PwC au Maroc dévoile sa nouvelle feuille de route alignée sur la nouvelle stratégie mondiale du réseau PwC « The New Equation »

PwC au Maroc dévoile sa nouvelle feuille de route alignée sur la nouvelle stratégie mondiale du réseau PwC « The New Equation »

Le cabinet de conseil et d’audit PwC lance sa nouvelle stratégie mondiale “The New Equation” afin d’aider les organisations à répondre à deux enjeux indissociables : créer de la confiance et mener des transformations complexes pour des résultats durables. Partenaire de croissance d’un large panel de clients marocains depuis plusieurs années, le cabinet PwC au Maroc, dans le cadre de cette nouvelle stratégie, renforce le développement de ses offres de services dans les domaines les plus cruciaux pour l’avenir de ses clients, et accélère ses investissements au Maroc à travers le développement de plateformes d’expertises à forte valeur ajoutée, couvrant les enjeux clés liés à la cyber sécurité, la digitalisation, les opérations de transactions (Strategy& Deals) ainsi que les exigences environnementales, sociétales et de gouvernance (ESG). L’objectif étant d’accompagner les entreprises à construire la confiance, afin de répondre aux attentes croissantes en matière de transparence et d’implication des parties prenantes, et à mener des transformations complexes pour des résultats durables. « Avec plus de 250 collaboratrices et collaborateurs, notre plus grand atout, ainsi que nos compétences pluridisciplinaires et les ambitions de notre feuille de route stratégique France Maghreb, PwC au Maroc ambitionne de devenir l’acteur de référence de la création de confiance et de la transformation durable des entreprises. Plus que jamais, nous continuerons donc à accompagner durablement nos clients dans leur stratégie de croissance tant à l’échelle nationale qu’internationale afin de les aider à adresser des problématiques de plus en plus globales et complexes », souligne Réda Loumany, Territory Managing Partner de PwC au Maroc, et qui rappelle que depuis 2014, les activités de conseil regroupées au sein de PwC Advisory disposent du statut « Casablanca Finance City ». Grâce à son appartenance au réseau PwC présent dans 156 pays et à sa forte intégration à PwC France et Maghreb, PwC au Maroc bénéficie de l’appui d’un large réseau de compétences et d’alliances lui procurant un positionnement unique de la stratégie à l’exécution. S’inscrivant parfaitement dans la feuille de route Co-créer 2025 lancé par PwC France et Maghreb, les ambitions de PwC au Maroc reposent sur plusieurs leviers : La technologie, avec pour ambition de doubler les effectifs sur les enjeux de data, de cloud, de cybersécurité et d’intelligence artificielle, y compris appliqués aux métiers de l’audit, tout en renforçant les partenariats stratégiques avec les grands éditeurs mondiaux ; Les enjeux environnementaux, sociétaux et de gouvernance (ESG): En lançant une offre dédiée au développement durable il y a 30 ans, PwC France et Maghreb a été pionnier sur ces enjeux, servis aujourd’hui par plus d’une centaine de consultants. PwC au Maroc entend capitaliser sur cette expertise afin d’accompagner les clients à faire face aux évolutions environnementales et aux exigences réglementaires ;  Les opérations de transactions (“deals”) : le cabinet entend consolider son leadership en investissant sur l’ensemble du continuum des transactions ; Le conseil en stratégie, porté par la marque Strategy&, avec un accroissement des équipes et des compétences dans les secteurs d’activités clés du cabinet ; Le renforcement des compétences sur les métiers historiques de PwC : la gestion des risques et la conformité réglementaire, l’expertise juridique et fiscale, et l’audit, pour accompagner la dynamique de gains récents de mandats importants dans différents secteurs d’activité. « PwC déploie ses services au Maroc et en Afrique depuis plusieurs années. Nous sommes très optimistes quant à la pérennité de la croissance du marché marocain. C’est pour cela que nous avons un rôle important à jouer afin de contribuer à positionner les enjeux environnementaux, sociétaux et de gouvernance, au cœur du Nouveau Modèle de Développement Économique et Social au Maroc », précise Réda Loumany.  Recrutement de 8000 collaborateurs en France et au Maghreb d’ici 2025 Plaçant l’humain au centre, PwC offre une expérience people unique permettant aux collaborateurs de monter en compétences à travers le programme mondial d’upskilling digital, car seules la pluridisciplinarité et la diversité au sein des équipes sont à même d’aider les clients du réseau et leurs parties prenantes à relever les défis. PwC redouble ainsi d’efforts pour attirer de nouveaux talents et former ses collaborateurs à répondre à ces besoins, associant ingéniosité et technologie pour produire des résultats sur le long terme tout en construisant la confiance sur toute la chaîne de valeur. Dans ce sens, PwC France et Maghreb, qui prévoit de recruter d’ici 2025 8000 collaborateurs en France et au Maghreb, poursuit et engage plusieurs initiatives fortes : Le projet New Ways of Working, pour accompagner la transformation des modes de travail, avec notamment l’extension du télétravail, de la mobilité et de la flexibilité en s’appuyant sur la digitalisation des outils ; L’apprentissage et le développement continus en favorisant les parcours pluridisciplinaires, la montée en compétences par l’innovation, la co-construction et le mentoring, et en proposant une offre variée de formations notamment via un portail en accès illimité qui a permis d’offrir 300 000 heures de formation en 2020, dont un tiers pour les nouveaux embauchés ; Le programme Be Well, Work Well autour de la qualité de vie au travail.

