LaPiosh : Une étoile montante de la musique congolaise
De son vrai nom Kombo Grace, Lapiosh pour les mélomanes est un jeune artiste musicien congolais qui vient de mettre sur le marche un single dénommé: la danse du coude, un single qui passe en boucle dans les différents médias. Avec une palette musicale composée essentiellement de ndombolo, de la pop urbaine ou encore des sonorités afro-urbaines, la danse du coude est un véritable melting pot de ces différentes sonorités qui donne des mélodies dansantes, attrayantes et très rythmiques valorisant ainsi la musique congolaise comme l’affirme Francis, un auditeur de la tranche d’animation # la corbeille# sur la radio rurale congolaise : « la musique de Lapiosh apporte une touche spécifique à la musique congolaise. C’est un brassage des divers styles afro qui emballent l’auditeur le tout auréolé par la force de ses mots. C’est une fierté congolaise, un véritable mwana mboka…» Né le 18 janvier 1998 dans le département de Seine-et-Marne en France, Lapiosh est issu des premiers groupes afro-urbains de Paris, car étant membre du groupe la « Selesao » de Jessy Matador. En 2012, LaPiosh démarre une carrière solo ponctuée par des featurings avec des artiste de renom comme Passi, Jacky Brown, mais c’est en 2015 qu’il rencontre le succès avec Ekrazmen. Un titre purement ndombolo, avant d’intégrer le label Wati-b en 2015 avec lequel il sort le titre afro-urbain: » Dribble facile » en featuring avec le rappeur Dry. Après un changement d’orientation, LaPiosh rejoint en 2018 le label Ricci Ns Prod sous lequel il sort les titres: « Dans le noir » et » Tobina » mélangeant rythmes urbains et ndombolo. Sa carrière va connaitre un autre tournant en 2019 avec la sortie de » Célébration » aux sonorités ndombolo et afro-pop. Notons qu’au départ LaPiosh était batteur et guitariste. Cette polyvalence artistique a fait de lui un chorégraphe expérimente l’ayant permis, avec son groupe d’alors, de participer entre 2004 et 2005 à deux tournées internationales aux Etats unis et au canada. Fresnel Bongol Tsimba