Organiser les concours de « mini-miss » est désormais passible de 2 ans d’emprisonnement et 30.000 d’amende en France où le Sénat s’est récemment prononcé contre les concours de beauté mettant en scène les filles de moins de 16 ans.
Rassurez-vous, cette décision ne concerne que la France et pas le Congo-Brazzaville où les concours de beauté (du collège à l’université) ont été érigés en projet culturel national, après le Fespam.
Les organisations et établissements scolaires congolais n’ont pas de souci à se faire. Ne sommes nous pas un pays libre et indépendant ! Ils pourront continuer à faire défiler les enfants et préparer le « lit » des autorités qui ne manquent jamais une occasion d’assister à ces manifestations. Question, sans doute, d’apprécier ces jambes qu’ils doteront dans les prochains mois.
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