Maroc. Gaz naturel : une feuille de route nationale pour les 30 prochaines années

Maroc. Gaz naturel : une feuille de route nationale pour les 30 prochaines années

Le ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement (MEME) a annoncé récemment la mise en place d’une feuille de route nationale pour le développement du gaz naturel s’étalant jusqu’à 2050. La mise en œuvre de cette feuille de route s’inscrit dans le cadre de la stratégie énergétique nationale qui « vise une sécurité d’approvisionnement et une diversification du mix énergétique dans le cadre d’une substitution progressive des énergies d’origines fossiles par les énergies vertes et durables », assure le département de l’énergie et des mines. Notons qu’elle intervient deux mois après la présentation par le même ministère des grandes lignes du « Plan Maroc Mines 2021-2030 » qui vise à faire du secteur minier national une locomotive du développement responsable et durable à l’échelle locale, régionale et nationale. Dans un communiqué, le département de l’énergie et des mines indique que « les objectifs de cette feuille de route s’articulent autour d’orientations stratégiques, notamment la création d’un marché régulé de gaz naturel en stimulant une évolution progressive de la demande et le développement d’un projet d’infrastructure gazière structurant ». La feuille de route ambitionne également de stimuler « l’accès aux industriels et tous autres consommateurs à une énergie compétitive, l’amélioration de la compétitivité des industriels marocains exportateurs et le développement d’autres activités annexes de sous-traitance autour de la filière du gaz naturel », souligne la même source. Elle a vocation à mettre en place les jalons du développement du gaz naturel, pour les besoins industriels dans un premier temps, suivi du domestique dans un deuxième temps tout en poursuivant son développement pour intégrer les besoins de production d’électricité, précise le ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement dans son communiqué. C’est ainsi que la feuille de route préconise, dans une première étape, de mettre en place « un cadre règlementaire du secteur du gaz naturel à travers notamment la promulgation du projet de loi n°94-17 relatif au secteur aval du gaz naturel, combustible et l’activité de stockiste indépendant et l’élargissement des attributions de l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE) » en vue de réguler le secteur du gaz naturel. L’objectif de cette première étape consiste aussi à mettre en place un Gestionnaire du réseau de transport du gaz naturel marocain, réglementer les activités d’importation libre du gaz naturel, de transport, de stockage et de distribution et à amender la réglementation relative aux spécifications techniques et normes de sécurité régissant le secteur du gaz naturel. Dans une deuxième étape, le département de l’énergie et des mines recommande « l’évaluation de la demande à travers l’évolution de la consommation actuelle et celle des dernières années ainsi que le potentiel de la demande future». Il estime qu’« un développement rapide de la demande pourrait avoir lieu suite à une ruche des industriels vers ce nouveau combustible, propre et compétitif ». Par ailleurs, le ministère considère que la demande Gas To Industry sera le levier du développement du marché du gaz naturel au Maroc à côté du Gas to Power pour la production d’énergie en remplaçant progressivement le charbon. La dernière étape à suivre, la troisième, concerne « l’évaluation des différentes options d’approvisionnement en GN et en GNL, notamment par gazoducs (GME), par des unités flottantes de stockage et de regazéification (FSRU), par terminaux onshore, et les flux multidirectionnels ». Elle insiste aussi sur la diversification des points d’entrée du produit et de ses sources et assure une flexibilité d’approvisionnement et une assurance de sa régularité et sa continuité. Dans l’objectif de relier l’ensemble des composantes du plan gazier, cette ultime étape recommande le déploiement d’un nouveau réseau de transport et « le développement des capacités propres de réception et de stockage du gaz naturel et du GNL pour des raisons de sécurité d’approvisionnement ». A noter que la demande totale en gaz naturel au Maroc devrait atteindre plus de 3 BCM en 2040, ce qui donne lieu à un début de maturité du marché national. Selon les études réalisées et l’analyse de la situation actuelle de l’offre et de la demande du gaz naturel aux niveaux national et international, le marché serait tiré dans une première étape par la demande du secteur de la production de l’électricité et par celui de l’industrie. Alain Bouithy

