégories de citoyens du Canada et du Québec. Les derniers nommés sont souvent discriminés et sont plus susceptibles d’être surveillés pour n’importe quel geste. On multiplie par 1000 leurs fautes pour les aggraver démesurément afin de les discréditer et très ouvrent sur la place publique. Les médias canadiens peuvent aller fouiller les comptes de OIF au temps de Mr Abdou Diouf quand l’administrateur de cette organisation était un canadien-québécois blanc. Je suis sûr qu’ils y trouveront des dépenses hors normes. Pourtant, on en parle pas. Aussi, seule la province du Nouveau-Brunswick l’a supporté du début à la fin. C’est une position à saluer et elle courageuse et juste. Néanmoins le bilan de la secrétaire générale sortante est nul en termes de réalisations. La situation des droits de l’Homme n’a pas connu une amélioration. On ne l’a jamais entendu dénoncer les fraudes électorales, les massacres de citoyens innocents, les guerres comme au Mali etc…. En réalité elle n’a rien fait. L’Afrique où se trouve plus de 60 % de francophones de la planète ne l’a vu que 3 fois pendant son mandat. Mais pour quoi le choix du Rwanda ? Le choix de madame Louise Mushikiwabo Le Rwanda n’est plus un pays francophone depuis l’arrivée du président actuel au pouvoir en 2000. La situation des droits de l’homme dans ce pays n’est pas très reluisant. La répression y est sans pitié. De plus, ce dernier aurait modifié la constitution pour se maintenir au pouvoir jusqu’en 2034. Il est actuellement à son troisième mandat. Mais son bilan économique serait satisfaisant selon plusieurs sources concordantes. En effet, selon la Banque mondiale, le Rwanda a enregistré un taux de croissance annuel moyen de 7,5% entre 2000 et 2017. La pauvreté et les inégalités ont également fortement baissé. Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit de nouveau une croissance de 7,2% en 2018, puis 7,8% en 2019. Une performance suffisamment rare sur le continent pour être soulignée et interrogée. Signe d’une « bonne gouvernance », la dette publique est restée contenue à 40% du PIB en 2017 et la lutte contre la corruption a enregistré les meilleures performances de la région, toujours selon la Banque mondiale. La stabilité politique rassure également les investisseurs. Il faut dire que le président Kagamé, qui concentre la majeure partie des pouvoirs, est systématiquement réélu depuis 2003. Mais il faudrait faire attention à ces chiffres car ces institutions ne sont pas nécessairement là pour les intérêts de l’Afrique. Elles sont là pour tromper les dirigeants africains en les faisant croire à des faussetés, des mensonges et des illusions afin de les endetter davantage et de plonger leurs pays dans les méandres de l’enfer où ils ne sortiront jamais indemnes. En réalité c’est la France, qui a imposé le Rwanda pour diriger l’OIF. Elle est également la principale contributrice de cette organisation à plus de 50% de son budget. Le choix de cette dernière passe toujours car certains chefs d’état africains ne sont que des marionnettes voire des esclaves. Ils n’osent pas contredire leur maitre blanc. Sinon ils risquent de perdre le pouvoir par des coup d’état ou d’autres manigances comme dans le cas de Thomas Sankara. De plus, cette ancienne puissance coloniale a voulu se racheter et faire peau neuve contre les accusations lourdes qui pèsent sur elle dans le dossier du génocide rwandais. Beaucoup de succès pour madame Louise Mushikiwabo. Nos félicitations pour cette dernière pour son élection à la tête de la Francophonie et nous la souhaitons plein de succès. Comme l’a dit récemment le maire de Québec, « on ne sent nulle part la Francophonie » On ne l’entend pas non plus en Afrique et ailleurs dans les pays pauvres. Son absence du terrain a fait que les africains ont déjà commencé à délaisser le français. On l’attend également sur le dossier des droits de l’homme ainsi que sur les conflits et les guerres qui font encore et malheureusement beaucoup de victimes. Elle devrait commencer par balayer dans sa cour qui contient beaucoup de tas d’ordures avant de

Francophonie ou lieu de banditisme financier. Devrait-on renouveler le mandat de Madame Michaelle Jean, l’actuelle secrétaire générale ? Le Canada et le Québec ont déjà dit non.

