Maroc: Les priorités de la rentrée économique au cœur du Conseil d’Administration de la CGEM

La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a tenu, vendredi 20 septembre, son Conseil d’Administration, présidé par M. Chakib ALJ, pour statuer sur les points inscrits à l’ordre du jour. Lors de ce Conseil, qui coïncide avec la rentrée économique, le Président de la CGEM a souligné l’importance de redoubler d’efforts en faveur de l’investissement et de la création d’emplois de qualité, qui sont de la responsabilité de tous. Il a également affirmé que la CGEM mettra la question de l’eau au centre de son action et jouera sa partition dans la formulation de solutions innovantes face au stress hydrique et dans le développement d’une économie de l’eau efficiente, ainsi que d’un savoir-faire national en la matière, répondant aux besoins de notre pays. M. Chakib ALJ a ensuite passé en revue les priorités de la Confédération pour cette rentrée économique, notamment la préparation de la Loi de Finances 2025, le dialogue social, et particulièrement le projet de loi organique sur le droit de grève, le renforcement de l’appui à la TPME et à l’écosystème des startups, la poursuite des actions liées à l’amélioration du climat des affaires et à la digitalisation, la montée en gamme de notre industrie nationale dont les leviers, en l’occurrence le capital humain, la transition énergétique et l’innovation et R&D seront traités lors de la Journée Nationale de l’Industrie, qui sera organisée conjointement par la CGEM et le Ministère de l’Industrie et du Commerce le 16 octobre 2024 à Benguérir. Par ailleurs, lors de ce CA, les administrateurs de la CGEM ont approuvé la nomination des Présidents de Conseils d’affaires ci-après : Monsieur Anas GUENNOUN, Président du Conseil d’Affaires Maroc- Émirats Arabes Unis ; Monsieur Anwar RADI, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Grèce ; Monsieur Driss BENOMAR, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Singapour ; Monsieur Hamid BENTAHAR, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Brésil ; Monsieur Karim MOUTTAKI, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Qatar ; Monsieur Mohammed Ali TAZI, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Égypte ; Monsieur Mohamed BAIDA, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Oman; Monsieur Mohammed Réda LAHMINI, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Koweït ; Monsieur Toufik KAMIL, Président du Conseil d’Affaires Maroc-Gabon.
La Banque africaine de développement nomme Chioma Onukogu au poste de directrice des affaires et procédures du Conseil d’administration

NOMINATION. La Banque africaine de développement a nommé Chioma Angela Onukogu au poste de directrice des affaires et procédures du Conseil d’administration, au sein du Bureau du secrétaire général et du Secrétariat général, avec prise d’effet au 16 avril 2024. De nationalité nigériane, Mme Onukogu compte plus de 25 années d’expertise dans les domaines de la gouvernance institutionnelle et de la coopération internationale au développement. Sa vaste expérience comprend le maintien de l’intégrité de la structure et de la gouvernance institutionnelles de la Banque, la mobilisation des ressources et les partenariats, la gestion des portefeuilles d’opérations pays et l’organisation d’événements de haut niveau. Avant sa nomination, Mme Onukogu cumulait les fonctions de coordinatrice en chef du programme du Conseil d’administration relatif au contrôle de la qualité et de directrice par intérim des affaires et procédures du Conseil d’administration, apportant un précieux soutien au secrétaire général dans la mise en place d’un secrétariat général particulièrement efficace. Mme Onukogu a travaillé auparavant comme chargée principale de la mobilisation des ressources et des partenariats, préparant des documents clés pour la revue à mi-parcours du FAD-13 et la reconstitution des ressources du FAD-14, mobilisant les ressources des fonds fiduciaires et gérant des partenariats. Elle a également été chargée de programme pays pour le Botswana, le Lesotho, la Namibie, le Swaziland et le Zimbabwe, coordonnant la préparation des documents de stratégie pays et assurant le suivi du portefeuille de la Banque dans ces pays. Elle est titulaire d’un master en droit des sociétés et droit commercial de l’University of London, d’un master en droit international et diplomatie de l’University of Lagos, d’un diplôme de droit de l’University of Law, à Londres et d’une licence en anglais de l’University of Lagos. S’exprimant au sujet de sa nomination, Mme Onukogu a déclaré : « Je remercie le président Akinwumi Adesina pour son leadership et je lui suis reconnaissante de la confiance qu’il m’accorde en me nommant à ce poste. Je me réjouis de travailler sous la direction du secrétaire général pour faciliter les processus de prise de décision des organes de gouvernance de la Banque et forger de meilleures relations de travail avec les actionnaires dans le cadre des efforts conjoints qu’ils déploient pour mettre en œuvre des opérations de haute qualité afin de soutenir la vision d’une Afrique prospère, inclusive, résiliente et intégrée ». Le président de la Banque africaine de développement, M. Akinwumi A. Adesina, a déclaré : « Mme Onukogu a fait ses preuves à la Banque ; elle possède une expérience professionnelle solide et variée, car elle a travaillé dans plusieurs départements clés de la Banque. Sa solide expérience dans le maintien de l’intégrité des structures et de la gouvernance institutionnelles de la Banque, ainsi que son excellente mémoire institutionnelle lui seront très utiles dans l’exercice de ses fonctions ».