Maroc. Une nouvelle feuille de route pour le secteur minier

Maroc. Une nouvelle feuille de route pour le secteur minier

Le ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement (MEME) a présenté récemment les grandes lignes du Plan Maroc Mines 2021-2030 qui vise à faire du secteur minier national une locomotive du développement responsable et durable à l’échelle locale, régionale et nationale. Le nouveau plan constitue une actualisation de la stratégie de développement du secteur minier national mise en place il y a près de 10 ans. Il «apporte les ajustements nécessaires et appropriés en tenant compte des quatre impératifs conjoncturels et de la convergence des intérêts des différentes parties prenantes», a indiqué le Département de l’énergie et des mines. Ce plan a capitalisé sur les acquis accomplis dans le cadre de la stratégie 2013, a affirmé le ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah, lors de sa présentation au siège du MEME à Rabat. Sa mise en œuvre sera accompagnée par des structures de gouvernance dont le rôle est de veiller à son implémentation, à la promotion de la transparence, la responsabilisation des acteurs et l’exemplarité du secteur dans la gestion des aspects environnementaux et du développement durable, a-t-il souligné. Le PMM 2021-2030 allie la bonne gouvernance, l’intégration économique,  le respect de l’environnement et du principe de la durabilité et le respect des droits des populations. Il «pose les bases d’une approche globale visant le développement d’un modèle compétitif à l’horizon 2030 œuvrant pour une industrialisation intégrée et une croissance durable », a-t-on souligné. Dans sa communication, le département de tutelle a indiqué que ce plan s’articule autour de quatre piliers stratégiques : développement d’un tissu d’acteurs compétitifs, refonte de l’organisation institutionnelle du secteur, renforcement de l’impact social et du caractère responsable et durable du secteur minier et adaptation du cadre législatif et des moyens financiers et fiscaux aux nouvelles ambitions du secteur. Lesquels piliers sont déclinés en 21 axes de développement, traduits en 58 leviers et 127 actions afin de garantir l’opérationnalisation du PMM 2021-2030 et d’assurer son implémentation, a souligné le ministère. La mise en œuvre de ce plan à l’horizon 2030 exige des mesures de soutien et d’accompagnement, et pour une meilleure implémentation de celui-ci, le ministère préconise la refonte, la création ou la transformation de structures ou commissions. Il est à noter que la part du secteur minier dans les exportations nationales a atteint 21,7% en valeur en 2020. L’importance de ce secteur, considéré parmi les piliers de l’économie nationale, est perceptible au-delà des investissements qu’il draine à travers sa contribution au PIB (entre 7 et 10%). Mais en dépit de ses performances et retombées bénéfiques sur le développement local et régional ainsi que son impact positif sur la dynamique du transport et sur l’activité portuaire, ce secteur (hors phosphates) reste confronté à la nécessité de découvrir de nouveaux gisements, à l’optimisation de la valeur ajoutée des substances minérales exploitées et à l’affirmation des enjeux de développement durable. En plus de se trouver confrontée, ces dernières années, à de nouveaux challenges relatifs aux exigences sociales et environnementales, l’industrie minière demeure une activité hautement capitalistique présentant des risques élevés et requérant d’importants investissements dans les activités d’exploration et de valorisation. Un secteur certes vital mais dont le retour d’investissement est tributaire de plusieurs facteurs dont la conjoncture du marché des substances minières et la grande volatilité des prix des produits de base, a rappelé le ministère. Ainsi, et dans l’objectif de répondre à ces préoccupations, plusieurs approches ont été retenues dans le nouveau plan. Il s’agit de renforcer le rôle de l’ONHYM en tant qu’acteur public central dans le développement du secteur minier,  renforcer et développer les missions de la Direction de la géologie, développer un laboratoire national minier, accompagner les TPME minières ainsi que développer des formations et des ressources humaines qualifiées en adéquation avec les besoins du secteur. Il est aussi question de favoriser l’émergence d’une industrie de valorisation et de transformation des produits miniers et de mettre en place un régime fiscal adapté au secteur. Pour rappel, le Maroc dispose de 70% des réserves mondiales en phosphate dont il est le premier exportateur à l’échelle mondiale. Il occupe aussi une place de choix dans l’exploitation d’autres substances minérales telles que l’argent (19 ème mondial et 1er en Afrique), la fluorine (7ème au niveau mondial et 2ème en Afrique), la barytine (3ème au niveau mondial et 1er en Afrique), le cobalt (11ème mondial et 3ème en Afrique), entre autres. Alain Bouithy

