Le Maroc appuie la Tunisie face à la hausse des contaminations et des décès dus au COVID-19
Le 13 juillet 2021, le Roi Mohammed VI a donné ses instructions pour l’envoi en urgence d’une aide médicale à la Tunisie, pays maghrébin confronté à une véritable submersion de son système de santé, enregistrant une forte hausse des contaminations et des décès ; une situation qui inquiète notamment l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Cette aide comprend deux unités de réanimation complètes et autonomes, dotées d’une centaine de lits, de cent respirateurs et deux générateurs d’oxygène d’une capacité de 33 m3/heure chacun. Le tout sera acheminé par les avions des Forces Royales Air marocaines et vise à soutenir la Tunisie. A rappeler que le Maroc, sur instructions de son Souverain, avait décidé, le 14 juin 2020, de l’envoi d’une aide médicale préventive à plusieurs pays africains afin de les aider dans leurs efforts de lutte contre la pandémie de la COVID-19. Ces aides ont pu bénéficier à 15 pays du continent, appartenant à toutes les sous-régions d’Afrique, à savoir: le Burkina Faso, le Cameroun, les îles Comores, le Congo, Eswatini, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Malawi, la Mauritanie, le Niger, la République Démocratique du Congo, le Sénégal, la Tanzanie, le Tchad et la Zambie. Celle-ci était composée de près de 08 millions de masques sanitaires, de 900.000 visières, de 600.000 charlottes, de 60.000 blouses, de 30.000 litres de gel hydroalcoolique, ainsi que de 75.000 boîtes de chloroquine et 15.000 boîtes d’azithromycine, un médicament de la classe des antibiotiques. Cette action de solidarité s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre de l’Initiative lancée par le Roi du Maroc, le 13 avril 2020, en tant que démarche pragmatique et orientée vers l’action, destinée aux pays africains, permettant un partage d’expériences et de bonnes pratiques et visant à établir un cadre opérationnel afin d’accompagner leurs efforts dans les différentes phases de gestion de la pandémie de la COVID-19. Il convient de souligner que l’ensemble des produits et équipements de protection, qui composent les aides médicales acheminées vers les pays africains, sont fabriqués au Maroc par des entreprises marocaines, et sont conformes aux normes en vigueur, édictées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Ce soutien s’inscrit dans le cadre des liens de solidarité active entre le Royaume du Maroc et la République Tunisienne, ainsi que de la fraternité authentique qui unit les deux peuples. Ce geste du Roi Mohammed VI envers les pays africains, notamment ceux de la majorité écrasante de l’Afrique et à l’Assemblée Générale de l’Union Africaine pour l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc millénaire et non aux hypocrites qui œuvrent avec la pire dictature militaire d’Afrique pour quelques pétro-dinars du pauvre peuple algérien clochardisé pour découper le Maroc en deux. Les chmatas de militaires algériens n’ont rien à offrir sauf les chakarates (valises) de l’argent du miséreux peuple algérien ! Farid Mnebhi.