Francophonie ou lieu de banditisme financier. Devrait-on renouveler le mandat de Madame Michaelle Jean, l’actuelle secrétaire générale ? Le Canada et le Québec ont déjà dit non.

TRIBUNE. Les canadiens et les québécois répondent par un ‘’HARQUE !!!!’’ Quand on leur demande ce que signifie la Francophonie ? Cette réponse signifie le dégoût dans le langage populaire d’ici. Les gens poussent ce cri quand ils mangent quelque chose qui est impropre à la consommation ou qui est pourri et qui pue. Tel est le sentiment général à l’égard de cette organisation francophone à l’heure actuelle des choses. Il faudra remarquer que le Canada et le Québec y contribuent respectivement pour 15 et 1,5 millions de dollars. C’est la seule organisation où la province du Québec a un siège avec droit un de vote ou de choix. Ailleurs comme au Commonwealth, elle est derrière le Canada. En Occident les gens ont à l’œil et à l’oreille toute dépense dans n’importe quel organisme qui fonctionne avec leurs contributions. Aucun écart injustifiable n’est permis. Dès lors, peut-on accepter que notre seule organisation francophone puisse être gérée financièrement comme au temps de Jean Claude Duvalier ou de Jean Bedel Bokassa ? La Francophonie serait-elle à l’heure de pillage et de vol déguisé des ressources des pays membres? Elle aurait en tout et pour tout un budget qui varie entre $110 et 115 millions de dollars. 75% du budget sert à la mise en œuvre de programmes et les 25% restants seraient réservés pour l’administration et la direction. Ce qui est énorme comme frais de gestion. Aussi, des dépenses de rénovations de 500 000 $ à la résidence que loue à Paris madame Michaelle Jean, la secrétaire générale actuelle et un piano de 20 000 $ ont été rapportées. Sans compter un séjour de 4 jours dans le célèbre Hôtel Waldorf-Astoria dont la facture serait de $50,000.00. Selon toute vraisemblance ses voyages dans des Hôtels six Etoiles avec son conjoint auraient coûté 2 millions de dollars en 2 ans. Cependant, les dépenses de voyage de madame Jean pour l’année 2016 avaient disparu des plus récents documents financiers transmis aux membres de l’OIF. Une croisière dont le coût réel a fait l’objet de beaucoup d’articles très critiques a été répertoriée au sein de notre Francophonie. En effet, u n bateau du nom de l’Hermione (réplique d’un navire de guerre français de la fin du 18e siècle qui a servi au marquis de La Fayette pour aider les Américains dans leur guerre d’indépendance en 1780) avait amené des jeunes francophones en voyage avec plusieurs escales. Cette excursion devait coûter $400,000.00, mais le coût réel de cette tournée était approximativement de de 1 million de dollars. Récemment à Montréal, madame Jean s’est déplacée en Limousine sur une distance de 500 mètres de la station de radio 98,5 à la Place Bonaventure jusqu’à l’Hôtel Bonaventure aux frais des contribuables. L’OIF a également reconnu que le mari de sa secrétaire générale Michaëlle Jean utilise des voitures de fonction pour ses déplacements personnels. On la reproche également de ne manifester aucun respect pour la démocratie ni par ses propos ni par ses dépenses. Non seulement elle se permet de dépenser d’une manière démesurée l’argent qui provient en grande partie des contribuables, mais elle va jusqu’à bafouer les enquêtes des journalistes qui veulent en savoir plus sur ses excès aux frais de la princesse. Enfin ces dépenses éhontées montrent tout son mépris à l’endroit des contribuables qui la soutiennent pour autre chose que de se pavaner comme une vedette millionnaire ou de s’enrichir sur leurs dos. En vérité, son attitude de princesse prétentieuse révèle