Le Roi du Maroc seul et unique protecteur des Marocains

TRIBUNE. Nul n’est en droit de contester le fait que le Roi du Maroc supervise en personne toutes les mesures prises dans le combat contre la pandémie du coronavirus (COVID-19) pour protéger les Marocains et ce, dès son apparition dans le Royaume du Maroc. Ainsi, le Maroc a été pionnier dans la mise en œuvre d’une série de procédures radicales pour stopper la propagation du COVID-19 de manière drastique avec une rapidité surprenante et ce, à la faveur de l’adoption d’un plan de réponse efficace suivi de très près par le Roi Mohammed VI, alors que de nombreux pays, dits hautement développés mais totalement nuls dans la prise de décision adéquate lors de catastrophes, ont tardé à prendre les décisions qui s’imposaient pour juguler cette crise sanitaire. Pour en avoir le coeur net, il suffit de passer en revue les différentes mesures précoces prises par le Maroc pour faire face à la propagation de cette pandémie, telles que la suspension des vols internationaux avec plusieurs pays d’Europe ou la fermeture des Mosquées et des écoles et universités, et notamment la création, le 15 mars 2020, sur instructions du Souverain marocain, d’un Fonds spécial dédié à la gestion de la pandémie du coronavirus, doté initialement de 10 milliards de Dirhams. Une initiative Royale qui, dit en passant, a suscité un vaste élan de solidarité dans ce pays, dans la mesure où ce fonds a reçu, et continue de recevoir, des contributions financières volontaires des principales entreprises du Royaume du Maroc, des compagnies d’assurance, des banques, des hauts fonctionnaires de l’Etat, des parlementaires et des citoyens marocains, qui se sont associés à cet acte de solidarité pour venir en aide aux plus démunis. C’est pourquoi, la prise de ces décisions en temps opportun a été saluée par la presse internationale tels que les quotidiens El Pais, New York Times et le journal en ligne Byline Times et tant d’autres qu’il serait superflu de les citer. Poursuivant son élan de générosité, et ce à l’approche du mois Sacré de Ramadan, le Roi du Maroc a accordé Sa Grâce à plus de 5.600 détenus, qui seront soumis à une surveillance, à des tests médicaux, ainsi qu’à une mise en quarantaine nécessaire à leur domicile et ordonné les mesures à même de renforcer la protection des détenus dans les établissements pénitentiaires, contre la propagation du COVID-19. Les détenus bénéficiaires de cette Grâce Royale ont été sélectionnés sur la base de critères humains et strictement objectifs, qui prennent en considération leur âge, leur état de santé précaire et la durée de leur détention, ainsi que la bonne conduite, le bon comportement et la discipline dont ils ont fait preuve tout au long de leur incarcération. Ce processus sera exécuté par étapes successives. Au final et au regard des cas enregistrés au Maroc et tenant compte de l’évolution de cette crise sanitaire dans les pays voisins sévèrement touchés, le Maroc a démontré qu’il a les capacités humaines et techniques pour faire face à cette pandémie et gère sérieusement et de manière efficiente cette situation, mobilisant ainsi toutes ses forces car la chose la plus urgente pour le pays est la santé de ses citoyens. Surtout, les Marocains ne doivent pas oublier de féliciter les forces de sécurité et les Forces Armées Royales qui sont mobilisées face à cette pandémie du coronavirus et ce, bien avant les pays Européens, Arabes, Africains, Océaniques et Américains. Ils méritent toutes les félicitations du peuple marocain pour leurs actions sous le Commandement de leur Chef Suprême et Chef d’Etat-Major Général, Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Farid Mnebhi.
