Lancement du Forum U.S. Africa Energy 2021 : Promouvoir le rôle des États-Unis en tant que principal investisseur dans l’énergie Africaine
Le forum U.S. Africa Energy 2021 – organisé par Africa Oil & Power, en partenariat avec le comité U.S.- Africa de la Chambre Africaine de l’Energie – favorisera l’alignement entre les politiques énergétiques des gouvernements Américains et Africains et mettra en avant les projets Africains dans le domaine du pétrole, du gaz, de l’électricité et des énergies renouvelables à travers la chaîne de valeur énergétique pour les investisseurs Américains. Ce forum de plusieurs jours réunit des décideurs politiques, des dirigeants du secteur de l’énergie et des chefs d’entreprise Américains et Africains afin de créer de nouveaux liens et d’encourager les discussions qui favorisent l’élaboration de politiques à long terme et l’exécution de projets ; le sommet de deux jours ainsi que le dîner de gala se tiendront en présentiel à Houston, au Texas (les 4 et 5 octobre 2021) et un séminaire en ligne ainsi qu’un événement de réseautage en face à face se tiendront à Washington D.C. (le 12 juillet). Cet événement a pour but de créer une coopération plus approfondie entre les États-Unis et l’Afrique en matière de politique énergétique, de parvenir à un alignement sur les objectifs de durabilité à long terme, de stimuler un plus grand investissement Américain dans les secteurs du pétrole, du gaz et de l’électricité en Afrique, et d’engager et de repositionner les États-Unis comme le principal partenaire de choix pour les développements énergétiques Africains. Sous le thème « Nouveaux horizons pour les investissements Américains dans le secteur de l’énergie en Afrique », le forum explorera diverses opportunités d’investissement étranger et d’exportation sur le continent, notamment le gaz naturel en tant que combustible vital pour la transition énergétique, le stockage de l’énergie et les minéraux pour batteries, la place de l’Afrique dans les chaînes d’approvisionnement énergétique mondiales, les avantages de la zone de libre-échange continentale Africaine, l’évolution des technologies énergétiques et leur lien avec le rôle futur des ressources pétrolières, ainsi que les développements énergétiques en réseau et hors réseau. Un séminaire en ligne et un événement de réseautage en face à face se tiendront à Washington D.C. le 12 juillet 2021, avant le sommet et le dîner de gala de l’USAEF qui se tiendront à Houston, au Texas, les 4 et 5 octobre 2021. Africa Oil & Power et la Chambre Africaine de l’énergie invitent toutes les entreprises basées aux États-Unis qui souhaitent s’engager auprès des leaders de l’industrie et des développeurs de projets Africains à participer au sommet de l’USAEF à Houston. Cette initiative intervient à un moment important des relations entre les États-Unis et l’Afrique. L’annonce par l’administration Biden de son intention de construire de manière proactive un partenariat plus fort entre les États-Unis et l’Afrique coïncide avec le fait que les projets Africains suscitent un intérêt croissant de la part des entreprises et des institutions de prêt Américaines. L’événement de l’USAEF a donc pour but de permettre un dialogue entre ses participants qui fasse avancer ces développements. “Notre mission a toujours été de mettre en valeur le potentiel de ressources que l’Afrique a à offrir tout en montrant sa préférence croissante pour les politiques et technologies énergétiques durables. À cette fin, nous espérons qu’il devient évident que l’Afrique ne veut pas seulement des capitaux d’investissement : elle veut des capitaux intelligents et un partenariat avec les investisseurs », déclare James Chester, directeur principal d’Africa Oil & Power. « Le U.S. Africa Energy Forum représente la première occasion de catalyser la participation des États-Unis à la transformation énergétique de l’Afrique – via la technologie, le soutien politique, l’injection de capitaux et le développement des compétences – et tourne une nouvelle page dans le chapitre des investissements énergétiques mondiaux. » En partenariat avec le comité U.S.