Prends la porte et tais-toi ! Telle est la sanction reçue par Arancha Gonzalez Laya par le Chef du Gouvernement espagnol
TRIBUNE. Le Chef du Gouvernement espagnol, Pedro Sanchez a annoncé, le 10 juillet 2021, un vaste remaniement affectant des portefeuilles fondamentaux, dont celui du Ministère des Affaires Etrangères occupé par Arancha Gonzalez Laya, qui a mis de l’huile sur le feu dans les relations entre le Maroc et l’Espagne. Ainsi donc Arancha Gonzalez Laya sort par la petite porte telle une chatte échaudée par son scandale dans la gestion du dossier du terropolisarien Brahim Ghali dans lequel elle s’était embourbée jusqu’au cou entraînant une profonde crise entre le Maroc et l’Espagne. D’ailleurs, la Cheffe de la diplomatie espagnole était sur la sellette depuis plusieurs semaines et de nombreuses formations politiques espagnoles réclamaient sa démission immédiate. Mais, si évincer du Gouvernement Arancha Gonzalez Laya constitue un signe d’apaisement en direction du Maroc, les raisons profondes de cette crise demeureront, tant que Madrid continuera de botter en touche, sans réelle volonté de prendre le taureau par les cornes car pour apaiser la tension entre les deux pays, sont tout autre, le Sahara marocain et nos territoires encore sous colonisation espagnole en sont la clé. S’agissant du nouveau Chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albares, celui-ci est âgé de 49 ans et est diplômé en Droit de l’Université de Deusto. Il est très proche du du Chef du Gouvernement espagnol et est connu pour sa forte expérience internationale. Avant sa nomination José Manuel Albares occupait le poste d’Ambassadeur d’Espagne à Paris. Il a officié en qualité de Consul en Colombie et Conseiller Culturel à l’Ambassade d’Espagne en France. Il a également fait partie de la représentation permanente de l’Espagne auprès de l’OCDE. Au final, il serait bon ton de féliciter Arancha Gonzalez Laya et son copain proche l’algérien Boukadoum pour leur totale incompétence en matière de diplomatie étrangère et qui sont maintenant hors de leur poste. A noter que le porte-parole du Parti Populaire espagnol au Congrès espagnol, Cuca Gamarra, vient de demander au Président de dissoudre les Cortes : « Changer les clins d’œil ne sert à rien si les indépendantistes continuent de tirer les ficelles ». Farid Mnebhi.
Nouvelle rouste cinglante infligée par les Etats-Unis d’Amérique aux ennemis du Maroc
TRIBUNE. C’est une nouvelle gifle retentissante que vienne de recevoir les ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc de la part du Département d’Etat américain qui, dans son dernier rapport sur la traite d’êtres humains, a publié la carte complète du Maroc, y compris son Sahara. Par la publication de la carte intégrale du Maroc, le Département d’Etat a apporté la preuve supplémentaire du maintien de la position des Etats-Unis d’Amérique à l’égard du Sahara marocain tout en assénant un coup dur aux ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc, eux qui rêvaient de pousser l’Administration Biden à reconsidérer la position des Etats-Unis d’Amérique sur le dossier du Sahara marocain. Sur cette question précisément, le rapport sur le trafic des êtres humains rejoint les propos du Porte-Parole du Département d’Etat américain, Ned Price qui, début juillet, lors d’un point de presse, avait réitéré qu’il n’y a « aucun changement » dans la position des Etats-Unis d’Amérique concernant la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. A signaler que pas moins de trois rapports du Département d’Etat américain ont dénoncé, au cours de l’année 2021, la situation de non-droit en Algérie. Celle d’abord que vivent les Algériens à cause de leur contestation du pouvoir local, mais surtout les traitements inhumains réservés aux milliers d’immigrés subsahariens. Ces victimes sont généralement identifiées comme des sans-papiers venus des pays voisins comme le Mali, le Niger, le Nigeria, le Burkina Faso, le Liberia ou la Guinée. Fragilisés par leur situation de séjour transitoire, mais illégal, ces immigrés font l’objet d’exploitation quasi esclavagiste de la part des passeurs. Les hommes servent ainsi de main-d’œuvre bon marché, dans la construction immobilière surtout, alors que les femmes subsahariennes sont soumises, au mieux à un travail domestique forcé, au pire elles sont livrées aux affres de l’exploitation sexuelle dans des maisons closes, particulièrement à Alger et Tamanrasset, première ville d’accès à l’Algérie. Face à l’inaction flagrante