Le rapatriement des Marocains résidant en Chine assuré par le Roi du Maroc

L’appel de détresse a été entendu par le Roi Mohammed VI, qui a ordonné, au cours d’une séance de travail tenue le 27 janvier 2020, le rapatriement de la centaine de Marocains bloqués à Wuhan, épicentre du virus coronavirus en raison de la mise quarantaine de la ville. Le Souverain marocain a également donné ses instructions pour que toutes les mesures nécessaires soient prises au niveau des moyens de transport aérien, des aéroports appropriés et des infrastructures sanitaires d’accueil spécifiques et exigé du Chef du Gouvernement et des différents responsables présents à cette réunion de travail, chacun dans son domaine de compétence, d’assurer le suivi et la coordination adéquats. L’Ambassade du Maroc à Pékin a appelé les membres de la communauté marocaine établis en Chine à la vigilance absolue et à observer scrupuleusement les mesures de prévention édictées par les autorités chinoises, tout en annonçant être en contact permanent avec les autorités chinoises et avec les ressortissants marocains pour suivre de près l’évolution de la situation sachant que l’Organisation Mondiale de la Santé n’a pas encore qualifié la situation d’« urgence sanitaire ». Par cette décision du Roi Mohammed VI de rapatrier la centaine de ressortissants marocains résidant à Wuhan, dans la province Hubei, et dans d’autres villes chinoises, le Maroc rejoint ainsi d’autres pays comme les Etats-Unis, la France, l’Australie, le Canada, la Corée du Sud, l’Allemagne ou le Japon. A noter que, suite à l’épidémie du coronavirus en chine, le système national marocain de veille et de surveillance épidémiologique a été renforcé et le dispositif de diagnostic virologique et de prise en charge d’éventuels malades est totalement opérationnel. Farid Mnebhi.
Le Roi du Maroc nomme le Président de la Commission Spéciale sur le Modèle de Développement

Le Roi Mohammed VI a chargé, le 19 novembre 2019, de la Présidence de la Commission Spéciale sur le Modèle de Développement, Monsieur Chakib Benmoussa, un ancien Ministre de l’Intérieur, actuel Ambassadeur du Maroc en France et au profil aguerri aux grands dossiers. La Commission que présidera Monsieur Benmoussa, aura pour charge d’élaborer un nouveau modèle de développement susceptible d’améliorer le quotidien des Marocains après que le Souverain marocain ait évoqué à de nombreuses reprises dans ses discours depuis octobre 2018 la nécessité de mettre en place un organisme susceptible d’incarner cette transition. En effet, le Roi Mohammed VI avait évoqué cette Commission dans son discours prononcé à l’occasion de la Fête du Trône, le 29 juillet 2019, au cours duquel le Souverain marocain avait tenu à affirmer que celle-ci regrouperait différentes disciplines académiques et diverses sensibilités intellectuelles, en y faisant siéger des compétences nationales issues des secteurs public et privé, tout en insistant sur les profils à même de saisir les dynamiques à l’œuvre au sein de la société marocaine et d’anticiper ses attentes sans jamais perdre de vue l’intérêt supérieur de la Nation. Cette Commission ne sera pas un second gouvernement ou une institution officielle parallèle, mais un organe consultatif investi d’une mission limitée dans le temps et qui devra prendre en considération les grandes orientations des réformes engagées, ou en passe de l’être, dans des secteurs vitaux, tels l’enseignement, la santé, l’agriculture, l’investissement ainsi que le système fiscal ; ses propositions auront pour unique but celui de leur perfectionnement et de l’accroissement de leur efficacité. Aussi, le Souverain marocain avait-il évoqué, dans son Discours du 20 août 2019, à l’occasion de la Fête de la Jeunesse, la mission de ladite Commission en ces termes : « Notre souhait est que cette Commission remplisse une triple mission de réajustement, d’anticipation et de prospective pour permettre à notre pays d’aborder l’avenir avec sérénité et assurance ». Quant au cahier de charge de la Commission fixé par le Souverain, il est clair et précis, à savoir : la Commission devra remplir son mandat avec impartialité et objectivité en portant à sa connaissance un constat exact de l’état des lieux, aussi douloureux et pénible puisse-t-il être. Elle devra être dotée de l’audace et du génie nécessaires pour proposer des solutions adaptées. Le Roi Mohammed VI a, en outre, indiqué que ce modèle de développement « constitue une assise solide pour faire émerger un nouveau contrat social emportant une adhésion unanime, en l’occurrence celle de l’Etat et de ses institutions, celle des forces vives de la Nation incluant le secteur privé, les formations politiques et les syndicats, les associations, ainsi que celle de l’ensemble des citoyens ». Telle sera la mission de Monsieur Chakib Benmoussa, à la tête de cette Commission. Farid Mnebhi.