encore son mépris envers la démocratie. Elle ne la sert pas, elle s’en sert. Elle mène un train de vie élevé, à ses dépens, sans daigner lui rendre des comptes. Bilan des actions et réalisations de la Francophonie dans les pays membres La Francophonie intergouvernementale est née le 20 mars 1970 à Niamey (Niger), avec la création de l’Agence de coopération culturelle et technique, devenue depuis l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Elle regroupe 84 états et gouvernements. Il y aurait près de 274 millions de francophones dans le monde. La langue française est la cinquième langue la plus parlée dans le monde et la troisième langue des affaires dans le monde. Que fait la Francophonie de positif dans les différents pays membres qui y versent leurs contributions ? Qu’est-ce qu’elle apporte vraiment à ces pays surtout à ceux qui vivent avec beaucoup de difficultés ? Il y a présentement zéro réalisation de la Francophonie au Canada et au Québec. Beaucoup de gens se demandent en ce moment l’utilité de cette organisation maléfique et budgétivore. L’OIF cautionne et approuve des élections fraudeuses et truquées où le nombre de votants est toujours supérieur au nombre d’inscrits en Afrique et dans d’autres pays pauvres et en voie de développement. De ce fait, La Francophonie participe activement au recul démocratique et des droits de l’Homme dans ces pays par son comportement, son positionnement et son silence. Elle ne dit rien et fait peu sur les massacres de citoyens innocents, de tortures, de guerres, de tueries dans le monde francophone. Les guerres ethniques et religieuses qui font encore beaucoup de victimes n’ont fait l’objet ni de débats ni de condamnation par cette organisation où on ne parle que des dépenses folles. On ne l’entend pas sur les compagnies occidentales qui déversent des produits cancérigènes et toxiques sur le continent noir et francophone. Elle fait également la sourde oreille sur les produits alimentaires et pharmaceutiques impropres à la consommation, qui nous inondent et qui amènent des maladies graves et mortelles aux francophones, qui sont parmi les plus pauvres de la planète. Cette maudite organisation ne dénonce pas la mondialisation qui appauvrit davantage les plus pauvres du monde. Elle aide des dictateurs criminels africains à demeurer presque éternellement au pouvoir. Ainsi, elle contribue à maintenir les peuples pauvres dans l’ignorance, la misère noire, la servitude et l’esclavage par son inaction. Comme les autres institutions internationales telles que la banque mondiale et le fond monétaire internationale, la Francophonie est un instrument de colonialisme, de d’exploitation de l’homme par l’homme, de diversion,

Election générale au Québec/Canada : François Legault de la CAQ gagne les élections provinciales et il tournerait le dos à la nébuleuse Francophonie

Election générale au Québec/Canada : François Legault de la CAQ gagne les élections provinciales et il tournerait le dos à la nébuleuse Francophonie

En effet, c’est vers 20h19 que la station Radio-Canada annonça que le prochain gouvernement issu des élections du 1er octobre 2018, sera dirigé par la CAQ (Coalition Avenir Québec). A 20h34, une autre prédiction tomba et révéla que ce gouvernement sera majoritaire et il sera dirigé par Mr François Legault. C’est un politicien des régions où l’écrasante majorité de la population est blanche à plus de 80%. L’appui des communautés culturelles à ce dernier est faible selon les chiffres non définitifs qui circulent. C’est le vote blanc qui l’a porté au pouvoir. Il aurait effrayé les immigrants en disant qu’il allait expulser les nouveaux arrivants