Le Ministre congolais de l’économie et des finances, Jean-Bapiste Ondaye, préside le Conseil d’administration du 4ème trimestre 2023 de la BEAC

Lundi 18 décembre 2023, à l’Agence de la (BEAC) de Douala (Cameroun), s’est tenu le dernier Conseil d’Administration ordinaire de cette Institution financière de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), au titre de l’année 2023. Cette session a marqué, également, la fin du Mandat de la République du Congo à la présidence tournante du Conseil d’administration de cette Banque centrale commune aux six États, que sont le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, la Guinée Équatoriale et le Tchad. Dans son discours d’ouverture des travaux, le Ministre congolais de l’Économie et des Finances, a, d’abord, exprimé sa gratitude renouvelée à Son Excellence Monsieur Paul BIYA, Président de la République du Cameroun, et au peuple camerounais, pour le soutien et l’accueil chaleureux dont il a bénéficié tout au long de son mandat. Ensuite, il a dit toute sa reconnaissance au Président congolais, son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République du Congo, qui, a-t-il souligné , « En désignant, en 2022, ma modeste personne au poste de Ministre de l’Économie et des finances, m’ a offert l’opportunité de me hisser au rang de Président en exercice, pour un Mandat d’un an, à la fois du Comité Ministériel de l’Union Monétaire de l’Afrique Centrale (UMAC) ; de Président du Comité de Pilotage (COPIL) du Programme des Réformes Économiques et Financières (PREF-CEMAC) ; de Président du Groupe d’Action Contre le Blanchiment d’Argent en Afrique Centrale (GABAC) et de Président du Conseil D’Administration (PCA) de la BEAC ». Après douze mois de mandat (année 2023), à la tête des institutions de l’UMAC, le Ministre congolais de l’Économie et des Finances, Monsieur Jean-Baptiste ONDAYE, en a dressé le bilan. Au plan international, a-t-il dit : « nous avons, au cours de notre mandat , œuvré à faire entendre la voix de notre Sous-région et celle de l’Afrique, à l’occasion des différents forums internationaux auxquels nous avons participé, notamment, les Assemblées annuelles du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale (BM) ;Les Réunions de la Banque Africaine de Développement(BAD) ; les Réunions du Caucus Africain ; les réunions d’AFREXIMBANK ; les réunions CEMAC-France ; et les Réunions tripartites avec le FMI ». Ajoutant qu’« au cours de ces réunions, nous avons joint notre voix à celles des autres Ministres Africains, pour défendre les thématiques liées à la Réforme des institutions de Bretton Woods (FMI-Banque Mondiale) et des banques multilatérales, pour un système financier international plus inclusif et plus équitable ; ainsi que les thématiques liées aux défis de la montée des inégalités et de la pauvreté ; aux changements climatiques ; et à la protection de la biodiversité ». S’agissant des actions au titre du COPIL du PREF-CEMAC, Monsieur Jean-Baptiste ONDAYE a indiqué : « Nous avons conduit des missions de haut niveau ayant débouché sur la Table Ronde des bailleurs de fonds de Paris, organisée mardi 28 et mercredi 29 novembre 2023, pour la mobilisation des financements de la deuxième génération des projets intégrateurs de la CEMAC. A l’issue de cette Table Ronde, le montant total des financements mobilisés s’élève, provisoirement, à 9.210 millions d’Euros, soit 104,2% du financement recherché ». Concluant son bilan sur sa présidence à l’UMAC, l’orateur a rappelé : « Nous avons eu à cœur de faire progresser plusieurs dossiers d’intérêt commun. Au nombre desquels , l’évolution de la coopération monétaire avec la France ; les négociations avec le secteur des industries extractives ; la réflexion sur l’adoption d’une monnaie numérique de la Banque Centrale et l’élaboration d’un Cadre normatif Communautaire encadrant les cryptoactifs dans la CEMAC ; le processus de recrutement des agents d’encadrement supérieur de la BEAC, qui a donné lieu à un point supplémentaire au cours de la présente session du Conseil d’Administration ; et l’examen des textes qui sous-tendent la gouvernance de la BEAC ».