Grand défenseur du climat, Le Roi du Maroc en visite en République du Congo

Le Roi du Maroc est arrivé à Brazzaville, le samedi 28 avril 2018, où il assiste au 1er Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo qui se tient dans la capitale congolaise du 27 au 29 avril 2018. Le Souverain marocain aura l’occasion d’entretenir avec Denis Sassou Nguesso, Président de la République du Congo et Président de ladite Commission du Fonds bleu. Pour rappel, le Fonds bleu pour le bassin du Congo est un fonds international de développement qui vise à permettre aux Etats de la sous-région du bassin du Congo de passer d’une économie liée à l’exploitation des forêts à une économie s’appuyant davantage sur les ressources issues de la gestion des eaux, et notamment de celle des fleuves. Il s’agira ainsi pour les quelque 20 Chefs d‘État et de Gouvernement présents à Brazzaville, dont le Roi Mohamed VI, en qualité d’’invité spécial du Sommet, de décréter, sur la base des travaux menés par les ministres de l’environnement, les modalités concrètes d’opérationnalisation du Fonds Bleu à soumettre aux « pollueurs », tel que l’a toujours voulu l’hôte du Sommet, Denis Sassou-Nguesso. Le Chef de l’Etat marocain, dont la dernière visite au Congo remonte à fvrier 2006, devrait prononcer une allocution à l’ouverture de ces Assises programmées le 29 avril 2018 et qui verront la participation de plusieurs Chefs d’Etat et de Gouvernement africains, dont ceux des pays de la Commission. Outre Sa participation au Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat et du Fonds Bleu du Bassin du Congo, le Roi du Maroc poursuivra son séjour congolais par une Visite de travail et d’amitié en République du Congo au cours de laquelle le Souverain marocain et le Président Denis Sassou-N’Guesso auront des entretiens portant sur les voies et moyens de renfoncer leurs relations bilatérales et les questions régionales et internationales . Ainsi, le 30 avril 2018, il devrait être procéder à la signature plusieurs accords de coopération entre le Royaume du Maroc et la République du Congo dans les domaines de l’économie, de l’industrie, des TIC, du commerce, de l’équipement, des transports et des infrastructures. Ces accords concerneraient également l’agriculture, la pêche maritime, l’énergie, les mines, l’environnement, le développement durable, la santé, l’enseignement, la culture et la formation, la fonction publique et l’administration publique. Le Roi Mohammed VI, qui s’est rendu en visite au Congo il y a une douzaine d’années, et le Président Denis Sassou N’Guesso devraient aussi procéder, le lundi 30 avril 2018; à la pose de la première pierre de l’édification du port de pêche de Yoro à Mpila (Est de Brazzaville) qui tire son nom du propriétaire du lieu où il est établi depuis les années 1950, le Sénégalais Yéro Thiam. Farid Mnebhi.
