Inflation en Tunisie : la filière du lait ne parvient plus à suivre la consommation

Congo/Consommation : Interdiction d’exportation de la farine de blé

DENREE. « Le gouvernement de la république du Congo fournit d’énormes sacrifices en subventionnant l’achat du blé pour maintenir le prix du sac de farine actuel », a dit le ministre d’Etat, ministre du commerce, des approvisionnements et de la consommation, Alphonse Claude Nsilou. Dans une correspondance à son collègue chargé de l’administration du territoire, le ministre Nsilou dénonce la sortie d’une quantité importante de la farine pour être vendue dans les pays voisins. Il a dénoncé la complicité de certains agents de la gendarmerie, de la douane, commerce et des postes frontaliers. Le ministre Nsilou a de ce fait demandé à son collègue d’instruire ses services de mettre fin sans délais à l’exportation des produits alimentaires et des intrants agricoles. La république du Congo fait face, comme tous les pays, à une forte augmentation des prix des denrées du fait de la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Florent Sogni Zaou
Yassir révolutionne le secteur de la consommation avec le lancement du nouveau service Yassir Market

Yassir Market repose sur le concept inédit dit “Dark store” disponible sur l’application Yassir Express. Il permet d’accompagner la transformation du comportement consommateur post-covid. Il s’agit d’un entrepôt physique de proximité sans devanture et sans accueil, servant uniquement de point de stockage et de livraison, et permettant aux clients de se faire livrer les courses essentielles, sur plus de 1000 références, et en quelques minutes. Ce business model innovant s’inscrit dans la stratégie de diversification de la start-up, Yassir, qui fait partie des précurseurs en Afrique et au Maroc. Yassir Express dispose à ce jour, de 8 magasins opérationnels sur Casablanca, Kenitra, Agadir, Marrakech, Fès et Meknès, et capitalise sur un plan d’expansion rapide concernant de nouveaux quartiers notamment sur Casablanca, ainsi que qu’une présence dans de nouvelles villes du royaume, tels que Tanger, Rabat, Mohammedia, etc. afin de desservir l’ensemble du Royaume. Le service a démarré en Septembre 2021 et a déjà été assailli de demandes en raison du développement des nouvelles habitudes de consommation des marocains en post-covid. Les livraisons s’effectuent 6 jours sur 7, de 9h à 22h, et de 11h à 1h en ce mois sacré. Le coût du service est de 7 Dhs hors période promotionnelle. Yassir Market disponible sur l’application Yassir Express propose un large panel de produits pour répondre au mieux aux changements des habitudes de consommation. Le processus de commande est simple. Depuis l’application Yassir Express, le client fait ses courses en sélectionnant le service “Yassir Market”, et comme dans un supermarché en ligne, il suffit d’ajouter au panier ses produits depuis les rayons (Boissons, produits alimentaires snacks, produits de beauté, bébé etc.), et de procéder au choix du moyen de paiement, soit en espèce à la livraison ou paiement en ligne sécurisé. « Nous sommes fier d’être une startup Africaine “Born in Africa” qui permet d’accompagner le changement des habitudes de consommation, d’ailleurs nous avons pensé au service Yassir Market disponible sur l’application Yassir Express, pour répondre aux besoins actuels , en proposant une livraison en moins de 30min » a déclaré, Mohammed Aziz Jaouhari Tissafi, General manager de Yassir. Une levée de fonds de 30m$ : Récemment, Yassir a pu lever 30m$ auprès de plusieurs investisseurs internationaux de renommée permettant d’accélérer non seulement son expansion en Afrique du nord, mais aussi le lancement des Dark stores sur l’ensemble du continent africain. A propos de Yassir Maroc Fondée en 2017, Yassir Inc est une start-up spécialisée dans le domaine des solutions mobiles innovantes. Elle fournit 3 types de services : le transport, la livraison de repas et de courses alimentaires (Dark stores). Elle opère dans 30 villes réparties sur 3 continents (Afrique, Europe, et Amérique du Nord). La société compte plus de 1.500.000 utilisateurs et 10.000 partenaires. Lancé en octobre 2018 au Maroc, Yassir Maroc compte aujourd’hui au sein de son équipe plus de 50 jeunes talents et compte doubler son effectif d’ici fin d’année. A la tête de la filiale marocaine, Aziz JAOUHARI TISSAFI, serial entrepreneur, ingénieur et expert du e-commerce et de l’économie à la demande. Aziz a auparavant cofondé, WAYSTOCAP, la première startup marocaine qui a réussi à lever plus de 4 millions de dollars de capitaux avant d’être rachetée par MaxAB. Actuellement, Aziz veille à l’expansion de la start-up dans de nouvelles zones géographiques africaines telles que le Sénégal, Bénin, Togo et bientôt la Côte d’Ivoire.
Maroc: L’indice des prix à la consommation poursuit sa hausse en septembre