qui échoueraient les tests d’intégration, avant de revenir sur sa position et de faire un mea-culpa dans une volteface sans précèdent. L’avenir nous dira si oui ou non le Québec aurait porté un raciste au pouvoir. Le résultat du vote Les nombres de députés (sièges à l’Assemblée Nationale) par parti politique (résultats presque définitifs) sont les suivants. CAQ : 73, PLQ : 32, PQ : 10 et enfin QS : 10 Les pourcentages du vote populaire sont les suivants. CAQ : 38%, PLQ : 24%, PQ : 17%, QS : 15% et Autres : 5% Les défis de ce nouveau gouvernement. Ce nouveau gouvernement fera face à beaucoup de problèmes. La population est vieillissante et elle est impeccable de se renouveler sans l’apport de l’immigration. Les coûts des services de santé sont exponentiels et nécessitent de plus en plus de ressources. Le sous-peuplement de certaines régions et le manque de main d’œuvre freinent leurs développements économiques et il serait urgent de solutionner ces problèmes. Le racisme, la discrimination systémique, l’exclusion des minorités sont l’objet de beaucoup de plaintes. Ce sont des sujets qui dérangent énormément et tout le monde en parle. On évoque souvent le retard idéologique du Québec car elle ne donne pas assez de places à ses minorités qui doivent surmonter des barrières infranchissables pour leur intégration. Parmi celles-ci, on peut citer la reconnaissance des diplômes, le manque d’expérience canadienne de travail, la langue et l’accent linguistique, la couleur de la peau, l’âge, le sexe et l’orientation sexuelle, l’origine géographique etc… Une solution doit être trouvée afin de faire du Québec une société plus équilibrée et juste. Pourtant au Canada anglais et aux Etats-Unis, des points de litige comme la représentation des minorités dans les instances gouvernementales ont déjà été solutionnés. Ici on en parle encore et ce n’est jamais fini. C’est la raison pour laquelle les minorités même francophones fuient cette belle province. Le recul de la langue française qui est la langue officielle est aussi une question préoccupante. Le Québec se retirerait-il de la Francophonie ? Le Nouveau premier élu, Mr François avait promis durant la campagne électorale de ne pas soutenir la candidature de madame Michelle Jean pour un deuxième mandat. De ce fait, on s’attend à ce qu’il respecte son engagement et suspend le Québec de la Francophonie actuelle. On reproche à l’organisation de la Francophone d’être un lieu de dépenses somptueuses et inutiles. D’aucuns disent qu’il y a une ressemblance entre la gestion actuelle de cette organisation et celle de Haïti au temps de Mr Jean Claude DUVALIER (BEBE DOC) en termes de dépenses de fonds publics. Sinon comment justifier que l’argent de la Francophonie (cotisations des pays pauvres comme Haïti, le Niger, le Burkina Faso etc…) puisse servir à payer des dépenses de rénovation à Paris et à des déplacements sécurisés en Limousine à Montréal ? L’image de marque de cette institution ne vaut plus un centime. La Francophonie doit être rénovée pour qu’elle reprenne son rôle qu’on lui avait assigné au départ. Elle doit construire des écoles partout dans le monde afin de développer, renforcer soutenir la belle langue française. Il est de sa prérogative également de créer un espace économique francophone riche et viable. Elle ne doit en aucun cas être un sanctuaire ou la tête dirigeante dilapide sans scrupule les fonds venant des pays qui sont parmi les plus pauvres au monde. Devrait-on renouveler le mandant de la secrétaire générale actuelle ? Je tenterai d’y répondre dans mon prochain article. Gondiel Ka Montréal Canada Chroniqueur Expertise Relation Canada Afrique.

