Donald Trump a décidément la manie d’irriter la communauté mondiale. Jeudi dernier, il a annoncé la sortie de son pays de l’Accord de Paris sur le climat. Une nouvelle qui a suscité une vague d’indignation à travers le monde.
Certes, ce n’est pas la première fausse note du président américain. Mais cette fois-ci, l’ire de la communauté internationale est sans équivoque et à la hauteur des conséquences qu’une telle décision pourrait entraîner.
En annonçant le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris sur le climat, une de ses tristes promesses de campagne, Trump a donc clairement choisi d’instaurer un mauvais climat.
En réaction à cela, le président de la COP22, Salaheddine Mezouar, a exprimé sa profonde déception, rappelant que l’Accord historique de Paris est le fruit d’une collaboration de longue haleine entre toutes les parties prenantes.
En dépit de la décision américaine, l’ex-ministre des Affaires étrangères a assuré que «la dynamique de l’action climatique reste indéniable et irréversible». Et de promettre que «les efforts collectifs de lutte contre le changement climatique ne s’arrêtent pas là, pas aujourd’hui, bien au contraire».
«Nous garderons notre esprit d’ambition et de collaboration et poursuivrons nos efforts pour la mise en œuvre de l’Accord de Paris, confirmé dans la Proclamation de Marrakech», a-t-il précisé.
A noter que plusieurs chefs d’Etat et responsables internationaux ont affirmé leur volonté d’appliquer l’Accord et d’œuvrer pour le bien de la planète.
C’est notamment le cas de la Chine, premier pollueur mondial, qui a promis de prendre «des mesures concrètes» en faveur du changement climatique et de l’Angleterre dont la Première ministre Theresa May a soutenu que l’Accord de Paris protégeait «la prospérité et la sécurité des générations futures».
En réponse au retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris, le président français Emmanuel Macron a invité, de son côté les scientifiques, ingénieurs, entrepreneurs, citoyens engagés américains à «venir travailler en France sur des solutions concrètes pour le climat».
Soucieux de passer un message fort au peuple américain, il s’est adressé à ces derniers dans une allocution en anglais allant jusqu’à paraphraser le slogan de campagne du candidat Trump pour bien passer son message «Rendez sa grandeur à notre planète».
Tout aussi résolu pour mettre en œuvre cet Accord, la chancelière allemande Angela Merkel a pour sa part assuré la détermination de l’Allemagne à rassembler toutes les forces pour faire face au défi climatique.
Réagissant également à cette décision, le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a assuré que son pays «maintenait son engagement» envers l’Accord.
Autre réaction, celle du secrétaire général des Nations unies. Antonio Guterres a déclaré faire confiance «aux villes, aux Etats et aux entreprises aux Etats-Unis pour continuer avec d’autres pays à œuvrer en faveur d’une croissance économique durable et à faible émission de carbone».
Connu pour son combat sur les questions touchant au climat, l’actuel ministre d’Etat français en charge de la Transition écologique, Nicolas Hulot a naturellement aussi condamné le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris, estimant que «c’est un message d’une violence inouïe qui est envoyé à ces millions d’hommes, de femmes et d’enfants qui, chaque année à cause des conséquences des conditions climatiques, sont obligés de quitter leur territoire».
Enfin, dans un communiqué conjoint rendu public à Bruxelles, l’Union européenne et l’Union africaine ont réaffirmé leur ferme attachement à l’Accord de Paris.
Il faut toutefois noter que les Etats-Unis ne pourront pas formellement sortir de l’Accord avant novembre 2020. Une date qui pourrait réconforter les défenseurs de la planète puisqu’elle coïncidera avec celle de la prochaine présidentielle américaine qui pourrait ne pas reconduire l’actuel occupant de la Maison Blanche.
En annonçant le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris sur le climat, une de ses tristes promesses de campagne, Trump a donc clairement choisi d’instaurer un mauvais climat.
En réaction à cela, le président de la COP22, Salaheddine Mezouar, a exprimé sa profonde déception, rappelant que l’Accord historique de Paris est le fruit d’une collaboration de longue haleine entre toutes les parties prenantes.
En dépit de la décision américaine, l’ex-ministre des Affaires étrangères a assuré que «la dynamique de l’action climatique reste indéniable et irréversible». Et de promettre que «les efforts collectifs de lutte contre le changement climatique ne s’arrêtent pas là, pas aujourd’hui, bien au contraire».
«Nous garderons notre esprit d’ambition et de collaboration et poursuivrons nos efforts pour la mise en œuvre de l’Accord de Paris, confirmé dans la Proclamation de Marrakech», a-t-il précisé.
A noter que plusieurs chefs d’Etat et responsables internationaux ont affirmé leur volonté d’appliquer l’Accord et d’œuvrer pour le bien de la planète.
C’est notamment le cas de la Chine, premier pollueur mondial, qui a promis de prendre «des mesures concrètes» en faveur du changement climatique et de l’Angleterre dont la Première ministre Theresa May a soutenu que l’Accord de Paris protégeait «la prospérité et la sécurité des générations futures».
En réponse au retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris, le président français Emmanuel Macron a invité, de son côté les scientifiques, ingénieurs, entrepreneurs, citoyens engagés américains à «venir travailler en France sur des solutions concrètes pour le climat».
Soucieux de passer un message fort au peuple américain, il s’est adressé à ces derniers dans une allocution en anglais allant jusqu’à paraphraser le slogan de campagne du candidat Trump pour bien passer son message «Rendez sa grandeur à notre planète».
Tout aussi résolu pour mettre en œuvre cet Accord, la chancelière allemande Angela Merkel a pour sa part assuré la détermination de l’Allemagne à rassembler toutes les forces pour faire face au défi climatique.
Réagissant également à cette décision, le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a assuré que son pays «maintenait son engagement» envers l’Accord.
Autre réaction, celle du secrétaire général des Nations unies. Antonio Guterres a déclaré faire confiance «aux villes, aux Etats et aux entreprises aux Etats-Unis pour continuer avec d’autres pays à œuvrer en faveur d’une croissance économique durable et à faible émission de carbone».
Connu pour son combat sur les questions touchant au climat, l’actuel ministre d’Etat français en charge de la Transition écologique, Nicolas Hulot a naturellement aussi condamné le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris, estimant que «c’est un message d’une violence inouïe qui est envoyé à ces millions d’hommes, de femmes et d’enfants qui, chaque année à cause des conséquences des conditions climatiques, sont obligés de quitter leur territoire».
Enfin, dans un communiqué conjoint rendu public à Bruxelles, l’Union européenne et l’Union africaine ont réaffirmé leur ferme attachement à l’Accord de Paris.
Il faut toutefois noter que les Etats-Unis ne pourront pas formellement sortir de l’Accord avant novembre 2020. Une date qui pourrait réconforter les défenseurs de la planète puisqu’elle coïncidera avec celle de la prochaine présidentielle américaine qui pourrait ne pas reconduire l’actuel occupant de la Maison Blanche.
Avec Agences