Congo: l’opposition présente sa feuille de route

Congo: l’opposition présente sa feuille de route

Ainsi que le rapporte Africa 24, l’opposition congolaise a présenté, mercredi 24 avril, sa feuille de route axée la gouvernance électorale, la réécriture de la loi électorale, le renouvellement de la Commission nationale électorale indépendante, entre autres.

Congo : Calixte Nganongo dévoile la feuille de route du ministère et des administrations sous tutelle pour 2019

Congo : Calixte Nganongo dévoile la feuille de route du ministère et des administrations sous tutelle pour 2019

2019 est l’année d’accélération des réformes aussi bien du ministère que des Finances publiques, a rappelé récemment le Ministre des Finances et du Budget, Calixte Nganongo. Des réformes qui devront aboutir inévitablement à l’actualisation du cadre juridique des directions générales, c’est-à-dire à de nouveaux organigrammes adaptés à l’esprit desdites réformes, rapportent les services de communication du ministère. Soulignons que le ministre Finances et du Budget s’est ainsi exprimé, en présence des directeurs généraux et centraux, lors d’une rencontre tenue récemment au ministère des Affaires étrangères à Brazzaville et au cours de laquelle a dévoilé la feuille de route du ministère et des administrations sous tutelle pour l’année 2019. Comme le souligne le ministère dans un communiqué, cette année sera marquée aussi par la poursuite de la modernisation du système d’information avec, pour axe central, l’interconnexion des régies financières. Autres orientations mentionnés dans ce communiqué : la formation des cadres pour adapter leur profil aux exigences de la réforme ; le redéploiement du personnel en fonction de la qualité et des besoins réels des directions générales, afin d’éviter la pléthore observée actuellement ; le rajeunissement des titulaires des postes et la mise automatique à la retraite des cadres ayant atteint l’âge de la retraite. A noter qu’avant d’exhorter ses administrés à la cohésion fonctionnelle et à la synergie de travail entre eux, d’une part, et avec le cabinet d’autre part, le Ministre Calixte Nganongo a insisté également sur « la promotion d’une meilleure organisation du travail en 2019, pour éviter le gel des dossiers ou la lenteur administrative dans le traitement des dossiers des usagers », ajoute la même source. Martin Kam