Québec /Canada : l’immigration et le nationalisme blanc sournois deviennent les sujets vedettes de la compagne électorale en cours

Québec /Canada : l’immigration et le nationalisme blanc sournois deviennent les sujets vedettes de la compagne électorale en cours

TRIBUNE. Le débat des chefs de ce jeudi le 13 septembre 2018 à Montréal, n’a pas été convaincant et d’aucuns disent qu’il y a vraiment pas de gagnants. Beaucoup d’électeurs et d’électrices sont encore restés sur leur faim. Certains chefs ont franchi le rubicond en prônant une réduction du nombre d’immigrants entrants de 53 milles à 40 milles. Comme quoi le malheur du Québec (une province du Canada) serait lié au nombre des nouveaux venus. Depuis un certain temps, l’immigration et l’Islam sont devenus les cibles préférées de politiciens en panne de publicité. Les sujets sur l’immigration qu’on abordait à l’époque avec beaucoup de respect font en ce moment, l’objet de déclarations très maladroites et frustrantes pour les nouveaux venus. La xénophobie et le nationalisme radical blanc seraient-ils en train prospérer au Canada ? L’immigration une solution au vieillissement de la population du Québec/Canada La densité de la population du Québec serait de 6 habitants par km² (de nos jours). Ailleurs elle serait 57 pour le Sénégal, 112 pour la France, 338 pour le Japon, 31 pour les Etats-Unis et 3,3 pour le Canada. Ces chiffres datent de 2005 et ne sont qu’à titre indicatif. Cette province canadienne est très faiblement peuplée avec un indice synthétique de fécondité de 1,54 enfant par femme en 2017, alors qu’il était de 1,59 en 2016. Sans surprise, l’augmentation de l’espérance de vie et la faible fécondité qui perdurent depuis 1970 ont transformé le visage du Canada en général. Les naissances ne suffisent pas, en l’absence d’immigration, à renouveler la population selon Laurent Martel directeur de la division de la démographie à Statistique Canada. Cette agence fédérale prévoit qu’un canadien sur 4 sera âgé de de plus de 65 ans dans 15 ans. En cinq ans, les personnes de 65 ans et plus ont dépassé les 14 ans et moins. Le poids démographique des aînés est un signe indéniable du vieillissement de la population canadienne, alors qu’un siècle plus tôt les jeunes étaient les plus nombreux. Le même phénomène s’observe au Québec, où la population active a connu une diminution au profit des personnes âgées. L’évolution de la population ontarienne (province voisine) est pour sa part demeurée relativement stable, grâce à une immigration soutenue. Par contre, La population d’ici est incapable de se renouveler. Elle a besoin d’un nombre important d’immigrants afin de palier au déficit et combler la pénurie de la main d’œuvre. De plus, la diminution de la proportion de la population du Québec dans le Canada a des effets politique et économique négatifs. Elle réduirait la représentation de cette province au parlement fédéral et diminuerait ses transferts fédéraux sans compter l’impact sur la langue française qui est la seule langue officielle du Québec. Néanmoins, une certaine couche de la population reste allergique à l’immigration. Ce phénomène a été amplifié par certains politiciens racistes et xénophobes. Les médias auraient également jeté de l’huile sur le feu en accusant à tort les immigrants de ne pas s’intégrer et de refuser de parler la langue de la majorité qui est le français. D’ailleurs, de plus en plus de mouvements radicaux ont envahi l’espace public depuis un certain temps. Un de ces derniers groupes assure que son combat est de protéger la nation québécoise contre l’invasion de l’Islam. D’autres semblent cibler carrément les minorités culturelles sans pour autant le dire publiquement. Représentation des minorités dans les institutions québécoises (suite et fin, voir article précèdent) À Montréal (métropole québécoise), une personne sur trois est issue des minorités visibles et ethnoculturelles. Pourtant, très peu sont représentées au sein des sociétés paramunicipales et organismes associés. L’administration Plante (du nom de la mairesse actuelle, Valérie Plante), est très critiquée pour la faible représentation des minorités visibles dans ses rangs. Beaucoup de demandes lui ont été adressées afin qu’elle pose des gestes concrets en faveur de la diversité. Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) compte 14,5 % de minorités visibles parmi son effectif policier et administratif. On est encore bien loin des 34 % que compte la population de la ville de Montréal, mais des efforts ont été faits ces dernières années. Par contre le quartier général de la Sûreté du Québec (police de l’état québécois ou police politique) a la peau blanche à 99,5 %. Moins d’une trentaine de minorités visibles y sont employées. Il en faudrait cinq fois plus, mais l’organisation stagne – voire recule – depuis des années dans ce domaine de recrutement. La police et les minorités. La police de la ville de Montréal est souvent pointée du doigt dans ses rapports avec les minorités. En mars 2018, elle et 2 de ses agents ont été condamnés par le Tribunal des droits de la personne à payer 12 000 $ de dommages à un homme pour profilage racial, dans une cause portée par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. Selon les faits rapportés par le jugement, un jeune homme d’origine ghanéenne travaillait comme livreur pour un restaurant et circulait à Montréal Nord vers 4h du matin. Deux policiers ont intercepté son véhicule. Après quelques vérifications, ils ont constaté des infractions au Code de la sécurité routière. Par la suite, les policiers ont procédé à l’arrestation du plaignant et son véhicule a été remorqué. L’attentat de la grande mosquée de Québec. Le 29 janvier 2017, un homme armé, de nationalité canadienne, avait ouvert le feu sur les fidèles présents au centre islamique de Québec, au Canada, tuant six personnes et faisant huit blessés. L’auteur de la fusillade, Alexandre Bissonnette, un étudiant en sciences politiques de 27 ans, était connu pour son ultranationalisme et sa xénophobie. C’était l’attentat de la grande mosquée de Québec considérée comme une tuerie de masse. Le Centre culturel islamique de Québec avait déjà fait l’objet d’actions islamophobes dans les mois précédents. En juin 2016, une tête de porc est déposée devant cette mosquée en plein ramadan. Quelques semaines plus tard, une lettre islamophobe est distribuée dans son voisinage. Les révélations du

Élection générale au Québec (Canada) et les enjeux de l’Heure : condition précaire des minorités, problèmes de santé publique, situation de la langue française et autres

Élection générale au Québec (Canada) et les enjeux de l’Heure : condition précaire des minorités, problèmes de santé publique, situation de la langue française et autres

TRIBUNE. Le Québec dans le monde. Située dans la partie est du Canada, entre l’Ontario et les provinces de l’Atlantique, le Québec partage sa frontière sud avec les Etats-Unis et est traversé par le fleuve Saint- Laurent qui relie les Grands Lacs à l’océan Atlantique. Avec une superficie de 1,667 millions km2, le Québec est la plus grande province canadienne et la deuxièmes plus vaste entité territoriale après le Nunavut. Il fait 6 fois la France. Le statut politique du Québec est défini dans la Constitution canadienne. Le Québec a le pouvoir de légiférer dans plusieurs domaines de juridiction exclusifs, dont l’administration de la justice, la santé, l’éducation et le droit privé. Le climat politique au Québec est souvent animé par le débat sur le statut particulier de la province au sein du Canada. Un mouvement souverainiste prône l’indépendance de la province, tandis que l’idéologie fédéraliste prône le maintien de l’union fédérale. Contrairement au reste du Canada, le droit québécois est mixte : le droit privé est d’inspiration civiliste, tandis que le droit public s’inscrit dans la tradition de common law. Les principaux partis politiques du Québec Le Parti libéral du Québec (PLQ) est un parti fédéraliste , c’est-à-dire qu’il appuie l’idée du maintien du Québec comme province du Canada. Les fédéralistes francophones, la minorité anglophone québécoise ainsi que les immigrants constituent généralement la base électorale du PLQ. Mais ces derniers reprochent souvent à ce parti de les oublier après leurs victoires électorales. C’est le parti qui est actuellement au pouvoir. Le Parti québécois (PQ) est un parti politique québécois, œuvrant sur la scène provinciale, qui préconise l’indépendance du Québec et la protection de la langue française. Il a pris le pouvoir la première fois à la suite de l’élection de 1976 et forme depuis 2014 l’opposition officielle à l’Assemblée nationale du Québec. Depuis le 7 octobre 2016, il est dirigé par