Comme en août dernier, l’indice des prix à la consommation (IPC) du mois de septembre a enregistré une amélioration selon le Haut-commissariat au plan (HCP), ajoutant que l’indicateur d’inflation sous-jacente en hausse de 0,5% sur un mois et de 1% sur une année. Dans une note d’information relative à l’IPC du mois de septembre 2017, l’organisme public a fait état, en effet, d’une hausse de l’indice des prix à la consommation attribuée à la hausse de l’indice des produits alimentaires et de l’indice des produits non alimentaires. «L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois de septembre 2017, une hausse de 0,8% par rapport au mois précédent», a précisé le haut-commissariat dans sa note, expliquant que cette augmentation est liée à la hausse de 1,5% de l’indice des produits alimentaires et de 0,4% de l’indice des produits non alimentaires. Pour rappel, l’IPC du mois d’août avait connu une hausse de 0,3% résultant de la hausse de 0,5% de l’indice des produits alimentaires et de 0,2% de l’indice des produits non alimentaires. A noter que ces deux mois consécutifs de hausses avaient été précédés en juillet d’une baisse de 0,5% de l’ICP, après trois mois de hausse (juin, mai et avril). Sur l’année, l’IPC aura donc évolué en dents de scie. Notons que les hausses des produits alimentaires observées entre août et septembre 2017 ont concerné principalement les «fruits» (5,5%), les «légumes» (4,2%), les «viandes» (1,6%), les « poissons et fruits de mer» (1,5%) et le «café, thé et cacao» (1,9%). En ce qui concerne les produits non alimentaires, le HCP a constaté que la hausse a principalement touché les «carburants» (2,1%) et l’«enseignement» (2,0%). Selon le Haut-commissariat, les hausses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Laâyoune (1,6%), à Oujda, Kénitra et Dakhla (1,3%), à Guelmim (1,2%), à Beni-Mellal (1,1%) et à Rabat, Fès, Casablanca et Safi (1,0%). Le HCP a, en revanche, noté une baisse à Al-Hoceima de l’ordre de 0,8%. Rappelons qu’entre juillet et août 2017, les hausses des produits alimentaires avaient concerné principalement les «légumes» (5,1%), les «fruits» (1,3%), «les poissons et fruits de mer» (1,0%) et le «café, thé et cacao» (0,4%). Les hausses les plus significatives avaient alors été observées dans une dizaine de villes. A savoir : Al-Hoceima (1,4%), Oujda et Safi (1,0%), Dakhla (0,9%) et Agadir, Beni-Mellal, Settat et Laâyoune (0,6%). En revanche, une stagnation avait été enregistrée à Meknès et Tanger. Dans sa dernière note, le HCP a relevé que «comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 0,4% au cours du mois de septembre 2017, conséquence de la hausse de l’indice des produits non alimentaires de 1,3% et de la baisse de celui des produits alimentaires de 0,7%». S’agissant des produits non alimentaires, il a indiqué que les variations vont d’une baisse de 0,2% dans la «communication» à une hausse de 3,3% dans les «restaurants et hôtels». Dans ces conditions, le Haut-commissariat a conclu que «l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois de septembre 2017 une hausse de 0,5% par rapport au mois d’août 2017 et de 1% par rapport au mois de septembre 2016».
Maroc: L’indice des prix à la consommation recule après trois mois consécutifs de hausse

