SANTE. L’année 2020 malmenée par le covid 19 interpelle le monde

REFLEXION. Cette année que nous avons entamée il y a quelques mois se poursuit dans une lassitude morale permanente qui fait qu’on ne s’intéresse plus à aucun plaisir. Aussi est-il difficile de définir la montée de ce taux de prévalence qui constitue l’égalité de ses chiffres 20 sur 20 et qui marque pour la première fois l’histoire du monde avec la pandémie du covid-19 qui la malmène.

Une pandémie qui « arrache » tout sur son passage.

Ayant commencé en Asie (Chine), elle prend l’ampleur en Europe, en Amérique et fait aujourd’hui des nombreux victimes en Afrique. Aucun Etat ne s’y attendait à une gravitée massive de cette pandémie du covid-19 qui, occasionne de nos jours une crise économique mondiale. L’année 20 sur 20, jusque là « sans graves problèmes », a été surprise par  ce drame avec sa nature nuisible : de nombreux chefs d’Etats ont favorisé la reprise de certaines activités pouvant constituer un deuxièmes danger pour les populations. Or, la tragédie actuelle provoquée par ce covid 19 nous laisse devant un dilemme : Soit la santé, soit l’économie. La métonymie de celle-ci est de préserver la santé, le futur dépend du présent.

Le chômage, fléau causé par la pandémie.

Des chiffres très élevés de licenciement des employés par leurs employeurs dans le monde sont constatés. Les gouvernements s’attachent plus à la dite maladie en oubliant d’autres valeurs. L’économie marquée négativement par cette pandémie fera que le taux de chômage augmente, aussi le monde pourrait-il assistera à un nouveau virus. Il est donc question que les chefs d’Etats prennent en mains cette bataille en prenant des mesures adéquates face à ce fléau causé par la pandémie du covid-19.

L’éducation à terre.

De son côte, le système éducatif n’est pas épargnée par cette crise sanitaire due à la pandémie du covid-19 qui oblige les autorités de modifier les calendriers des différents examens d’Etats comme on l’a constaté dans de nombreux pays d’Afrique. Une inquiétude notoire pour les élèves évoluant dans les classes intermédiaire, une question préoccupante pour le secteur éducatif sur l’échelle mondiale : Quel niveau auront ces élèves n’ayant pas terminé les programmes à la nouvelle rentrée des classes ?

L’incertitude dans le secteur informel.

En dépit du déconfinement dans certains pays du monde, plusieurs métiers restent encore incertains durant cette crise sanitaire. Notons que ces hommes et femmes qui évoluent dans le secteur informel passent un moment très critique, ils souhaiteraient avoir l’aide des gouvernements. Par ailleurs, cette nouvelle situation sanitaire a crée un fléau psychologique à des personnes dont les activités sont encore incertaines à reprendre. Les gouvernements devraient apporter un regard à leurs égards pour des solutions efficaces afin qu’elles puissent faire face à cette crise sanitaire.

Le régime à adopter pour lutter face à cette crise sanitaire.

La réponse apportée aux problèmes qui doivent constituer l’existence des humains durant la crise sanitaire est de vivre avec la pandémie comme toute autre maladie en attendant un remède. Seule prévention pour le moment : respecter scrupuleusement les gestes barrières édictés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), pour casser la chaine de propagation du virus. Malgré les instructions et le déconfinement progressif dans certains pays, la pandémie ne cesse de marquer le monde avec un taux de chiffres de contamination très élevé constaté chaque jour dans le monde.

Pour conclure notre réflexion sur cette tragédie provoquée par le covid 19, force est de constater qu’il est donc question de concevoir l’irréalisme de celle-ci et de promouvoir l’accent à plusieurs domaines en prenant compte des paramètres dictés par cette crise sanitaire. A cela, un appel est lancé à toutes les institutions pour que chacune d’elles puisse apporter la pierre à l’édifice dans le combat contre ce fléau qui mine le monde. Aussi, un effort est demandé à l’humanité pour gagner cette guerre froide imposée par ce fameux covid-19.

Destin WAGGA, Sismar MOUNAKINO et Chirac MONATI (étudiants en 2ème année des Sciences et Techniques de la Communication, Université Marien NGOUABI )

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