Congo/Présidentielle 2021 : Les candidats fixés sur leur passage aux antennes des médias

Congo/Présidentielle 2021 : Les candidats fixés sur leur passage aux antennes des médias

Selon le Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC) réuni le 2 mars 2021 à Brazzaville, l’ordre de passage des candidats à l’élection présidentielle s’ouvrira par Guy Brice Parfait Kolélas. Après le candidat Guy Brice Parfait Kolélas, le tour reviendra successivement à Dave Uphrem Mafoula, Mathias Dzon, Anguios Nganguia Engambé, Joseph Kignoumbi Kia-Mboungou, Albert Oniangué et se refermera sur Denis Sassou N’Guesso.  La campagne s’ouvre le 5 mars 2021, une période au cours de laquelle les sept candidats devront se faire connaître auprès des électeurs. Les candidats feront la promotion de leurs projets de société. Ce programme a eu lieu sous l’œil vigilant du Conseil et assuré sous la supervision d’un  huissier de justice devant, entre autres, les directeurs de campagne des candidats. Pour le président du Conseil, il est question de garantir un accès équitable aux médias ; d’assurer à temps égal la diffusion des messages officiels des candidats à des moments de grande écoute, de favoriser la participation à des émissions spécifiques sur l’élection. Le président Mvouo a également fait savoir que pendant cette période, l’injure, l’insulte, l’offense et l’outrage, n’ont pas de place dans le discours politique, soulignant que  la critique politique d’une idée, d’un programme, d’un bilan est permise. Le monitoring à travers un contrôle rigoureux des médias audio-visuels et des réseaux sociaux afin d’éviter une communication nocive sera assuré par le CSLC. Florent Sogni Zaou

Congo/Présidentielle 2021 : Mathias Dzon dénonce une campagne électorale anticipée et illégale du candidat du pouvoir

Congo/Présidentielle 2021 : Mathias Dzon dénonce une campagne électorale anticipée et illégale du candidat du pouvoir

Le candidat au scrutin présidentiel du 21 mars 2021, Mathias Dzon a dénoncé les conditions d’organisation et « la campagne électorale anticipée » du candidat de la majorité présidentielle, Denis Sassou N’guesso. Mathias Dzon a également parlé du président du Conseil supérieur de la liberté de communication, Philippe Mvouo, lui reprochant de regarder et d’assister impuissant au déferlement de la campagne électorale anticipée et illégale du candidat du pouvoir dans les médias. Mathias Dzon et son équipe de campagne ont aussi exigé l’annulation pure et simple du principe du vote par anticipation des militaires. Selon eux, le fait que les noms des électeurs militaires n’aient pas été retirés de la liste électorale générale laisse libre cours au vote multiple des militaires indélicats. Il a simplement demandé l’annulation du vote militaire, menaçant de ne pas reconnaitre les résultats. Il a en outre exigé la fermeture immédiate de tous les centres occultes de délivrance des cartes d’identité et la reprise des activités des services d’état civil officiels sur l’ensemble du territoire national. Parlant du temps imparti, Mathias Dzon a souligné la nécessité d’organiser la Conférence des candidats ou à défaut de leurs représentants, dans les meilleurs délais. Selon lui, le but est de lever les nombreux obstacles qui jonchent encore le chemin d’une élection libre, transparente, apaisée, équitable et honnête en mars 2021. Il a de ce fait invité  instamment le président de la République à bien vouloir convoquer cette assise de la dernière chance, sans envisager un probable boycott du scrutin.  Son porte-parole, Elo Dacy, a invité le ministère de l’Intérieur à corriger l’injustice flagrante due à l’absence des leurs dans les commissions, dénonçant une exclusion de l’opposition réelle des instances d’organisation de l’élection de mars 2021. Il a dit également qu’aucun de ses représentants ne figure ni dans les instances dirigeantes de la CNEI, ni dans les Colels. La direction nationale campagne du candidat de l’ARD est présidée par Henri Boukoulou assisté par Elo Dacy, en sa qualité de directeur national adjoint, porte-parole du candidat. Florent Sogni Zaou

