Les pays d’Afrique subsaharienne doivent gérer et maîtriser la croissance démographique de leurs populations et contrôler pour ainsi maîtriser l’indice de fécondité des femmes qui devraient être au moins de 2 enfants par femme pour un taux de natalité pouvant s’établir à 16 voire 17 pour mille alors qu’il est aujourd’hui dans la plupart des pays à 36 voire 40 pour mille.
Une baisse du taux de natalité et une baisse de la fécondité des femmes en Afrique subsaharienne aurait pour bénéfice avec la forte croissance enregistrée par les pays; la hausse d’un indicateur économique à savoir de PIB par habitant ou le Revenu par habitant en parité de pouvoir d’achat qui mesure le niveau de vie de la population qui se verrait augmenter de manière significative. Pour ce fait, beaucoup des pays d’Asie comme la Chine y sont parvenus et même d’Amérique latine et aussi des petits États insulaires des caraïbes en sont l’exemple comme la Dominique, Sainte Lucie, les Bahamas, la Barbade, Saint kitts et Nevis, Saint vincent et les grenadines, Trinité et Tobago ainsi que la Jamaïque pour n’en citer que ces pays qui ont un niveau de développement économique juger intermédiaire. Donc, au pays d’Afrique subsaharienne de leur emboîter le pas.
Christian LOUHOU KINSANGOU, Melun, France
La démographie galopante est un véritable drame pour l’Afrique. Si cette explosion n’est pas stoppée, les habitants de ce continent vont au devant de crises insurmontables et j’invite donc l’auteur de cet article à prendre contact avec l’association Démographie Responsable.