-Africa de la Chambre Africaine de l’énergie, l’AOP présentera aux entreprises Américaines les opportunités Africaines et fera progresser un programme d’investissement durable et à long terme dans le secteur de l’énergie et d’autres secteurs en Afrique par des organisations Américaines. “Le soutien croissant des États-Unis au continent est tout à l’honneur de l’Afrique elle-même, qui est de plus en plus considérée comme une destination privilégiée par les investisseurs mondiaux, les organismes multilatéraux et les agences de crédit à l’exportation « , déclare Jude Kearney, président de Kearney Africa et ancien secrétaire adjoint pour les industries de services et les finances au ministère Américain du commerce pendant l’administration Clinton. “L’Afrique continue d’occuper une part importante des IDE mondiaux dans les secteurs du pétrole et du gaz. Depuis des décennies, elle montre que les investissements dans ces secteurs sont favorables par rapport à d’autres juridictions et peuvent être fructueux à bien des égards. Alors même que l’Afrique et le reste du monde luttent contre une pandémie mondiale, le secteur énergétique Africain fait preuve de vitalité et de résilience – non seulement dans le domaine des hydrocarbures mais aussi au regard des nouvelles opportunités dans l’exploitation minière, du gaz naturel liquéfié et de l’agriculture.” Les gouvernements Africains et les sponsors du secteur privé des projets énergétiques Africains apprécient grandement la combinaison d’investissement et de partenariat que les investisseurs Américains véhiculent de manière notoire. L’USAEF cherche à favoriser des partenariats fructueux entre ses participants de sorte que les objectifs de développement énergétique des investisseurs et partenaires stratégiques Américains et de leurs homologues Africains puissent être atteints.
Africa Oil & Power et ses partenaires sud-africains condamnent les attaques contre des ressortissants étrangers
Africa Oil & Power (AOP) est indigné par les attaques violentes perpétrées contre des ressortissants étrangers vivant en Afrique du Sud. Alors que le gouvernement adopte des mesures pour assurer la sécurité de tous, l’AOP appelle à la fin de la violence. En date du 9 septembre, la police sud-africaine avait procédé à 639 arrestations liées aux attaques xénophobes en Afrique du Sud. Le président sud-africain Cyril Ramaphosa déclare que rien ne justifie ces attaques et appelle les ministres et les services de police à trouver des solutions pour lutter contre la violence. Africa Oil & Power (AOP) et ses partenaires condamnent fermement les attaques violentes perpétrées contre des ressortissants étrangers vivant en Afrique du Sud, qui ont entraîné le pillage d’entreprises et fait au moins 12 victimes. En s’attaquant à ce problème avec détermination, le gouvernement sud-africain a mis en œuvre des plans d’action en matière de sûreté et de sécurité dans tout le pays et vise à mettre un terme aux attaques xénophobes. L’activité d’Africa Oil & Power est ancrée dans la promotion de la coopération et de l’unité africaine. Par le biais de nos conférences sur tout le continent et ailleurs, nous avons cherché à raconter l’histoire de l’énergie et de l’investissement en Afrique d’une manière qui soit bénéfique pour les populations africaines avant tout. Cependant, un objectif final positif ne peut être atteint que si nous nous soutenons les uns les autres et travaillons ensemble. « L’AOP se tient fermement opposée à la violence contre les ressortissants étrangers qui a éclaté en Afrique du Sud ces dernières semaines. Nous sommes heureux que le gouvernement ait pris des mesures positives contre les attaques xénophobes qui ont déjà donné des résultats positifs », a déclaré Guillaume Doane, PDG d’Africa Oil & Power. “C’est le moment pour l’Afrique du Sud de revenir sur sa percée démocratique de 1994, au cours de laquelle l’appui d’autres pays africains a été essentiel à la