Congo. Présidentielle 2021 : Un accord de gouvernement entre l’UDH-Yuki et le RDD

Congo. Présidentielle 2021 : Un accord de gouvernement entre l’UDH-Yuki et le RDD

Le président de l’Union des Démocrates Humanistes (UDH- Yuki), Guy Brice Parfait Kolélas et le président du Rassemblement pour la Démocratie et le Développement (RDD), Jean-Jacques Serge Yhombi-Opango, ont signé, le 27 février 2021 à Brazzaville un accord de gouvernement. Dans un communiqué de presse, jean-jacques serge yhombi-opango  a dit qu’après une analyse profonde de la situation politique du pays, et bien que ne présentant pas de candidat à l’élection présidentielle de mars 2021, le bureau exécutif national a estimé irresponsable de ne pas soutenir un candidat de notre plateforme politique. Le  précise qu’en fonction des contacts établis avec certains candidats, le bureau exécutif national du rdd a retenu le candidat guy brice parfait kolélas et validé le projet d’accord de gouvernement entre l’udh-yuki et le rdd.   La signature de cet accord a coïncidé avec la rencontre citoyenne du président de l’udh-yuki guy brice parfait kolélas avec les militants de son parti. « je les ai rencontrés aujourd’hui pour leur dire ce qu’ils doivent faire pour la sécurisation des résultats, bureau de vote par bureau de vote », a-t-il dit. Dans un document intitulé « cahier sur la sécurisation des bureaux de vote et le canevas de la campagne électorale de l’udh-yuki » distribué aux militants de ce parti, le candidat guy brice parfait a expliqué la manière dont il va s’y prendre pour sauver le pays. Le président du rdd a dit en substance qu’ils avaient discuté sur différentes questions avant de signer cet accord. Notre alliance actuelle s’inscrit logiquement dans ce registre, celui du combat pour l’alternance démocratique, libre, transparente et apaisée. Florent Sogni Zaou

Congo/Présidentielle 2021 : La Cour constitutionnelle valide sept candidatures

Congo/Présidentielle 2021 : La Cour constitutionnelle valide sept candidatures

La cour constitutionnelle a validé, le 17 février 2021 à Brazzaville, sous la présidence d’Auguste Iloki, sept candidatures sur les huit présentées par la direction générale des affaires électorales. Les sept autres candidatures validées par la Cour constitutionnelle sont, Denis Sassou N’Guesso ; Guy Brice Parfait Kolelas ; Mathias Dzon ; Albert Oniangué ; Joseph Kignoumbi Kia-Mboungou ; Dave Uphrem Mafoula et Anguios Nganguia-Engambé . C’est la candidature de Michel Mboussi Ngouari a été invalidée par la Cour constitutionnelle au motif que deux pièces manquaient au dossier, notamment le certificat médical et la déclaration de moralité fiscale. De même, les membres de la cour ont constaté l’incohérence entre la signature apposée au bas de sa déclaration de candidature et le spécimen de celle produite au dossier. L’article 48 de la loi électorale il est prescrit tout candidat à l’élection présidentielle doit faire une déclaration légalisée comportant : ses nom et prénom, date et lieu de naissance, profession et domicile ; une copie conforme de l’acte de naissance ; quatre cartes de photographie d’identité et le logo choisi pour  l’impression de ses affiches électorales ; un curriculum vitae ; un certificat médical délivré par un collège de trois médecins assermentés désignés par la Cour constitutionnelle ; un spécimen de signature ; un casier judiciaire ; un certificat de nationalité ; une déclaration de moralité fiscale et un  récépissé de versement au Trésor public d’un cautionnement de vingt-cinq millions de francs CFA (25.000.000 FCFA), non remboursable ». La Cour constitutionnelle a également souligné que conformément à l’article 176 de la Constitution, son rôle est de veiller à la régularité de l’élection du président de la République. Selon son président, Auguste Iloki, le juge du contentieux électoral considère qu’examiner les dossiers de candidature à l’élection du président de la République, aux fins d’arrêter la liste définitive,  participe du contrôle de la régularité de ladite élection. Florent Sogni Zaou

Le Congo-Brazzaville est-il dirigé par des voyous ?

