Le Real Madrid submergé par plus de 200 propositions

Le Real Madrid submergé par plus de 200 propositions

Le club madrilène est au centre de toutes les attentions en ce moment, croulant sous les sollicitations de joueurs et d’agents. Mais à quoi s’attendre pour ce mercato hivernal ? Selon la presse espagnole, les Merengues devraient renforcer leur secteur défensif avec au moins deux recrues : un défenseur central et un latéral droit. Parmi les noms évoqués avec insistance figurent Aymeric Laporte, Castello Lukeba, Trent Alexander-Arnold et Jonathan Tah. Cependant, Florentino Pérez, président du club, se montre peu enthousiaste à l’idée de recruter dès cet hiver. Il privilégierait un investissement stratégique durant le mercato estival, refusant de céder à la pression malgré les attentes de l’entraîneur Carlo Ancelotti. Résultat : les bureaux du Santiago Bernabéu ne désemplissent pas, les appels incessants d’agents et de joueurs atteignant un volume impressionnant, comme l’a récemment souligné Marca. Les Merengues disent non à tout le monde D’après le quotidien madrilène, le Real Madrid aurait reçu plus de 200 propositions ces dernières semaines, reflétant l’intérêt massif pour rejoindre le club. Même des joueurs comme Sergio Ramos, ancienne légende du club, ont tenté leur chance. Mais la réponse a été sans appel : un refus catégorique. Cette fermeté s’explique par la volonté du Real Madrid de ne pas être utilisé comme un levier dans des négociations de prolongation ou des transferts ailleurs. De plus, le club cherche à éviter les polémiques et les feuilletons médiatiques qui peuvent entourer le mercato. Une position claire et assumée, malgré l’effervescence qui entoure le club. Affaire à suivre, mais une chose est sûre : les Merengues gardent leur cap, malgré les tempêtes du mercato. Ya Willy.

Le CMDC demande à toutes les forces vives congolaises de se mettre ensemble pour examiner ses propositions pour une transition exceptionnelle en RDC

Le CMDC demande à toutes les forces vives congolaises de se mettre ensemble pour examiner ses propositions pour une transition exceptionnelle en RDC

Le Conseil Mondial de la Diaspora Congolaise (CMDC) demande à toutes les forces vives congolaises de se mettre ensemble pour examiner ses propositions pour une transition exceptionnelle urgente en République Démocratique du Congo      La République Démocratique du Congo va tout droit au mur du chaos. La longue crise congolaise ne fait que s’empirer et le chaos est imminent. Il est dangereux de réduire abusivement la crise congolaise en une crise électorale qui n’en est qu’une conséquence logique. La crise congolaise est profonde. Un mauvais diagnostic conduit à des solutions inefficaces et inadaptées.  Le processus électoral inique et scandaleux de décembre 2018 et de début 2019  ne peut pas nous permettre de sortir de cette crise. Comme nous l’avons souligné, il est important que tous les Congolais sachent que personne n’a gagné et personne n’a perdu, mais bientôt nous allons  tous  perdre notre peuple et notre pays. Toutes les vraies forces vives congolaises doivent se retrouver d’urgence autour d’une table, dans un contexte et un cadre exceptionnels et justes, pour un Nouveau Pacte National politique, social, sécuritaire, économique, culturel et environnemental.      Les événements qui viennent de se passer le lundi 11 novembre 2019 à Paris en France, en marge de la participation du Président Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO au Forum de Paris sur la Paix, mettent en lumière une division flagrante en deux parties du Peuple Congolais. Un groupe le reconnait comme le Président de la République Démocratique du Congo, et un autre groupe ne le reconnait pas du tout comme Président de la République. Le drapeau du MPR – Parti Etat est choisi comme un symbole de rupture totale avec le pouvoir en place par des résistants. Cela ne signifie pas que le Président Mobutu et les mobutistes soient devenus des anges. Certains résistants l’ont choisi comme symbole de l’unité nationale chère à ce dernier, de l’autorité de l’Etat et de la dignité nationale. L’humilité impose au pouvoir en place et à ceux qui ont signé le pacte FCC-CACH  de ne pas mépriser ce peuple qui est sorti en masse pour voter le 30 décembre 2018. Si le Président actuel est légalement Président de tous les Congolais, mais dans le fait, eu égard aux enjeux sur le terrain, il n’est pas le Président de tous les Congolais. Une transition exceptionnelle s’impose donc à nous tous de manière anticipée et concertée ou de manière brusque. Le triomphalisme de la Coalition du Front Commun pour le Congo (FCC) avec le Cap pour le Changement (CACH) va conduire le pays dans le chaos. Les propos des acteurs de deux camps illustrent clairement aujourd’hui que le pays est dirigé sur la base d’un deal secret et non sur la base des résultats de l’élection présidentielle. La Coalition FCC-CACH est donc une maison construite sur une mauvaise fondation. La cacophonie qui s’observe dans les deux camps est éloquente et promet une crise à la dimension du deal qui a été conclu en janvier 2019.      Le Conseil Mondial de la Diaspora Congolaise (CMDC) a pris acte de la proposition de sortie de crise formulée le 04 novembre 2019 par le compatriote Martin FAYULU MADIDI. Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. Le CMDC, comme certaines forces vives congolaises, a proposé une transition exceptionnelle bien avant l’organisation des élections qui ne pouvaient qu’être chaotiques.  La sagesse veut que nous ne puissions pas sous-estimer une bonne partie de la population qui considère Mr Martin FAYULU MADIDI comme le « Président élu ». La proposition de ce dernier s’articule autour de quatre points dont le premier vise la création d’un Haut Conseil National des Réformes Institutionnelles (HCNRI). Ses propositions devraient être examinées dans le contexte de la vision globale d’une transition exceptionnelle du CMDC. Il convient de souligner que toutes les transitions à vocation électorale ont échoué dans notre pays depuis la Conférence Nationale Souveraine (1991-1992). Le pays a pris un mauvais départ avec les élections injustes, criminelles et clientélistes de 2006. Les élections de 2018-2019 n’ont pas fait démentir ce triste constat. Toutes les propositions de sortie de la grave crise de notre pays appellent une transition exceptionnelle qui ne  doit pas être comme les transitions antérieures      Toutes les propositions de sortie de crise appellent la mise en place d’une transition exceptionnelle. Suite à l’échec successif de toutes les transitions dans notre pays, se soldant par des crimes et le partage ridicule des postes et du butin « Congo », le mot « transition » a acquis un sens péjoratif. C’est toujours mal perçu de parler d’une transition, surtout quand on vient de sortir d’un processus électoral. Mais qu’il soit clair pour nous tous qu’il est impossible de bâtir une grande nation stable, démocratique et prospère avec le processus électoral de décembre 2018 et de début de 2019. Ce processus est parmi les processus électoraux les plus cyniques, iniques et humiliants de l’histoire des peuples et des nations au 21ème siècle. Le deal de FCC avec le CACH entrera dans les annales de l’histoire politique congolaise en Afrique et dans le monde.       Le bilan désastreux de notre crise ne cesse de s’aggraver et interpelle notre conscience. Il y a déjà plus de 8.000.000 de morts, plus de 5.500.000 de Congolaises et Congolais (une population supérieure à celle du Congo-Brazzaville) déplacés de force et vivant comme des réfugiés abandonnés sur le sol de nos ancêtres, plus de 2.000.000 de femmes et enfants violées et traumatisées, des millions de Congolais poussés à l’immigration sauvage. Et le Peuple Congolais est parmi les deux peuples les plus pauvres de l’humanité. Le massacre institutionnalisé et accéléré de la population congolaise à l’est de la République Démocratique du Congo est un signal terrible et inquiétant. Toutes les institutions souffrent d’illégitimité.      Il nous faut une transition exceptionnelle pour éviter une nouvelle guerre internationale du Congo. Une rupture brusque du deal FCC-CACH va conduire le pays dans cette guerre, car d’autres armées étrangères vont s’ajouter sur notre territoire. Et ce sera la balkanisation tant rêvée par les ennemis du peuple congolais et du Grand