réalisation de sa liberté. Le pays est là où il est aujourd’hui, en grande partie grâce à la générosité et à la gentillesse des pays voisins », a-t-il dit. Soulevant l’inquiétude et dénonçant la montée de la violence, le PDG de Centurion Law Group et président exécutif de la Chambre africaine de l’énergie NJ Ayuk a déclaré : « La plupart des gens, en particulier la plupart des Africains, sont familiers avec cette situation. La question est donc de savoir ce qu’il faut faire pour mettre fin à la violence disproportionnée et à la stagnation économique. Les entreprises partent et les investisseurs n’investissent plus. Le jeu du blâme ne marchera pas. Nous devons l’admettre, trouver des solutions et y remédier. Ce n’est pas pour cette Afrique que nous travaillons. » Mettant en garde contre le cercle vicieux qui ne manquera pas de se produire si la violence n’est pas traitée par des mesures immédiates, il a ajouté : « Beaucoup ont renoncé à une solution et les partisans de la ligne dure des deux côtés sont en train de gagner. Cela va alimenter un cercle vicieux, des taux élevés de crimes violents, davantage de pauvreté et de meurtres. Les mots doivent se transformer en actes qui répondent aux besoins. Nous le devons à beaucoup de gens bien qui sont piégés. » Le 5 septembre, le porte-parole de la police sud-africaine, Lungelo Dlamini, a déclaré qu’il y avait eu une « baisse spectaculaire des violences publiques et des pillages » à Gauteng – où les attaques violentes avaient initialement commencé – après que 289 personnes ont été arrêtées. De nombreux Sud-Africains et dirigeants mondiaux ont appelé le pays à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à la violence. En réponse, le président Cyril Ramaphosa, dans une déclaration officielle appuyée par le ministre des ressources minérales et de l’énergie Gwede Mantashe sur Twitter a déclaré : « Les gens de notre pays veulent vivre en harmonie. Quelles que soient nos préoccupations ou nos griefs, nous devons les traiter de façon démocratique. Rien ne peut justifier qu’un Sud-Africain attaque des personnes d’autres pays. » « Je condamne avec la plus grande fermeté la violence qui s’est répandue dans plusieurs de nos provinces. Je réunis les ministres de la sécurité aujourd’hui pour veiller à ce que nous gardions un œil attentif sur ces actes de violence gratuite et pour trouver les moyens de les arrêter. » La Chambre de commerce et d’industrie sud-africaine (SACCI) s’est également engagée à soutenir le gouvernement et a encouragé les Sud-Africains à se tourner vers l’avenir et à voir comment ces événements affecteront le progrès du pays. « Nous, en tant que chambre, condamnons la violence. Nous tenons à mettre en garde contre ces attaques qui ne visent qu’à détruire des entreprises », a déclaré Mtho Xulu, président de la SACCI, lors d’une réunion des représentants d’entreprises avec le ministre de la police lundi dernier. La South African Oil & Gas Alliance (SAOGA) s’est également prononcée contre la violence dans une déclaration à l’AOP, rappelant aux Sud-Africains qu’il est dans l’intérêt de tous de vivre en harmonie avec nos voisins. « A bien des égards, l’Afrique du Sud est le pays vers lequel la plupart des nations africaines se tournent pour trouver l’inspiration sur la manière de conduire le changement social et économique. Il est décevant que la violence change cette perception à un moment critique où l’Afrique devient un acteur clé sur la scène mondiale », a déclaré Adrian Strydom, directeur de la SAOGA. « J’encourage tous les Sud-Africains à s’élever contre cette horrible situation, non seulement parce que le reste du monde nous regarde, mais parce que c’est mal et va à l’encontre des idéaux du pays et de l’esprit Ubuntu. » APO
Le Gabon s’apprête à augmenter sa production pétrolière, le Ministre du Pétrole confirme sa participation à l’Africa Oil & Power