des autorités algériennes, pointée du doigt à de nombreuse reprises par ce rapport du Département d’Etat américain, elles sont tantôt accusées d’avoir « déployé des efforts négligeables en vue d’identifier et fournir des services aux victimes de la traite », tantôt coupable de passivité totale parce qu’elles n’ont pas « enquêté sur des affaires de traite pour la deuxième année consécutive et n’ont pas déclaré avoir engagé de poursuites dans des affaires de travail forcé ou de traite sexuelle ». Ce rapport établi par le Département d’Etat regrette « les mesures permanentes du gouvernement algérien visant à expulser les migrants sans papiers, en dehors des procédures officielles d’expulsion les laissant parfois dans le désert aux frontières du Mali et du Niger ». et qualifie ces agissements de « déplorables », ce qui signifie dans le jargon diplomatique américain que leurs auteurs sont passibles d’être jugés pour Crimes contre l’Humanité. Pour rappel, et en dehors des rapports périodiques sur la situation des Droits de l’Homme en Algérie, un important rapport sur l’Algérie, dédié spécialement au Président américain, Monsieur Joe Biden, mais gardé secret, a été confectionné par la CIA et le Département d’Etat au début de cette année. Dans un résumé succinct de ce rapport, que l’opposition algérienne en exil a fuité, on apprend que la CIA a fidèlement dépeint la situation en Algérie, jugée « très peu reluisante », mettant surtout en exergue un pays où les « clans des généraux » font la loi dans tous les domaines, politique et économique surtout. Il en est de même de la « criminalisation de toutes les formes de traite sexuelle des migrantes et particulièrement des enfants », domaine où, selon le rapport américain, l’Algérie est totalement en contradiction avec le Droit International. Ainsi donc, après l’Administration américaine, le Pentagone, la CIA, l’OTAN, la NASA c’est au tour de du Département d’Etat de confirmer l’évidence historique de la souveraineté du Royaume du Maroc sur ses Provinces sahariennes. Farid Mnebhi.
Imposant Accord d »investissement signé entre le Maroc et le Niger
Signé le 03 juillet 2021 à Niamey entre la ville de Niamey et le Maroc, cet Accord d’Investissement, présenté comme pharaonique, englobe six projets d’envergure et devraient être réalisés durant les 08 prochaines années et relève d’un contrat Partenariat-Public-Privé (PPP), selon une déclaration faite par le Président du groupe marocain Ymmi Finance Holding. Cet Accord, portant sur de nombreux projets industriels et d’infrastructures dans la Capitale nigérienne, s’élève à près de 03 milliards d’Euros et est le fruit de deux années d’intenses pourparlers entre les deux parties. La finalité de cet investissement est la réalisation d’un complexe agro-alimentaire (embouche du bétail, culture fourragère, abattoir, transformation de viande, filière lait et aviculture), la construction d’une « Smart City (ville intelligente et connectée) » avec près de 37 000 logements sociaux et d’un Centre Commercial sur 1.050 hectares ainsi que l’installation de 20 000 lampadaires solaires « made in Maroc ». Au programme également, la réalisation d’une zone franche industrielle de 200 hectares destinée à l’exportation mais aussi un projet de construction de 10 000 classes avec une technologie moderne, moins chère, qui vise à éradiquer le problème des classes en paillotes qui présentent des risques graves, notamment d’incendie. Ce projet vise à positionner la Capitale nigérienne, qui compte à ce jour près de 02 millions d’habitants et gagne près de 100 000 autres de plus par an, comme l’une des plus belles du Continent Africain a tenu à préciser le Président du groupe marocain Ymmy Finance Holding devant les responsables de la Municipalité de Niamey. A noter que le Maroc est déjà présent au Niger via notamment le secteur bancaire. Le groupe de la Banque Centrale Populaire a pris en 2017 le contrôle de la Banque Internationale pour l’Afrique (BIA-Niger), devenant ainsi la deuxième institution bancaire du pays. Au final, le Maroc et le Niger donnent ainsi une nouvelle impulsion à un partenariat de longue date. Déjà en 2017, les deux pays avaient signé à Rabat 16 accords de coopération dans les domaines touristique et culturel, ainsi que ceux de la santé, la formation, la justice et le transport, avec notamment des bourses et stages pour les étudiants nigériens. Quelle belle illustration de la diplomatie active du Royaume du Maroc au Sud du Sahara marocain ! Farid Mnebhi.