Rabat: Présentation de la feuille de route de la Bourse et création de groupes de travail thématiques

Rabat: Présentation de la feuille de route de la Bourse et création de groupes de travail thématiques

Institué par l’article 100 de la loi n°19-14 relative à la Bourse des valeurs, le Comité du marché des capitaux (CMC) a tenu sa première réunion en début de semaine, au siège du ministère de l’Economie et des Finances, à Rabat. Présidée par Mohamed Boussaid, ministre de l’Economie et des Finances, cette rencontre a été consacrée à la présentation de la feuille de route de la Bourse et à la création de groupes de travail thématiques au sein du comité. Et ce, conformément à la législation qui le régit. Comme l’a d’emblée souligné le ministre, l’institution du CMC vient suite à une requête de la communauté financière qui a estimé que la place financière marocaine doit disposer d’un organe de concertation et d’échange où les autorités publiques et les intervenants peuvent réfléchir ensemble sur les questions et thématiques qui vont forger les orientations stratégiques de la place. Bien qu’il ait été institué par la loi sur la Bourse, ses prérogatives couvrent toutes les questions liées au marché des capitaux, a-t-il précisé. Concernant la stratégie de développement du secteur financier, il a été relevé qu’elle s’articule autour de trois domaines d’intervention : la stabilité financière, le marché et les institutions et l’inclusion financière. A propos de la stabilité financière et de l’inclusion financière, précisons que ces domaines sont couverts pour le premier par le Comité de coordination et de surveillance des risques systémiques (présidé par le wali de Bank Al Maghrib) et pour le second par une structure de gouvernance dédiée en cours de mise en place. Ainsi, le CMC devra s’atteler particulièrement aux questions en relation avec le développement du marché et de ses institutions. A noter que lors de cette rencontre, Hamid Tawfiki et Karim Hajji, respectivement président du Conseil d’administration et directeur général de la Bourse de Casablanca, ont exposé les principaux axes de la feuille de route qui vise à moderniser l’infrastructure du marché avec l’ambition d’en faire une plateforme robuste, intégrée et performante. L’occasion de souligner la nouvelle vision stratégique de la Bourse de Casablanca qui se fixe trois objectifs stratégiques: la construction d’une infrastructure de marché intégrée, solide et pérenne ; une meilleure contribution au financement de l’économie nationale ainsi que le rayonnement régional de la Bourse de Casablanca. Saluant l’importance et la pertinence de la feuille de route, les membres du CMC ont noté qu’elle traite l’ensemble des thématiques en relation avec les leviers du développement du marché dans ses différentes composantes et le fait qu’elle interpelle l’ensemble des acteurs du marché. Notons aussi que les débats ont porté par la suite sur plusieurs thématiques d’actualité stratégiques pour le développement de la place qui ont abouti à la création, à ce stade, de trois groupes de travail : « Stratégie de développement du marché », « Dette privée » et « Financement des TPME et des start-up ». Le premier sera présidé par la Direction du Trésor et des finances extérieures qui devra préparer une plateforme pour la convergence des stratégies des différents acteurs du marché. Le deuxième sera présidé par l’AMMC qui se penchera sur la situation de ce marché et les moyens et mesures à mettre en place pour sa relance alors que le troisième le sera par Bank Al Maghrib qui s’intéressera aux solutions de financement de cette catégorie d’entreprises. Signalons que les travaux de ce comité n’ont pas vocation à se substituer à ceux engagés par les autorités et les institutions du marché dans leurs prérogatives respectives. Pour le ministre, ils permettront plutôt d’identifier ensemble les leviers adéquats pour que le marché des capitaux puisse renforcer son rôle dans le financement de l’économie et répondre ainsi aux attentes des entreprises et des ménages en termes de solutions de financement adaptées. Alain Bouithy