Jean-François Lisée. Un membre de ce parti est appelé « péquiste ». La Coalition avenir Québec (CAQ) est un parti politique au Québec décrit comme de centre droit et fondé par l’homme d’affaires et ancien ministre péquiste François Legault et le lobbyste Charles Sirois. La Coalition est devenue un parti politique le 14 novembre 2011 après qu’un groupe de personnalités aient publié un manifeste le 28 février 2011. Le 14 février 2012, la CAQ intègre officiellement l’Action démocratique du Québec dans ses rangs. Québec solidaire (QS) est un parti politique québécois de gauche fondé en 2006. Il est né de la fusion de l’Union des forces progressistes, une coalition de groupes de diverses tendances socialistes, et d’Option citoyenne, un groupe féministe et altermondialiste. QS propose une certaine socialisation de l’économie dans une optique d’indépendance énergétique, de développement du transport collectif, de gestion des ressources naturelles et de protection de l’environnement. Québec Solidaire est aussi un parti souverainiste. Il défend le féminisme et l’écologie. Résultat du sondage de ce mardi le 10 septembre 2018. Aussi, Les élections auront lieu le 1er Octobre 2018. CAQ : 35%, PLQ : 29 %, PQ : 21%, QS : 12% ET AUTRES : 4% Malaise chez les communautés culturelles du Québec. Définitions : Les minorités visibles sont toutes les personnes qui n’ont pas la peau blanche. Au Québec, les principaux groupes représentés sont les Noirs, suivis des Arabes, des Latino-Américains et des Sud-Asiatiques. Les Autochtones (indiens d’Amérique) ne sont pas comptabilisés comme des minorités visibles. La très vaste majorité des Québécois membres des minorités visibles (9 sur 10) vit dans la région métropolitaine de Montréal. Parmi tous les résidents de la ville de Montréal, 1 sur 3 n’a pas la peau blanche. Les communautés culturelles regroupent les minorités visibles, mais également les minorités ethniques (personnes blanches dont la langue maternelle n’est ni le français ni l’anglais). La population du Québec est de 8.394.034 (recensement de 2017) dont 13 % sont issus des communautés culturelles ou minorités culturelles. Les 3 quarts des minorités culturelles sont des minorités visibles. Une fiche socioéconomique publiée le 16 mai 2018 par l’IRIS (institut de recherche et d’informations socioéconomiques) montre que le poids relatif des personnes s’identifiant comme minorités visibles dans le secteur public au Québec est bien inférieur à leur proportion de 13 % de la population. On remarque par exemple qu’en 2016, seulement 4,4 % des employés d’Hydro-Québec appartenaient aux minorités visibles. En ce qui a trait aux commissions scolaires, c’était 4,3 % dans le Grand Montréal et aussi peu que 0,5 % pour le reste du Québec. La Société des alcools du Québec ne compte que 2 % de représentants des minorités visibles parmi ses employés. Ils ne sont que 7% dans les ministères provinciaux. Malheureusement, les principales victimes de ce racisme systémique sont les personnes appartenant aux minorités visibles. Elles sont plus d’un million au Québec et on fait trop peu pour favoriser leur embauche. Alors que les appels au « vivre-ensemble » se multiplient ces derniers temps, faudra-t-il aussi appeler à travailler ensemble ? Qu’en est-il des africains qui viennent étudier ou travailler au Québec ? Il est vrai que les francophones d’Afrique sont attirés par le Québec à cause du fait français et des frais de scolarité relativement bas. Mais le problème apparait après l’obtention des diplômes par les nouveaux arrivants. Très peu d’entre eux trouvent du travail dans leur domaine d’étude. La grande majorité d’entre eux partent pour les autres provinces anglaises et aux Etats-Unis qui reste encore et de loin le meilleur pays pour les immigrants. Ceux qui restent se convertissent dans d’autres domaines et travaillent le plus souvent avec d’autres communautés plus ouvertes comme les Juifs, les Italiens ou autres. La langue française n’est pas un facteur d’intégration au Québec car certains employeurs de la belle province, préfèrent les asiatiques qui ne parlent pas le français aux francophones. Ainsi, beaucoup de gens regrettent d’être venus directement au Québec. Selon eux, il serait préférable d’aller directement étudier au pays de l’once Sam ou au Canda anglais où, il y a moins de difficulté à trouver du travail et où l’intégration