Le Roi Mohammed VI lance le projet de fabrication et de mise en seringue au Maroc du vaccin anti-COVID-19 et autres vaccins
ACTUALITE. Ce 05 juillet 2021 est un jour à marquer d’une pierre blanche suite à la cérémonie, Présidée par le Roi Mohammed VI, de lancement et de signatures des conventions relatives au projet de fabrication et de mise en seringue au Maroc du vaccin anti-COVID-19 et autres vaccins Ce projet structurant s’inscrit dans le cadre de la volonté du Souverain marocain de doter le Maroc de capacités complètes et intégrées, dédiées à la fabrication de vaccins au Maroc, de promouvoir son autosuffisance, d’en faire une plate-forme biotechnologique de premier plan à l’échelle du continent africain et du monde dans le domaine de l’industrie du « fill & finish ». Tout en renforçant la souveraineté sanitaire du Royaume du Maroc et la protection des Marocains, ce projet, présenté devant le Souverain marocain, consacre le rayonnement international du Maroc et renforce sa vocation de pourvoyeur de sécurité sanitaire au sein de son environnement régional et continental face aux risques sanitaires et aux dépendances extérieures mais aussi aux contingences politiques. Fruit d’un partenariat public-privé, le projet vise à démarrer à court terme avec une capacité de production de 05 millions de doses de vaccin anti-COVID-19 par mois, avant de démultiplier progressivement cette capacité à moyen terme. Il mobilisera un investissement global de l’ordre de 500 millions de dollars. A cette occasion, et après présentation des objectifs et des composantes du projet, trois importants Accords ont été signés devant le Roi du Maroc, à savoir : 1-Le Mémorandum relatif à la coopération pour le vaccin anti-COVID19 entre l’État marocain et le Groupe Pharmaceutique National de Chine (SINOPHARM), signé par le Ministre marocain de la Santé et le Président du Groupe Sinopharm, Monsieur Liu Jingzhen. 2-Le Mémorandum d’Accord concernant l’établissement de capacités de fabrication de vaccins au Royaume du Maroc entre l’État marocain et la société Recipharm, signé par le Ministre marocain de l’Économie, des Finances et de la Réforme de l’Administration, et Président du Conseil d’Administration du Fonds Mohammed VI pour l’Investissement, et le Président Directeur Général de la Société Recipharm, Monsieur Marc Funk, et le représentant du consortium de banques marocaines. 3-Le Contrat de mise à disposition de l’État marocain des installations de remplissage aseptiques de la Société de Thérapeutique Marocaine (Sothema) pour la fabrication du vaccin anti-COVID-19 propriété de la société Sinopharm entre l’État marocain et la société Sothema, signé par le Ministre de la Santé et la Présidente Directrice Générale de la Sothema. La production se fera en partenariat avec Sinopharm et Recipharm et, côté marocain, de Sothema et sera basée partiellement ou totalement à Casablanca, dont la première production est attendue sur le court terme. Tout en renforçant la souveraineté sanitaire du Royaume du Maroc, le projet présenté devant le Souverain marocain consacre le rayonnement international du Maroc et renforce sa vocation de pourvoyeur de sécurité sanitaire au sein de son environnement régional et continental et ce, face aux risques sanitaires, aux dépendances extérieures et aux contingences politiques. Avec le lancement de ce partenariat de grande envergure, qui s’inscrit dans le prolongement de l’entretien téléphonique du 31 août 2020 entre le Roi Mohammed VI et Monsieur Xi JINPING, Président de la République Populaire de Chine, le Maroc effectue un pas supplémentaire dans la concrétisation de la vision Royale pour une gestion efficace et proactive de la crise pandémique et ses suites. En conclusion, le Royaume du Maroc, grâce à la vison avant-gardiste de son Roi dans la lutte mondiale contre la COVID-19, vient de franchir un pas décisif vers le club très restreint des grands producteurs de vaccin anti-COVID-19, une substance rare dans un monde malmené par l’épidémie. Farid Mnebhi.