Le Congo-Brazzaville est-il dirigé par des voyous ?

OPINON. Le Parti Congolais des Tricheurs (PCT) sentant l’étau se resserrer pour l’élection présidentielle de mars 2021 a fait un tour de magie en sortant dans son chapeau le vote par anticipation de la force publique en s’appuyant sur la loi électorale du 10 décembre 2001. Il sied de rappeler à l’opinion nationale et internationale que depuis dix-neuf (19) ans plusieurs lois électorales ont été votées dans ce pays toujours dans le but de barrer la route à l’opposition et d’empêcher une alternance crédible dans le pays. Le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Monsieur Zephyrin Mboulou est incapable de nous expliquer dans quelle rubrique ou article de la loi électorale de 2001, il s’appuie pour faire passer sa forfaiture ? POURQUOI ALORS LE PCT REFUSE DÉLIBÉRÉMENT À LA DIASPORA DE PARTICIPER AU VOTE LORS D’ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES ET LÉGISLATIVES? Les articles 5;6;7;8 de la loi électorale du 10 décembre 2001 sont très clairs et explicites et autorisent LES CONGOLAIS DE L’ÉTRANGER À PARTICIPER AUX VOTES. Voilà comment le PCT et ses dirigeants se comportent comme des truands, des bandits de grands chemins, foulant au pied la dignité des Congolais. Il ne peut pas avoir un poids et deux mesures. Soit Mboulou met en œuvre le vote des Congolais de l’étranger, soit il annule le vote par anticipation de la Force publique qui est contraire à la Constitution du 25 octobre 2015. Le peuple Congolais doit se lever car ce pays n’appartient pas au PCT ni à la famille Nguesso mais aux Congolais, le ministre de l’Intérieur ne peut pas faire bon lui semble et s’en foudre des Congolais. Nous disons trop c’est trop, le PCT est démasqué et confondu par rapport à ses propres textes. « Il y’ a un temps pour toute chose sous les cieux, chaque chose dans ce bas monde a une fin. » Evrard NANGHO Président national du Modec.

Congo. Une magouille annoncée du PCT pour 2021

Congo. Une magouille annoncée du PCT pour 2021

TRIBUNE. En voulant modifier la loi électorale pour permettre à la force publique de voter par anticipation, c’est la nouvelle stratégie du PCT pour remporter les élections présidentielles en 2021 dès le premier tour comme cela à été arrêtée dans les officines de l’état major de ce parti stalinien. Jusqu’aujourd’hui les ministres de la Défense et de l’Intérieur sont incapables de nous donner le nombre exact de la Force publique Congolaise (Article 204: La Force publique est composée de la police nationale, de la gendarmerie nationale et des forces armées congolaises) Combien de militaires sont casernés puisse qu’on les voit déambuler dans les rues de Brazzaville, combien de policiers et gendarmes ? Les policiers, les militaires et les gendarmes qui ne sont pas casernés ne peuvent plus être comptabilisés puissent qu’ils sont déjà recensés dans leurs lieux d’hébergement. Le PCT doit nous dire combien de personnes de la Force publique seront mobilisées pour superviser les élections pour que ces personnes votent par anticipation ? Le Ministre de l’Intérieur n’est pas impartial puisqu’il est élu député de Mpouya sous l’étiquette du PCT bien qu’il ne siège pas. Il revient à la Commission nationale électorale indépendante (CNEI) de faire des propositions sur la réforme concernant l’organisation des élections. Jusqu’aujourd’hui nous attendons toujours le décret sur le vote des Congolais de l’étranger, nous sommes le seul pays où la diaspora ne participe pas aux élections présidentielles et législatives, ce qui est une violation flagrante de la constitution du 25 octobre 2015 ( Article 6: le suffrage est universel, direct ou indirect, libre, égal et secret. Sont électeurs dans les conditions fixées par la loi, tous les Congolais âgées de dix huit (18)ans révolus et jouissant de leurs droits civils et politiques. Article 245: Tout citoyen Congolais sans exclusive, qui remplit les conditions d’éligibilité, peut faire acte de candidature aux fonctions publiques électives prévues par la présente constitution). Le peuple Congolais est aux aguets, nous n’accepterons plus une forfaiture de la part du PCT. Evrard NANGHO Président national du Modec.