Après trois mois consécutifs de hausse, l’Indice des prix à la consommation (IPC) a enregistré une baisse de 0,5% au cours du mois de juillet 2017, résultant de la baisse de 1,0% de l’indice des produits alimentaires et de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires. Dans une note d’information relative à l’IPC du mois dernier, le Haut-commissariat au plan (HCP) a expliqué, en effet, que « cette variation est le résultat de la baisse de 1,0% de l’indice des produits alimentaires et de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires ». Rappelons que la dernière baisse de l’indice des prix à la consommation remonte au mois de mars 2017. A cette date, l’IPC avait connu un repli de 0,6% par rapport au mois précédent, dû à la baisse de 1,4% de l’indice des produits alimentaires et à la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires. A noter aussi que les IPC enregistrés au cours des précédents mois de juin, mai et avril s’étaient distingués par des hausses respectives de 0,3%, 0,5% et 0,2%. Selon l’organisme public, la variation de l’IPC relevée en juin dernier résultait de «la hausse de 0,6% de l’indice des produits alimentaires et de la stagnation de l’indice des produits non alimentaires» et celle de mai était due à la hausse de 1,3% de l’indice des produits alimentaires et de la stagnation de l’indice des produits non alimentaires. Alors que la variation du mois d’avril s’expliquait par la hausse de 0,3% de l’indice des produits alimentaires et de la stagnation de l’indice des produits non alimentaires. Dans sa dernière note, le Haut-commissariat a observé des baisses des produits alimentaires durant la période juin-juillet au niveau principalement des «légumes» (4,6%), des «poissons et fruits de mer » (4,2%), des «fruits» (3,0%) et du «lait, fromage et œufs» (1,1%). Le HCP a noté, en revanche, une hausse de 0,4% des prix du «café, thé et cacao» et une baisse des prix au niveau des produits non alimentaires, principalement ceux des «carburants» qui ont reculé de 2,6%. Dans sa précédente note d’information, le Haut-commissariat au plan avait souligné des hausses des produits alimentaires entre mai et juin 2017 au niveau principalement des « poissons et fruits de mer» (7,8%), des «légumes» (2,4%), des «viandes» (1,0%) et des «huiles et graisses» (0,6%). Il avait, en revanche, observé une baisse de 3,5% des prix des «fruits» et de 0,6% du «café, thé et cacao». L’analyse des données rendues publiques récemment fait également ressortir des baisses importantes de l’IPC à Oujda (1,5%), à Marrakech, Laâyoune et Al-Hoceima (0,8%), à Casablanca (0,7%), à Fès (0,6%), à Kénitra et Dakhla (0,5%) ainsi qu’à Rabat (0,4%). Des baisses importantes de l’IPC ont été aussi enregistrées dans les villes de Tétouan, Meknès et Guelmim (0,3%), selon le HCP. Pour rappel, entre mai et juin derniers, des hausses importantes de l’IPC avaient été enregistrées à Casablanca (0,9%), Al-Hoceima (0,8%), Tanger et Laâyoune (0,6%) et à Oujda (0,5%). En revanche, des baisses avaient été relevées à Béni-Mellal (0,6%), à Rabat (0,3%) et à Agadir (0,1%). Le HCP a estimé que l’IPC a enregistré une baisse de 0,1% au cours du mois de juillet 2017, comparé au même mois de l’année précédente. Ce recul serait la « conséquence de la baisse de l’indice des produits alimentaires de 1,3% et de la hausse de celui des produits non alimentaires de 1,0%», a-t-il expliqué. En ce qui concerne les produits non alimentaires, le HCP a noté que les variations vont d’une baisse de 0,2% dans le «transport» et la «communication» à une hausse de 2,9% dans l’«enseignement» et les «restaurants et hôtels». Dans ces conditions, le Haut-commissariat a indiqué que l’indicateur d’inflation sous-jacente (qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics), aurait connu au cours du mois de juillet 2017 une stagnation par rapport au mois de juin 2017 et une hausse de 0,8% par rapport au mois de juillet 2016.
Maroc: Baisse de l’indice des prix à la consommation à fin décembre

