Congo/Education : Les inscriptions aux examens de l’Enseignement général valables jusqu’au 15 février 2023

Congo/Education : Les inscriptions aux examens de l’Enseignement général valables jusqu’au 15 février 2023

Le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, a édifié les directeurs départementaux sur la date de clôture des inscriptions fixée au 15 février 2023. Le ministre a dit en substance que la modification n’avait aucune incidence sur les dates des examens d’Etat prévus de juin à juillet 2023. Cette prorogation permet de remettre de l’ordre pour les chefs d’établissement qui exagèrent dans les frais d’inscription et surtout d’aider les directeurs départementaux qui font face à des difficultés de perfection des inscriptions. S’agissant de ces frais d’inscription, il sied de rappeler, que le directeur des examens et concours de l’Enseignement général, Damien Madiki, avait attiré l’attention de tous les acteurs impliqués dans le processus et rappelé que les montants reconnus par les textes en vigueur étaient, pour le baccalauréat, candidats officiels congolais, fixés à 5 000 FCFA et 15 000 FCFA pour les candidats libres. Pour les candidats officiels étrangers, il fallait payer la somme de 15 000 FCFA et 20 000 FCFA pour les candidats libres. Les candidats au Brevet d’Etudes du Premier Cycle (BEPC), les candidats officiels congolais étaient tenus de payer 4 000 FCFA et les candidats libres étaient à 10 000 FCFA. Les candidats officiels étrangers versaient en ce qui les concerne la somme de 10 000 FCFA pendant que les candidats libres étrangers déboursent la somme de 15 000 FCFA. Au Certificat d’Etudes Primaires et Elémentaires, les candidats officiels congolais s’acquittent de 2000 FCFA, les candidats libres déboursent 3 000 FCFA, les candidats officiels étrangers décaissent le montant de 3 000 FCFA et les candidats libres étrangers dépensent 3000 FCFA. Florent Sogni Zaou

Congo/Enseignement : Le lycée de Lékana prêt pour l’année scolaire prochaine

Congo/Enseignement : Le lycée de Lékana prêt pour l’année scolaire prochaine

Le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, a visité, le 12 septembre 2022 les travaux de construction du lycée de Lékana par la société Numérica global services (NGS). « Nous sommes venus nous assurer de ce que les travaux de construction du lycée de Lékana ont été menés de main de maître et qu’ils sont terminés. Nous avons, au niveau de Brazzaville, procédé à la nomination de l’équipe qui va diriger ce lycée, mais avant que nous ne puissions la publier, il fallait nous assurer que les travaux ont été réalisés ici et là, en l’occurrence », a dit le ministre Jean Luc Mouthou. Le lycée de Lékana est un ensemble de plusieurs bâtiments parmi lesquels huit salles de classe, un bloc administratif, une salle informatique, une bibliothèque, un laboratoire, huit latrines pour élèves de sexe féminin, masculin et le personnel enseignant, puis deux logements.   Le ministère de l’Enseignement secondaire s’est mis dans la construction des lycées de Moukondo à Brazzaville, de Siafoumou à Pointe-Noire en attendant l’ouverture du lycée d’Inkouelé et l’occupation des nouveaux locaux du district de Tchikapika.   Florent Sogni Zaou

Congo. Lycée Savorgnan de Brazza : Des anciens élèves pour la réhabilitation de l’établissement

Congo. Lycée Savorgnan de Brazza : Des anciens élèves pour la réhabilitation de l’établissement

SOCIETE. « Il est, entre autres, question de réhabiliter ce qui peut l’être pour améliorer les conditions d’apprentissage », a fait savoir la chargée de la communication, Marie Bantsimba. C’est cette phrase que peut être retenue des anciens élèves du lycée Pierre-Savorgnan-de-Brazza, conduite par Marie Bantsimba chargée de la communication lors de rencontre avec le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, à qui ils sont allés dire leur volonté de contribuer au rayonnement de cet établissement scolaire. Il a été noté dans l’enceinte de ce lycée un grand bâtiment délabré avec plusieurs salles de classe qui demandent des moyens pour être réhabilitées afin de résoudre le problème de pléthore.  Dans le même établissement, une partie du mur de clôture présente des fissures et ces anciens élèves ne veulent pas attendre sa chute avant de se mettre à l’œuvre. Cette association a également abordé la question des violences en milieu scolaire. C’est à cela qu’elle s’attèle à travers des campagnes de sensibilisation pour conscientiser les élèves. Il a été remarqué que dans plusieurs établissements scolaires de Brazzaville et de Pointe-Noire, le phénomène prend de l’ampleur. C’est pour contrer cet état de fait que les ministères de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation et de l’Ordre public ont amorcé le processus d’installation des postes de police dans l’enceinte des écoles. Florent Sogni Zaou