Le général Abdel Fattah Burhan, qui dirigeait un conseil conjoint avec les dirigeants civils, a mis en cause les luttes politiques intestines.
Des manifestants sont descendus dans les rues de la capitale, Khartoum, et des coups de feu ont été signalés.
Le Premier ministre Abdallah Hamdok fait partie des personnes qui auraient été assignées à résidence par des soldats non identifiés.
Des vidéos prises lundi dans la capitale de ce pays d’Afrique du Nord montrent des manifestants érigeant des barricades éclairées et pénétrant dans la zone proche du quartier général de l’armée.
Les responsables des forces armées n’ont pas réagi pour le moment, mais les groupes pro-démocratie appellent à des manifestations de rue…
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