Réseau franc-maçon : les barbouzes, le général congolais miraculé et l’espion assassiné

EXCLUSIF. Selon nos informations, l’enquête sur les agissements de la cellule de tueurs à gages démantelée en région parisienne a mis en évidence un possible lien avec une ténébreuse affaire de tentatives d’assassinats d’un opposant congolais en France. Un dossier à tiroirs où plane également l’exécution d’un ex-agent de la DGSE en Haute-Savoie.

C’EST UN NOM glissé au détour d’un procès-verbal et qui ouvre encore un nouveau
volet dans une affaire déjà vertigineuse. Le 6 avril, Sébastien L., le bras armé de l’officine barbouzarde démantelée l’an dernier mêlant policiers des services de renseignement, agents de la DGSE et professionnels de la sécurité privée liés par la franc-maçonnerie, est à nouveau entendu par les juges qui instruisent ce dossier tentaculaire.

Ce spécialiste de la sécurité rapprochée de 31 ans avait déjà confessé son implication dans la tentative d’assassinat d’une coach en entreprise, Marie-Hélène Dini, l’été dernier, et l’exécution d’un pilote de course, Laurent Pasquali, fin 2018. Le jeune barbouzard avait également.

expliqué avoir « participé à la surveillance d’un Africain qui était situé dans le nord de Paris ». Quatre jours plus tard, il donne, cette fois, une identité : le général Mbaou. Or ce farouche opposant au président congolais Denis SassouNguesso, réfugié en France, a déjà fait l’objet de deux tentatives d’assassinat non résolues.

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