Maroc. Conseil d’Administration de la CGEM

La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a tenu, jeudi 21, sa réunion du Conseil d’Administration pour statuer sur les points inscrits à l’ordre du jour à savoir : loi de Finances 2024 , validation de son budget 2024, proposition de nomination au Conseil d’Administration, proposition de nomination de nouveaux mandataires et proposition de nomination de nouveaux Présidents de Conseils d’affaires . Lors de son intervention à l’ouverture de ce Conseil d’Administration, le Président de la CGEM est revenu sur les priorités qui ont prévalu lors de la formulation des propositions et demandes d’amendements de la CGEM pour la Loi de Finances 2024, ainsi que les étapes de contribution de la Confédération à l’élaboration de cette dernière, depuis février 2023. M. Chakib ALJ a également saisi l’occasion pour rappeler qu’en tant que représentant des entreprises marocaines, de canal de transmission des attentes et des préoccupations du tissu économique, mais également d’acteur du débat public, la CGEM a organisé, le 15 décembre dernier, une conférence de presse lors de laquelle elle a partagé son appréciation de la Loi de Finances 2024 et un bilan des sujets économiques sur lesquels un effort soutenu continuera à être déployés, par toutes les parties, pour concrétiser les ambitions communes de développement socio-économique de notre pays. Dans le cadre d’un débat démocratique, la CGEM émet des recommandations qui vont dans le sens de la construction d’un tissu économique fort susceptible de contribuer activement au momentum positif que traverse notre pays grâce au Leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, à travers la promotion de l’investissement privé dans les secteurs à forte valeur ajoutée et créateurs d’emplois. Ces recommandations n’ont en aucun cas vocation à discréditer le travail indéniable entrepris par le Gouvernement en faveur des entreprises marocaines et du secteur privé. Dans ce sens, la CGEM reconnait et salue les efforts engagés, depuis la prise de fonction du Gouvernement, pour redynamiser le secteur privé dans une conjoncture difficile, et pour continuer à le soutenir à travers des mesures concrètes, rapides et efficaces afin de stimuler le rôle de l’entreprise dans la dynamique socio-économique positive que connaît notre pays. Le Président de la CGEM a enfin réitéré l’attachement de la Confédération au partenariat et au dialogue public-privé comme leviers d’atteinte des objectifs pour le bien et le progrès de notre pays. Notre Confédération sera toujours, pour l’Exécutif, un partenaire franc, sincère, fiable et constructif. Par ailleurs, le Conseil d’administration a approuvé le Budget de la Confédération au titre de l’année 2024. Il a également procédé à la nomination de nouveaux mandataires représentants de la CGEM auprès de différentes institutions publiques, semi-publiques ou privées, et ce en cohérence avec les périmètres des nouvelles commissions permanentes instituées en début de mandat. Le Conseil d’Administration a aussi procédé à la nomination de nouveaux membres du Conseil d’Administration : M. Aymane TAUD (Président de la Commission Economie verte et Décarbonation) et Mme Samira El KHAMLICHI (Présidente du Club des Femmes Administrateurs). Enfin, il a approuvé la nomination de Présidents de Conseils d’affaires de Mme Mia LAHLOU FILALI, en tant que Présidente du Conseil d’Affaires Maroc-Autriche ; M. Driss BOUTTI, en tant que Président du Conseil d’Affaires Maroc-Pays Bas et M. Badr IKKEN, en tant que Président du Conseil d’Affaires Maroc-Allemagne.
