Liss Kihindou réitère l’expression de son talent dans « Des migrations au métissage, suivi de l’image de la femme à travers 25 auteurs  d’Afrique »

Liss Kihindou est aujourd’hui l’une des plumes les plus brillantes de la littérature africaine. Son huitième ouvrage est un récit foisonnant qui mêle les thèmes et les cultures. Une auteure dont on parle beaucoup ces dernières années. Son palmarès est une véritable illustration.

Dès migrations au métissage et l’image de la femme à travers 25 auteurs d’Afrique sont deux conférences qui peuvent constituer des pistes de réflexion intéressantes pour quiconque s’intéresse au vivre ensemble d’une part et la littérature africaine d’autre part.

Le métissage né de la rencontre entre différentes civilisations, différentes cultures, différents peuples est un thème qui a toujours passionné l’auteure. Après avoir souligné les manifestations de métissage dans les œuvres d’auteurs africains dans son essai L’expression du métissage dans la littérature africaine, elle s’attache à présent à montrer ce que les uns doivent aux autres.

La reconnaissance des apports respectifs des peuples dans la construction de l’histoire de l’humanité est une condition du mieux vivre ensemble. Au-delà de l’intérêt porté à l’évolution du statut de la femme dans la société africaine, la seconde conférence est une invitation à découvrir ou redécouvrir les lettres africaines à travers 25 auteurs.

Liss Kihindou, née au Congo-Brazzaville, publie parallèlement à son travail d’enseignante des textes critiques, narratifs et poétiques. Des migrations au métissage, suivi de l’image de la femme à travers 25 auteurs d’Afrique est son huitième livre.

Clément Ossinondé.

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