Arancha Gonzalez Laya dans de beaux draps suite au scandale Brahim Ghali, alias Benbatouche
TRIBUNE. Il est clair comme l’eau de source que la Ministre espagnole des Affaires Etrangères a violé l’Accord de Schengen en accueillant, le 18 avril 2021, sur le territoire espagnol le terropolisarien Brahim Ghali sans que les passeports des passagers de l’aéronef algérien ne soient contrôlés à la Base Militaire de Saragosse et ce, suite à ses instructions. Cette nouvelle révélation a été éventée par de nombreux quotidiens espagnols le 05 juillet 2021 qui révèlent que le Général José Luis Ortiz-Canavate, Chef de la Base Militaire de Saragosse, a été interdit d’avoir accès sur les détails de ce vol, si ce n’est qu’il transportait un malade portant un passeport algérien. Ces détails ont été notifiés par le Général José Luis Ortiz-Canavaté dans un rapport adressé au Juge du Tribunal qui enquête sur l’entrée du terropolisarien le plus recherché en Espagne suite à une instruction émanant du Cabinet de la Ministre espagnole des Affaires Etrangères. Cette nouvelle affirmation du Général Ortiz-Canavate a mis dans l’embarras la Ministre des Affaires Etrangères, Arancha Gonzalez Laya qui risque d’être poursuivie pour violation de la réglementation de Schengen qui exige des pays de l’UE de contrôler les passeports de tous les voyageurs non européens. Aussi, le Parti Populaire (PP, opposition) a appelé le Congrès des Députés à convoquer la Ministre des Affaires Etrangères et sa collègue de la Défense pour les interroger sur l’enquête judiciaire menée sur cette affaire par le Tribunal de Saragosse. Les députés du PP ont appelé à tenir une séance extraordinaire de la Commission des Affaires Etrangères pour discuter des mensonges qui ont entouré l’entrée légale du terropolisarien en Espagne. D’après les dernières rumeurs insistantes circulant en Espagne, Arancha Gonzalez Laya devrait être remplacée lors d’un remaniement ministériel que le Premier Ministre, Pedro Sanchez, compte opéré prochainement. Parmi les postulants figurent le Ministre de l’Agriculture, Luis Planas, grand connaisseur du Maroc, puisqu’il a été Ambassadeur d’Espagne à Rabat pendant plusieurs années sous le Gouvernement de José Luis Zapatero, et celui de l’Ambassadeur d’Espagne en France, José Manuel Albares. Quoi qu’il en soit, les révélations et aveux se poursuivent autour de l’affaire Brahim Ghali et le Ministère espagnol de la Défense, via l’Armée de l’Air et le Général de la Base Aérienne de Saragosse, José Luis Ortiz-Canavate, vient de jeter un pavé dans la mare. Arancha Gonzalez Laya a bel et bien violé les règles diplomatiques et les procédures établies par l’Armée de l’Air ainsi que le code frontalier Schengen de l’Union Européenne afin que Brahim Ghali puisse entrer en Espagne sans passer par le contrôle des passeports, ajoutant que le Ministère espagnol des Affaires Etrangères a ensuite menti pour se dédouaner de ses responsabilités et de la crise générée après que le Maroc eu découvert que le terropolisarien, objet d’une enquête pour génocide, détention illégale et torture, .était arrivé en Espagne pour y être soigné. Au final, tout porte à croire que Arancha Gonzalez Laya est l’unique coupable, car il semble inconcevable de penser qu’une autre personne sous ses ordres ait pu prendre une décision d’une telle importance politique et diplomatique. Il est donc clair qu’avant d’entamer un quelconque dialogue ou échange avec le Royaume du Maroc au sujet de la reprise des relations bilatérales, le Premier Ministre espagnol, Pedro Sanchez, se doit de calmer les politiques de son pays et réévaluer les compétences diplomatiques de sa coalition. Farid Mnebhi.