Congo Brazzaville. 2021. Attention danger. Nos plaies ne sont pas cicatrisées.

Congo Brazzaville. 2021. Attention danger. Nos plaies ne sont pas cicatrisées.

TRIBUNE. Au Congo Brazzaville, au-delà de 1968, les scrutins présidentiels, excepté les temps du monopartisme, avec le Parti Congolais du Travail, ainsi que ceux de 1992 et 2002 où ce type d’élection s’est déroulé, dans une relative accalmie, sans remise en cause apparente des résultats, les présidentielles de 2009 et de 2016 ont laissé des stigmates dans le pays. Des stigmates, particulièrement, douloureux, dans le cas de 2016 où des violences ont endeuillé des familles.Conformément à la constitution, les prochaines présidentielles sont prévues au premier semestre 2021. Le Congrès du Parti Congolais du Travail qui s’est clos, le 30 décembre 2019, a désigné son candidat. C’est le Président Denis Sassou Nguesso, prétendant à sa propre réélection. Deux candidatures se sont, par ailleurs révélées. Celle de Mr Guy Brice Parfait Kolelas, Président de l’UDH – YUKI. En face, Mr Andre Gombet « d’Incarner l’Espoir. » D’autres pourraient ultérieurement être connues. A près d’un an et demi, desdites présidentielles, pourrions nous, en notre âme et conscience, mettre la main au feu, pour jurer, en toute honnêteté, sur le caractère démocratique, transparent et libre desdites élections?La Commission électorale indépendante dont les forces de l’opposition n’ont cessé de dénoncer la nature non paritaire de sa composition, avec un Président de la Cour Suprême, à son commandement, cumulant les deux fonctions, s’est elle, sans qu’on le sache, muée en structure consensuelle, acceptée de l’ensemble des parties concernées? Toutes les questions majeures qui découlent de l’avant, pendant et après le vote qui ont toujours divisé les congolais ont elles été résolues? La diaspora, corps extérieur de la nation congolaise, continuera t-elle de ne pas remplir son devoir civique, hormis la parenthèse de la transition, sous le Premier Ministre, André Milongo? Des pays africains, comme le Mali, l’Algérie et la Tunisie ont soldé cet handicap qui n’est ni plus qu’une flagrante injustice des pouvoirs publics.Aux réponses positives à ces interrogations, majoritairement partagées par les congolais, qu’arrivent, donc, sans péril, les présidentielles de 2021.Et gagnera, celui qui l’emportera, dans la dignité. D’autant qu’auront été remplies les conditions républicaines d’un bon scrutin. Sinon, attention danger. Le système électoral, en vigueur, au Congo, est à refonder.Mr Pascal Tsaty Mabiala, Premier Secrétaire de l’UPADS, a, lors de sa dernière conférence de presse, relevé, selon sa sensibilité, cette problématique. Plusieurs tribunes que jai publiées, là-dessus, demeurent sans effet.Et pourtant. Aux constructions difficiles, il ne manque pas aux bonnes volontés, le temps, les moyens et les stratégies pour les édifier. Il suffit d’y croire.En Afrique, les élections portent, en elles, des germes de conflits, surtout si elles sont organisées, même à échéance légale, dans le but pour faire gagner le candidat, d’avance déclaré vainqueur. Paris le 2 janvier 2020Ouabari Mariotti UPADS France

2021: Qui mieux que lui ?