Vient de paraitre. Les 10 propositions de l’ABACO pour la République Démocratique du Congo

Vient de paraitre. Les 10 propositions de l’ABACO pour la République Démocratique du Congo

Sorti récemment aux éditions L’Atelier de l’Égrégore, dans la collection Démocratie, « Les 10 propositions de l’ABACO pour la République Démocratique du Congo » est un livre utile et intéressant à lire impérativement pour qui veut comprendre la vision et les ambitions de son auteur pour la République démocratique du Congo : L’Alliance de Base pour l’Action Commune (ABACO). Disponible en format numérique, cet essai présente avec une certaine clarté le programme politique articulé autour des propositions concrètes d’une formation politique qu’on ne présente plus. Dans l’absolu, l’ABACO axe ses dix propositions sur des valeurs relatives au triptyque – Dieu, les Ancêtres et le Peuple – susceptible d’asseoir une politique humaniste en vue de la Liberté, de l’Égalité, de la Sécurité et de la Paix. La Liberté, parce que l’ABACO souhaite la plénitude de la vie dont doit jouir le citoyen congolais. C’est la souveraineté dont doit bénéficier le peuple pour choisir ses représentants ou ses dirigeants. C’est l’indépendance de la Nation dans la détermination de son avenir politique. L’Égalité, parce que l’ABACO milite davantage pour que les Congolais vivent dans une société qui doit donner à ses enfants les chances similaires, les opportunités identiques pour bâtir la collectivité et défendre la Nation. Cette dignité doit être apportée par les pouvoirs publics dans la vie quotidienne de chaque citoyen, pour que ce dernier soit épanoui. La Sécurité, parce que l’ABACO tient à la protection des droits de l’individu et de la collectivité, à l’harmonisation des droits individuels et des libertés publiques en vue de garantir la paix, à la concorde et à l’unité politique de la Nation. La justice doit en principe protéger les plus faibles contre le pouvoir de l’État et de l’administration publique. La Prospérité, parce que l’ABACO compte sur la meilleure gestion des ressources abondantes de la collectivité publique, celles-ci devant être mises à la disposition des citoyens pour assurer le succès et le rayonnement, la puissance matérielle et la souveraineté politique, le confort social et l’épanouissement économique des populations.Martin Kam Éditeur : L’Atelier de l’Égrégore Collection : Démocratie Formats : PDF et EPUB (numérique) Prix : 2 e Genre : Programme politique Sortie : juillet 2016. Formats : PDF et EPUB (numérique)