
CINEMA. Survivre ou être traqué : le duel reprend. Le réalisateur de PREY, Dan Trachtenberg, signe un retour audacieux avec PREDATOR: BADLANDS, un survival futuriste qui relance la mythologie du chasseur le plus redouté du cinéma.
Avec ses effets visuels immersifs et une mise en scène d’une grande intensité, PREDATOR: BADLANDS s’annonce comme un des grands rendez-vous cinéma de novembre pour les amateurs d’action et de science-fiction.
Une chasse inversée sur une planète lointaine
Dans un futur reculé, sur une planète isolée, un jeune Predator banni de son clan (interprété par Dimitrius Schuster-Koloamatangi) croise la route de Thia (Elle Fanning), un androïde en quête d’émancipation. Ensemble, ils s’engagent dans un périple en territoire ennemi, à la recherche de l’adversaire ultime.
BADLANDS revisite les codes du mythe Predator en plaçant la créature au centre du récit. Pour la première fois, c’est son regard, ses dilemmes et son initiation qui guident le spectateur — entre instinct de survie, loyauté et humanité.
Dan Trachtenberg revisite l’univers culte
Après le succès critique de PREY (2022), Dan Trachtenberg pousse plus loin l’univers Predator avec un récit qui allie spectacle, tension et émotion. Le réalisateur propose un film à la fois visuel et introspectif, où la chasse devient métaphore d’apprentissage et d’alliance improbable.
Le projet s’accompagne d’un comic préquel publié par Marvel, conçu en collaboration avec Trachtenberg, qui explore les origines du jeune Yautja et les menaces d’un ancien monde.