Maroc. Abderrahim El Hafidi préside à Riyad le Conseil d’Administration et l’Assemblée Générale de l’Union arabe de l’électricité

Le Directeur Général de l’ONEE et Président de l’Union Arabe de l’Electricité (UAE)M. Abderrahim El Hafidi a présidé, les21et 22 décembre à Riyad en Arabie Saoudite, la 59ème session du Conseil d’Administration et la 19ème Assemblée Générale de l’Union avec la participation des membres de l’UAE, acteurs stratégiques des secteurs électriques des pays arabes. Lors de ces réunions, les membres ont passé en revue toutes les décisions prises lors de la précédente session, en vue de la poursuite de l’opérationnalisation du plan stratégique de l’Union visant la modernisation des structures de l’Union notamment à travers l’adoption d’un système de gouvernance efficace et la réorientation de ses missions et ses objectifs. M. El Hafidi, Président de l’UAE, a salué les efforts considérables déployés dans ce sens et a appelé à la poursuite des efforts communs afin d’assurer le développement continu et le succès de cette organisation. Les discussions ont également porté sur le renforcement des ressources humaines et financières de l’UAE, la mise en place d’un nouveau système de membership ainsi que la préparation du nouveau siège de l’UAE afin de promouvoir l’efficacité opérationnelle de l’Union. Depuis son élection à la tête de l’Union Arabe de l’Electricité en 2018, M. El Hafidi œuvre pourfaire de l’UAE une organisation prospère ayant une vision claire visant l’amélioration des coûts et de la qualité des services de l’électricité proposés aux utilisateurs arabes finaux, l’optimisation de la sécurité énergétique et l’accélération de la transition énergétique. Pour rappel, l’Union Arabe de l’Electricité qui commémore cette année sa 36ème année d’existence et compte 19 pays arabes membres, joue un rôle crucial dans le renforcement de la coopération régionale, la facilitation des échanges des expertises et des ressources et la promotion des politiques énergétiques durables pour relever les défis du secteur énergétique, et contribuer au développement social et économique dans le monde arabe.
Réunion virtuelle des Gouverneurs africains du Fonds monétaire international (FMI)

Mardi 21 novembre 2023, les Gouverneurs africains du Fonds monétaire international (FMI) ont tenu leur réunion par visioconférence. Les discussions ont porté sur la question de la 3èmeChaise pour l’Afrique sub-saharienne (ASS) au Conseil d’administration de cette institution financière internationale. La première raison de la création d’une 3ème Chaise s’explique par le fait que les 45 pays de l’Afrique subsaharienne ne sont actuellement représentés que par deux Administrateurs ayant chacun à charge un groupe de plus de 22 pays. Le premier groupe est constitué des Etats de l’Union monétaire ouest- africaine (UMOA) et de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Le deuxième groupe comprend les pays de la Communauté économique de l’Afrique australe (SADEC). C’est donc dans le but d’alléger le travail de ces deux Administrateurs que les pays de l’Afrique subsaharienne ont, après une longue période de tractation, obtenu la création de la 3ème Chaise, c’est-à-dire un 3ème Administrateur. Ainsi, sur les 45 pays membres, chaque Administrateur aura à charge un groupe de 14 à 16 pays. La seconde raison évoquée par les Gouverneurs est la nécessité d’obtenir un pouvoir de vote significatif au Conseil d’Administration du FMI. A cette réunion, le Gouverneur Jean-Baptiste Ondaye, ministre de l’économie et des finances de la République du Congo, a souligné l’importance de la nouvelle configuration des Administrateurs (14 à 16 pays). “Ainsi, pour nous assurer des trois chaises stables et pérennes, il est indispensable de remplir, au préalable, les trois conditions suivantes : Premièrement, nous assurer d’un consensus entre nous sur le principe de rotation ; Deuxièmement, avoir des assurances fermes auprès du FMI que les nouvelles Chaises africaines auront les ressources budgétaires et humaines adéquates pour remplir efficacement leurs tâches ; Et troisièmement, nous assurer que nos Hautes Autorités respectives sont d’accord avec les configurations choisies.”, a-t-il souligné. A noter que le délai de transmission des conclusions définitives de cette réunion des Gouverneurs africains au Conseil d’administration du FMI est fixé avant la fin de l’année 2023.
