Le secteur secondaire a été en phase avec le bon comportement des exportations nationales, au premier trimestre de l’année 2017, celles-ci ayant été nourries par la bonne orientation des activités de l’OCP, de l’industrie alimentaire et des nouveaux métiers mondiaux du Maroc.
Selon le Département des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Economie et des Finances, le secteur de phosphate et dérivés a maintenu son évolution favorable au premier trimestre 2017.
Au terme de cette période, la production de phosphate roche s’est appréciée, en glissement annuel, de 7% après une augmentation de 10,2% un an auparavant.
A en croire les analystes de la DEPF,« la production des dérivés de phosphates s’est accrue de 35,3% à fin mars 2017 après un recul de 1,2% l’année précédente, recouvrant une hausse de la production des engrais phosphatés de 47,8% après un repli de 5,4% et de celle de l’acide phosphorique de 20,1% après une augmentation de 4,4%».
Selon les estimations de la DEPF, le volume des ventes à l’étranger de phosphate roche s’est raffermi, en glissement annuel, de 24,4% à fin mars 2017. Alors que « le volume des exportations des dérivés de phosphate s’est apprécié de 31% au titre de la même période, recouvrant une hausse du volume des expéditions des engrais naturels et chimiques de 46,8% et de celui de l’acide phosphorique de 6% », a-t-on noté de même source.
La DEPF a aussi fait état d’une évolution soutenue de la consommation de l’énergie électrique dont la production a enregistré un léger repli de 0,4%, au titre du mois de mars 2017. Ce qui représente« une nette atténuation comparativement au recul enregistré en février 2017 (-6,6%), parallèlement à une bonne tenue de la consommation de cette énergie dans tous ses segments », peut-on lire dans une note datant de mai dernier.
A noter qu’au terme du premier trimestre 2017, le département a relevé une baisse de 1% de la production de l’énergie électrique, après une hausse de 1,7% constatée à la même période de l’année précédente.
Dans sa note, le département a attribué ce recul à la baisse de la production de l’ONEE de 3% et de la production privée de 1,6%. Celle-ci ayant été atténuée par la hausse de 44,6% de la production des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 relative aux énergies renouvelables.
Le document nous apprend aussi qu’au niveau du volume des échanges du Maroc en énergie électrique avec l’Espagne et l’Algérie, « le solde (importations-exportations) s’est inscrit en hausse de 15,5% à fin mars 2017, en raison de l’augmentation du volume des importations de 14,6%, après +15,9% il y a une année, portant l’évolution de l’énergie nette appelée à +2,6%, après +3,5% à fin mars 2016 ».
Il ajoute également que la consommation de l’énergie électrique s’est renforcée de 3,6% durant le mois de mars 2017, grâce à « la hausse des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 2,7%, alimentée par la progression de celles adressées, principalement, au secteur industriel de 4,4% et de celles attribuées aux distributeurs de 1,2% », écrit-on.
Soulignons qu’au terme du premier trimestre 2017, la consommation de l’énergie électrique s’est affermie de 1,6%, après +3,3% un an plus tôt, recouvrant une hausse de celle de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 1,7% et de celle de basse tension de 1,2%.
Autre activité auscultée, celle des ventes de ciment qui a connu une atténuation du rythme de baisse au cours de mars 2017.
C’est notamment le cas dans le secteur du BTP où les ventes de ciment ont affiché durant cette période une légère baisse, en variation annuelle, de 0,7%. Des ventes qui ont enregistré «une forte atténuation comparativement aux replis enregistrés au cours des deux premiers mois de l’année 2017 qui ont connu d’importantes précipitations », ont relevé les analystes de la DEPF. Selon ces derniers, les ventes ont ainsi reculé de 4,7% au terme du premier trimestre 2017, au lieu d’une baisse de 7% à fin février 2017 et une hausse de 5,9% à fin mars 2016.
Notons enfin que le secteur manufacturier a clôturé l’année 2016 sur une hausse de son indice de production, hors raffinage de pétrole, de 1,4%, en variation annuelle, après +2,5% une année plus tôt.
