TRIBUNE. Plus le Congo est mal gouverné, plus les souffrances des populations congolaises s’accroissent, plus tous les pans des secteurs socio économiques du Congo s’effondrent, plus Pascal Lissouba hante, jour et nuit, les cercles de ceux qui l’ont expulsé, de force, des affaires, en octobre 1997.
Sans cesse, ces cercles reviennent sur le mandat présidentiel de Pascal Lissouba, qu’ils stigmatisent.
Et pourtant, depuis près de 22 ans, Pascal Lissouba leur a tout laissé, le pourvoir, le ciel au dessus du Congo, les mines, le pétrole, les terres, les rivières, les forêts, les ressources humaines.
Un homme qui pleure, les yeux et le coeur toujours tournés vers ce qu’a été la femme sans qualités qu’il a repudiée, alors qu’il en a pris, une, de plus vertueuse, est un mari incapable, faible et sans idéal.
Finissez avec Pascal Lissouba et assumez vous, là où le devoir vous appelle.
Ouabari Mariotti