Cameroun. Conseil d’Administration de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC)

Une session ordinaire du Conseil d’Administration de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) s’est tenue, jeudi 28 septembre 2023 à Douala (Cameroun), sous la présidence de Jean-Baptiste Ondaye, Ministre congolais de l’Economie et des Finances. Les participants ont examiné plusieurs points inscrits à l’ordre du jour, parmi lesquels 9 dossiers, à savoir :
Le Fonds END nomme Tsitsi Masiyiwa à la présidence de son conseil d’administration

Le Fonds END, un fonds philanthropique collaboratif de premier plan dédié à l’élimination des maladies tropicales négligées (MTN), a annoncé la nomination de Tsitsi Masiyiwa au poste de présidente du conseil d’administration. Elle succède à William (Bill) Campbell, nommé en 2012 premier président du conseil d’administration par les fondateurs de l’organisation, Legatum. Sous sa direction, le Fonds END a mobilisé les ressources de plus de 6 400 donateurs pour fournir plus de 1,5 milliard de traitements dans le cadre de programmes de lutte contre les MTN menés localement dans 31 pays et ciblant les vers intestinaux, la schistosomiase, la filariose lymphatique, la cécité des rivières, le trachome et la leishmaniose viscérale. S’exprimant au nom du Fonds END, M. Campbell a déclaré : « Tsitsi Masiyiwa est une philanthrope et une entrepreneuse sociale très respectée, connue pour son plaidoyer efficace et son leadership exemplaire, notamment dans le cadre de son rôle de présidente et cofondatrice de la fondation Higherlife. La croissance et l’impact du Fonds END ont été l’une des plus grandes réussites de ma vie et il n’y a personne de mieux placé que Tsitsi pour lui confier cette tâche. Sa vision, son expérience et ses réseaux accéléreront et cibleront les ambitions du Fonds END, et nous permettront de renforcer notre impact par de nouveaux moyens. Je suis convaincu que le rôle de premier plan joué par Tsitsi dans le débat sur les MTN permettra aux principaux décideurs, des chefs de famille aux chefs d’État, d’accorder plus d’importance à cette question et d’y mettre un terme de notre vivant ». Tsitsi Masiyiwa fait partie intégrante du parcours du Fonds END depuis sa création en 2012. Au cours des six dernières années, elle a été membre du conseil d’administration du Fonds END, avant d’accéder au poste de vice-présidente en 2022. Les MTN touchent plus de 1,7 milliard de personnes dans le monde, et plus de 40 % du nombre total des MTN est concentré en Afrique. En tant que présidente du conseil d’administration, elle insistera sur l’importance pour les dirigeants africains de s’approprier et de diriger le programme de lutte contre les MTN qui, selon l’Organisation mondiale de la santé, coûtent chaque année des milliards de dollars aux économies africaines en termes de perte de revenus. « C’est un honneur d’être nommée présidente du Fonds END », a déclaré Tsitsi Masiyiwa. « Ayant été témoin de l’impact incroyable de l’organisation, je suis enthousiaste à l’idée de diriger nos efforts vers une durabilité encore plus grande en donnant aux communautés touchées les moyens de prendre l’initiative dans l’élimination des MTN. Nous sommes tous responsables de l’éradication des MTN. J’ai hâte de travailler avec les gouvernements pour appuyer leurs efforts et encourager une plus grande appropriation afin que nous puissions mettre fin au fléau des MTN pour de bon ». Ellen Agler, directrice générale du Fonds END, a fait part de son point de vue sur l’importance de la nomination de Mme Masiyiwa : « En tant que sympathisante et amie de longue date du Fonds END, Tsitsi a été une championne et une activiste inspirante, veillant à ce que les gouvernements africains, les philanthropes et les dirigeants du secteur privé soient aux commandes de l’agenda d’élimination des maladies. Elle sait comment relier efficacement son travail avec les communautés à des conversations sur la scène mondiale afin d’accélérer les progrès pour mettre fin aux souffrances causées par ces maladies anciennes. Je ne saurais être plus enthousiaste à l’idée de servir avec elle dans son nouveau rôle de présidente du conseil d’administration du Fonds END.” Au cours des deux dernières décennies, Tsitsi Masiyiwa est devenue une philanthrope de premier plan et une avocate de l’égalité des sexes. En 1996, elle a cofondé la fondation Higherlife avec son mari Strive. La fondation Higherlife favorise l’épanouissement des individus, des communautés et des moyens de subsistance durables en investissant dans quatre domaines : la santé, l’éducation, l’agriculture intelligente face au climat, ainsi que la préparation aux catastrophes et la reconstruction. Outre son rôle de présidente du Fonds END, Tsitsi Masiyiwa est présidente de la Higherlife Foundation, de Delta Philanthropies et de Co-Impact.