C’est fait ! Le Roi Mohammed VI ramène triomphalement le Maroc dans la grande famille de l’Union Africaine

En effet, réunis à huis clos, plus de 39 Chefs d’Etat sur les 54 que compte l’Union Africaine (U.A) ont défendu, le 30 janvier 2016, le retour du Maroc au sein de cette organisation panafricaine. Ainsi donc, après plus de 30 ans d’absence, le Maroc retrouve-t-il son siège à l’U.A et ce, malgré de fortes réticences de l’Algérie et de ses affidés, notamment en tentant de contrecarrer en vain le juste retour du Maroc sur des bases juridiques. Cette décision historique, prise lors du 28ème sommet de l’U.A qui se tient à Addis Abeba, capitale éthiopienne, constitue une très belle victoire pour la diplomatie marocaine et une énorme déroute de la diplomatie algérienne et celle de ses soutiens. Dès l’annonce faite par le Président de l’U.A, Monsieur Alpha Condé, les diplomates marocains ont entonné l’hymne national pour saluer ce retour triomphant du Maroc et ce, grâce à la vision stratégique du Roi Mohammed VI qui vient d’écrire en lettres d’or une nouvelle page de l’Histoire du Maroc. Ce retour institutionnel du Maroc au sein de sa famille africaine a ravi plus d’un Chef d’Etat, se réjouissant du retour du Maroc dans son environnement continental naturel, et a rendu euphoriques les réseaux sociaux Aujourd’hui, 31 janvier 2017, le Roi Mohammed VI a fait une entrée solennelle dans l’hémicycle, avec un standing ovation et des youyous, pour y siéger aux côtés de ses pairs africains et y prononcer un discours pour acter le retour officiel du Maroc à l’U.A et partager avec ses pairs africains sa ferme volonté de contribuer au développement du continent africain, d’assurer la quiétude, le bonheur et la sécurité des populations sans distinction de race, de religion ou de couleur. En cette occasion chargée d’histoire, le Souverain marocain a assisté à la cérémonie de prestation de serment du Président de la Commission de l’U.A, Moussa Faki Mahamat, et des différents commissaires. Par la suite le Roi Mohammed VI a été invité à prendre la parole devant les Chefs d’Etat africains. Ainsi, le Roi du Maroc a-t-il prononcé un discours empreint de sincérité et de vérité, qui ne laisse aucun doute sur l’engagement du Chef d’Etat marocain à tenir ses promesses envers l’Afrique et que l’on peut résumer comme suit : Le Roi marocain a d’entrée rappelé l’importance qu’accorde son pays à son continent et a rassuré les Chefs d’Etat africains quant à l’engagement du Maroc envers l’Afrique et que certains s’activent à remettre en cause à chaque fois. Le Souverain marocain a, d’entrée, déclaré : « il est bon que l’on rentre chez soi », pour justifier ensuite le départ du Maroc de l’UA en 1984, en ajoutant « le temps est venu de retrouver l’Union Africaine » et « l’Afrique est ma maison « . Après avoir affirmé et je le cite : « il est bon le l’on rentre chez soi », pour justifier ensuite le départ du Maroc de l’U.A en 1984, ajoutant « le temps est venu de retrouver l’Union Africaine et que l’Afrique est ma maison ». Poursuivant son intervention, le Chef d’Etat marocain a confirmé que le projet de gazoduc reliant le Maroc au Nigeria sera créateur de richesse, relativisant néanmoins sa portée puisque ni le gaz, ni le pétrole ne satisferont les besoins alimentaires de l’Afrique. Le Roi du Maroc a illustré son propos en rappelant que seule l’initiative « Triple A » (Adaptation de l’Agriculture Africaine) défendue par le Maroc lors de la COP 22 à Marrakech, a permis l’installation par Rabat d’unités de fabrication de fertilisants en Ethiopie et au Nigéria. S’agissant de l’Union du Maghreb Arabe (UMA), le Roi Mohammed VI n’a pas hésité à affirmer que sa flamme s’est éteinte en raison de la disparition d’un intérêt commun. Preuve en est, le Maghreb est largement à la traîne dans le commerce intrarégional par rapport aux autres sous-régions africaines et qu’il se dissoudra dans son incapacité chronique. Évoquant les dégâts du colonialisme, le Roi du Maroc a insisté sur le fait que l’Afrique est aujourd’hui dirigée par « une nouvelle génération de dirigeants décomplexés », qui œuvrent en faveur de la stabilité, de l’ouverture politique, du développement économique et du progrès social de leurs populations. Depuis plusieurs décennies, ce sont les pays du Nord qui dictaient la conduite aux pays du Sud, alors que leur taux de croissance ne dépasse pas celui de nombreux pays africains, a tranché Mohammed VI, pour qui la notion du tiers-mondisme est dépassée et qu’il est temps que les richesses de l’Afrique profitent à l’Afrique ! Le discours d’Addis Abeba du Roi Mohammed VI fera date et confirme un retour tant attendu du Maroc à L’U.A en respectant l’ensemble des procédures conformément aux textes de cette organisation continentale. Ce retour victorieux du Maroc au sein de sa famille africaine sera fêté comme il se doit par les peuples marocain et africain. Aujourd’hui, le drapeau du Maroc a été hissé devant le siège de l’U.A où il flotte fièrement.