Vaalco Energy, la société spécialisée dans la prospection d’hydrocarbures au Gabon, commencera sa campagne de forage 2019/2020 le mois prochain ; la société a rétabli son niveau de production pré-maintenance à sa licence d’Etame Marin ; a la tête d’une grande délégation ministérielle, le Ministre du Pétrole, du Gaz et des Hydrocarbures, S.E. Noel Mboumba, assistera à l’expo-conférence Africa Oil & Power ; l’édition 2019 de l’événement Africa Oil & Power se déroulera au CTICC 1, au Cap, Afrique du Sud, du 9 au 11 octobre 2019. À l’heure où le Gabon travaille pour augmenter sa production de pétrole brut de 50 pour cent à l’horizon 2020/2021, la société américaine de prospection d’hydrocarbures, Vaalco Energy, a annoncé qu’elle débutera sa campagne de forage offshore au mois de septembre. Le Ministre du Pétrole, du Gaz et des Hydrocarbures a également annoncé sa participation à la conférence Africa Oil & Power (9 au 11 octobre, au Cap) pour promouvoir les opportunités d’exploration et de production. Le début de la campagne de forage fait suite à un arrêt complet pour maintenance de quatre plateformes de Vaalco dans la licence d’Etame Marin, qui sont depuis revenues à leurs niveaux de production pré-maintenance, et au prolongement du contrat de location de Vaalco pour l’unité flottante de production, de stockage et de déchargement (FPSO), Petroleo Nautipa, jusqu’en septembre 2021. Le FPSO a une capacité de 25 000 barils par jour, en provenance des champs Etame, Ebouri, Avouma, Tchibala Sud, Tchibala Nord et Etame Sud-Est. La campagne de forage de cinq puits débutera avec le puits d’appréciation Etame 9P, puis continuera avec le puits de développement 9H de la plateforme Etame. « Notre plan actuel est de forer jusqu’à trois puits de développement et deux puits d’appréciation, avec un financement d’encaisse et de liquidités générées par les opérations », déclare Cary Bounds, PDG. Vaalco estime un budget de forage net entre 20 et 25 millions de dollars pour cette année, et entre 5 et 10 millions de dollars en 2020. En outre, la société spécialisée dans la prospection au Gabon déclare estimer que les deux puits d’appréciation pourraient confirmer jusqu’à « cinq millions de barils nets de réserves pétrolières 2P, réparties entre six emplacements de puits ciblés par de futures campagnes de forage. » Dans le cadre de son plan, la société projette également de livrer la plateforme de forage autoélévatrice Vantage International Topaz courant septembre. 2019 a été une année d’intense activité : le 12e cycle d’attribution de licences en eaux profondes et peu profondes du Gabon est toujours en cours ; avec le récent soutien du Fonds monétaire international, le pays a promulgué son code révisé des hydrocarbures, de nature fiscale plus attractive que le précédent ; et Petronas a annoncé la signature d’un permis pour deux explorations supplémentaires – les deux blocs offshore (F12 et F13) auraient une capacité de production de 200 000 bpj. Avec des réserves pétrolières avérées de 2,5 milliards de barils, le Gabon fait partie des producteurs d’hydrocarbures les mieux établis du Golfe de Guinée. Rassemblés cette année pour aborder le thème #MakeEnergyWork, le Ministre gabonais du Pétrole, du Gaz et des Hydrocarbures, S.E Noel Mboumba, ainsi qu’une importante délégation ministérielle, se joindront à un imposant panel de décideurs du secteur pétrolier africain à l’occasion de la conférence Africa Oil & Power (AOP). Cette année, le programme AOP aura l’honneur de compter sur la participation de S.E. Macky Sall, Président de la République du Sénégal ; S.E. Adama Barrow, Président de la Gambie ; S.E. Gwede Mantashe, Ministre des Ressources minérales et de l’Énergie, Afrique du Sud ; S.E. Diamantino Azevedo, Ministre de l’Exploitation minière et du Pétrole, Angola ; S.E. Gabriel M. Obiang Lima, Ministre des Mines et des Hydrocarbures de la Guinée équatoriale ; S.E. Mouhamadou Makhtar Cisse, Ministre du Pétrole et de l’Énergie, Sénégal ; S.E. Mahaman Laouan Gaya, Secrétaire général, APPO ; S.E. Awow Daniel Chuang, Ministre du Pétrole du Sud-Soudan ; et S.E. Abdoulaye Magassouba, Ministre des Mines et de la Géologie de la République de Guinée. APO