2021: Qui mieux que lui ?

TRIBUNE. En dépit de grands espoirs, de grandes proclamations et de grandes ambitions des uns et des autres, l’échec risque à nouveau d’être au rendez-vous, si l’on n’y prend garde. Beaucoup de leaders politiques ne prennent pas la mesure du danger qui guette le Congo. Si l’on ne se donne pas les moyens de mettre Sassou KO. Les fées ne se pencheront pas sur ceux qui sont en prison. C’est une évidence. Les procès qui se succèdent au Congo sont de simples machinations. Mokoko s’est pris 20 ans, Okombi se prendra la moitié, sinon le quart. Sassou ne prendra pas le risque de se confronter à des « quidams » qui veulent son fauteuil. Il va les laisser en prison. Pour les gracier, une fois qu’il sera réélu. Même s’il lui prenait l’envie de passer la main à son rejeton, il ne l’enverra pas au casse-cou avec des « enragés. » On voit mal comment, il pourrait réussir. Ma tête à couper que les bagnards les plus célèbres resteront au bagne. Quand on connait Sassou, on sait qu’il ne prend pas de risque inutile. Il est tout sauf un « charlot ». La curée qu’il a programmée va s’achever avec le procès Okombi. Pour qu’une fois pour toute, les convictions soient faites, quant au sort réservé, à l’ex « enfant chéri ». Mais qui donc peut représenter l’opposition ? La question semble corsée. Mais il ne faut plus commettre la même erreur qu’en 2016. La solution tient en seul mot : le surpassement. Parfait Kolelas, Claudine Munari ou Paulin Makaya, c’est blanc bonnet, bonnet blanc. Ils ont du cran, certes ! Mais cela ne suffit pas. Ce d’autant qu’ils décrètent mais tout le monde ne suit pas, la mobilisation ne franchit jamais les quartiers majoritairement proches de la tribu. C’est le mal congolais, entretenu par quelques politiciens à courte vue, qui ont le nez déjà collé sur 2021. Tout le monde veut, tout le monde s’y voit, tout le monde veut y être. À l’arrivée, personne n’y sera. Or, ce qu’il faut pour 2021, c’est un candidat qui les a longues, un homme modèle, intègre, qui peut rassembler au-delà de la tribu, du Nord au Sud. Qui peut appeler au soulèvement. Et être suivi, s’il a le soutien des autres. Et les coudées franches pour agir. Le candidat de l’opposition en 2021 doit avoir le soutien inconditionnel de tout le monde. Il ne faut pas qu’il soit dit,  » comme d’habitude, chacun tire la couverture de son côté ». Les leaders de l’opposition doivent se surpasser. Charles Zacharie Bowao est un pédagogue, il a le doigté, il n’a rien demandé, il ne refusera pas l’appel du peuple. Il est diplomate, il a les qualités requises. Avec lui, à la manœuvre, Sassou ne réussira pas. Il sera pris en tenailles. Au Congo, il n’y a pas que le Pool, la Bouenza, la Lekoumou, le Niari, le Kouilou, la Cuvette, les Plateaux, la Sangha, la Cuvette-Ouest et Brazzaville, il y a aussi la Likouala,  » l’extrême Nord ». Je vous l’assure, il faut changer les mentalités. Il y a chez Bowao, la sobriété et le patriotisme qui manquent à beaucoup d’hommes politiques. La barque est trop chargée, certains peuvent faire des têtes d’enterrement, il faut réagir maintenant, sinon, tout sera perdu d’avance. On sent chez les mêmes, un besoin de revanche, chez d’autres des allures de « durs à cuire », tout cela, mine le soulèvement. Le pire, c’est que ceux qui ne jurent que par eux-mêmes, rêvent déjà d’un scénario comme au Congo d’en face. Mais bon, nous ne sommes pas dans la même situation. Sassou ne laissera pas son fils pour vous catapulter. Je vous le dis, franco, ne retardons pas l’avènement. Toukasse Valence (Club Sassou 2016)