Hausse de l’IPC annuel de 1,6% et de l’indicateur annuel d’inflation sous-jacente de 1,3% En décembre 2016, l’indice des prix à la consommation (IPC) s’est replié de 0,1% sur un mois et a été en hausse de 1,6% sur un an, a annoncé le Haut-commissariat au plan (HCP) dans une note d’information rendue publique récemment. L’indicateur annuel d’inflation sous-jacente a progressé de 1,3%, a-t-il indiqué. « L’IPC du mois de décembre 2016 a connu une baisse de 0,1% par rapport au mois précédent ; au terme de l’année 2016, l’IPC annuel moyen aura progressé de 1,6% et l’indicateur annuel d’inflation sous-jacente de 1,3% », a indiqué le HPC dans ce document relatif à l’indice des prix à la consommation (IPC) de l’année 2016. La baisse constatée de l’indice des prix à la consommation au cours du mois de décembre 2016 s’explique essentiellement par la baisse de 0,2% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires, a indiqué le HCP. Selon les données statistiques analysées par le Haut-commissariat, les baisses des produits alimentaires observées entre novembre et décembre 2016 ont concerné principalement les « fruits » avec 4,9%, les « légumes » avec 1,6% et le « café, thé et cacao » avec 0,1%. En revanche, les prix ont augmenté de 1,5% pour les « huiles et graisses », de 0,8% pour le « lait, fromage et œufs », de 0,7% pour les « poissons et fruits de mer » et de 0,3% pour les « viandes ». Dans ces conditions, a indiqué le HCP «l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu une hausse de 0,2% au cours du mois de décembre 2016 par rapport au mois précédent ». A en croire les analystes du HCP, la hausse de l’IPC annuel moyen au terme de l’année 2016 a concerné aussi bien les produits alimentaires que ceux non alimentaires. Leurs indices auraient ainsi progressé respectivement de 2,7% et de 0,7%. Ces derniers ont également observé que les variations enregistrées pour les produits non alimentaires sont allées d’une baisse de 0,2% pour la «communication» à une hausse de 2,5% pour les «restaurants et hôtels». C’est ainsi que « l’indicateur d’inflation sous-jacente aurait connu une hausse de 1,3% au cours de l’année 2016 par rapport à l’année 2015 », ont-ils expliqué. En ce qui concerne l’évolution des prix par ville, il ressort des données du HCP que la hausse la plus importante de l’IPC annuel a été enregistrée à Al-Hoceima avec 2,3%. D’autres hausses tout aussi importantes ont été relevées à Settat avec 2,1% et à Béni-Mellal avec 2,0%. Cette même tendance a également été observée à Agadir, Dakhla, Meknès et Rabat où la hausse de l’IPC oscillait autour de 1,9% ainsi qu’à Tanger avec 1,8%. En revanche, les hausses les moins importantes de l’IPC annuel ont été enregistrées au niveau des villes d’Oujda et Safi (1,0%), Laâyoune et Kénitra (1,2%) et Guelmim (1,3%). La ville de Casablanca figure également sur la liste des cités ayant connu une baisse remarquée de l’IPC avec 1,4%.
Maroc: recul des prix à la consommation en octobre

L’IPC tiré par la baisse des prix des produits alimentaires et la hausse des produits non alimentaires, selon le HCP En octobre, l’indice des prix à la consommation a baissé de 0,3%, a annoncé le Haut-commissariat au plan (HCP). Quand bien même les consommateurs ne l’auraient pas vraiment ressenti, les données statistiques analysées au cours du mois d’octobre par les experts du HCP font état d’une tendance à la baisse des prix à la consommation. Le recul de l’indice des produits alimentaires et la hausse de l’indice des produits non alimentaires ont, semble-t-il, contribué à cette baisse en tirant vers le bas l’IPC du mois d’octobre. « L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois d’octobre 2016, une baisse par rapport au mois précédent. Cette variation est le résultat de la baisse de 0,8% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires », explique le HCP soulignant que l’indicateur d’inflation sous-jacente a reculé de 0,3% sur un mois et progressé de 0,9% sur une année. Pour rappel, l’IPC du mois de septembre avait connu une hausse de 0,7%, suite à l’augmentation de 1,1% de l’indice des produits alimentaires et de 0,4% de l’indice des produits non alimentaires. Un mois plus tard, c’est donc de baisse qu’il s’agit maintenant. Et selon les statistiques du Haut-commissariat, les baisses des produits alimentaires observées entre septembre et octobre 2016 concernent principalement les « poissons et fruits de mer » et les « viandes » dont les prix ont chuté respectivement de 5,3% et 3,4%. A noter que des baisses ont été également enregistrées au niveau de bien d’autres produits très consommés comme le « café, thé et cacao » avec 1,1% et les « fruits » avec 0,8%. En revanche, il a été constaté une hausse de 2,3% des prix des «légumes» et de 0,2% du «lait, fromage et œufs ». En ce qui concerne la répartition par ville, il ressort que les baisses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées dans une dizaine de cités. En l’occurrence Al-Hoceima avec 1,7%, Safi et Béni Mellal (1,5%), Casablanca, Kénitra et Laâyoune (0,8%), Agadir (0,7%), Dakhla et Guelmim (0,4%) et Tanger (0,1%). Le Haut-commissariat a relevé, en revanche, des hausses dans cinq villes. A savoir Meknès et Settat avec 0,4%, Rabat et Oujda avec 0,3% et Tétouan avec 0,2%. Selon les analystes du HCP, les prix à la consommation ont stagné au niveau des villes de Fès et Marrakech. « Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 1,6% au cours du mois d’octobre 2016, conséquence de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 2,2% et de celui des produits non alimentaires de 1,2% », a fait observer l’institution que dirige Ahmed Lahlimi Alami. En ce qui concerne les produits non alimentaires, le HCP note que les variations vont d’une baisse de 0,3% dans la «communication» à une hausse de 2,8% dans l’«enseignement». Dans ces conditions, soutient le Haut-commissariat, « l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois d’octobre 2016 une baisse de 0,3% par rapport au mois de septembre 2016 et une hausse de 0,9% par rapport au mois d’octobre 2015 ».