Cette progression est liée à « une augmentation de 1,8% au quatrième trimestre, de 0,2% au troisième trimestre, de 1,4% au deuxième trimestre et de 2,1% au premier trimestre de la même année », a-t-on indiqué.
Au terme de cette période, la production de phosphate roche s’est appréciée, en glissement annuel, de 7% après une augmentation de 10,2% un an auparavant.
A en croire les analystes de la DEPF,« la production des dérivés de phosphates s’est accrue de 35,3% à fin mars 2017 après un recul de 1,2% l’année précédente, recouvrant une hausse de la production des engrais phosphatés de 47,8% après un repli de 5,4% et de celle de l’acide phosphorique de 20,1% après une augmentation de 4,4%».
Selon les estimations de la DEPF, le volume des ventes à l’étranger de phosphate roche s’est raffermi, en glissement annuel, de 24,4% à fin mars 2017. Alors que « le volume des exportations des dérivés de phosphate s’est apprécié de 31% au titre de la même période, recouvrant une hausse du volume des expéditions des engrais naturels et chimiques de 46,8% et de celui de l’acide phosphorique de 6% », a-t-on noté de même source.
La DEPF a aussi fait état d’une évolution soutenue de la consommation de l’énergie électrique dont la production a enregistré un léger repli de 0,4%, au titre du mois de mars 2017. Ce qui représente« une nette atténuation comparativement au recul enregistré en février 2017 (-6,6%), parallèlement à une bonne tenue de la consommation de cette énergie dans tous ses segments », peut-on lire dans une note datant de mai dernier.
A noter qu’au terme du premier trimestre 2017, le département a relevé une baisse de 1% de la production de l’énergie électrique, après une hausse de 1,7% constatée à la même période de l’année précédente.
Dans sa note, le département a attribué ce recul à la baisse de la production de l’ONEE de 3% et de la production privée de 1,6%. Celle-ci ayant été atténuée par la hausse de 44,6% de la production des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 relative aux énergies renouvelables.
Le document nous apprend aussi qu’au niveau du volume des échanges du Maroc en énergie électrique avec l’Espagne et l’Algérie, « le solde (importations-exportations) s’est inscrit en hausse de 15,5% à fin mars 2017, en raison de l’augmentation du volume des importations de 14,6%, après +15,9% il y a une année, portant l’évolution de l’énergie nette appelée à +2,6%, après +3,5% à fin mars 2016 ».
Il ajoute également que la consommation de l’énergie électrique s’est renforcée de 3,6% durant le mois de mars 2017, grâce à « la hausse des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 2,7%, alimentée par la progression de celles adressées, principalement, au secteur industriel de 4,4% et de celles attribuées aux distributeurs de 1,2% », écrit-on.
Soulignons qu’au terme du premier trimestre 2017, la consommation de l’énergie électrique s’est affermie de 1,6%, après +3,3% un an plus tôt, recouvrant une hausse de celle de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 1,7% et de celle de basse tension de 1,2%.
Autre activité auscultée, celle des ventes de ciment qui a connu une atténuation du rythme de baisse au cours de mars 2017.
C’est notamment le cas dans le secteur du BTP où les ventes de ciment ont affiché durant cette période une légère baisse, en variation annuelle, de 0,7%. Des ventes qui ont enregistré «une forte atténuation comparativement aux replis enregistrés au cours des deux premiers mois de l’année 2017 qui ont connu d’importantes précipitations », ont relevé les analystes de la DEPF. Selon ces derniers, les ventes ont ainsi reculé de 4,7% au terme du premier trimestre 2017, au lieu d’une baisse de 7% à fin février 2017 et une hausse de 5,9% à fin mars 2016.
Notons enfin que le secteur manufacturier a clôturé l’année 2016 sur une hausse de son indice de production, hors raffinage de pétrole, de 1,4%, en variation annuelle, après +2,5% une année plus tôt.
Cette progression est liée à « une augmentation de 1,8% au quatrième trimestre, de 0,2% au troisième trimestre, de 1,4% au deuxième trimestre et de 2,1% au premier trimestre de la même année », a-t-on indiqué.