Soufflet retentissant de l’Administration Biden aux autorités algériennes
OPINION. L’Administration du Président Joe Biden a une nouvelle fois infligé, le 1er juillet 2021, un soufflet retentissant aux hauts responsables algériens en réaffirmant que les Etats Unis d’Amérique ne modifieraient pas leur position sur la reconnaissance de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara. Il n’y aura donc aucun changement dans la position américaine relatif à la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et l’Administration du Président Joe Biden, vient de consacrer, de manière on ne peut plus claire, la continuité de la ligne politique des Etats-Unis d’Amérique sur ce dossier clé pour son allié stratégique ; une position constante de l’Administration Biden, a tranché, le 1er juillet 2021, le Porte-Parole de la diplomatie américaine, Ned Price lors de son point de presse. Cette déclaration a suscité moult réactions dont celle de l’Avocate des Droits de l’Homme et de la Sécurité Nationale, Irina Tsukerman, pour laquelle cette continuité consacre « les liens historiques naturels qui cimentent les relations entre le Maroc et les Etats-Unis d’Amérique, tout en rappelant le rôle clé du Maroc dans la paix et la stabilité en Afrique du Nord et dans le processus de paix au Proche Orient tout en indiquant que les Etats-Unis d’Amérique reconnaissaient le rôle de premier plan dans la gestion des questions diplomatiques, économique et sécuritaires du Maroc dans la région De son côté, le vice-Président aux Affaires Mondiales de l’Université américaine de la Nouvelle Angleterre (UNE), a affirmé que l’Administration Biden est « pleinement consciente de l’effort inlassable du Maroc pour parvenir à une solution juste et définitive » au différend régional sur le Sahara, de même qu’elle « apprécie à sa juste valeur » l’apport stratégique du Royaume du Maroc au Sahel et en Afrique ainsi qu’au Proche Orient. Même réaction de la part du Président de l’institut Polisens à Ottawa pour qui la continuité de la position américaine au sujet de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara montre que cette reconnaissance est « bien le fruit de plusieurs années de consultations et de persévérance » de la diplomatie marocaine, sous la conduite du Roi Mohammed VI. Enfin, autre réaction à souligner, celle du Président de la Communauté Juive Marocaine de Toronto, Simon Keslassy qui s’est dit « ravi de la position de la nouvelle Administration du Président Biden en faveur de la marocanité du Sahara » qui consacre la reconnaissance par une puissance planétaire, un acteur majeur des relations internationales et un membre permanent du Conseil de Sécurité. « Chose à laquelle je m’attendais, vu les excellentes relations que les Etats- d’Amérique ont toujours maintenues avec le Maroc », a-t-il dit. « Cette décision, juste et politiquement forte, devrait servir d’exemple à suivre pour les pays européens », a soutenu Simon Keslassy. A remarquer que contrairement à l’obstination de la junte militaire algérienne à vouloir nier la réalité historique, politique, culturelle, religieuse et économique de la marocanité du Sahara, les slogans brandis par les manifestations populaires du Hirak en Algérie sont clairement révélateurs que la question dite du Sahara n’est pas la cause du peuple algérien mais bien, une affaire du régime militaire algérien. Une manœuvre des responsables algériens stérile et contre-productive visant à détourner l’attention des plaintes sérieuses et légitimes du Haut-Commissariat et des milliers d’ONG’s à travers le monde, au sujet des violations massives des Droits des algériens à la liberté d’expression, de rassemblement, et de manifestation. Il est devenu certain que les dirigeants algériens ne s’intéressent pas au principe d’autodétermination ou au soutien à un supposé peuple sahraoui, qui n’a jamais existé, mais tout simplement pour parvenir à des fins géopolitiques hégémoniques. D’ailleurs, lors de débats au Conseil des Droits de l’Homme, tenus le 1er juillet 2021 à Genève, le Maroc a fustigé les mensonges contenus dans la déclaration du représentant de l’Algérie et attiré l’attention, à cet égard, sur le calvaire des Sahraouis marocains retenus contre leur gré, dans les camps de Tindouf, par les milices du polisario avec le soutien du régime militaire algérien, notant avec préoccupation les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires commises par les autorités algériennes à leur encontre. Au final, l’Algérie est bien le principal soutien indéfectible du polisario et, malgré, les nombreux effets d’annonce, la nouvelle Administration américaine à sa tête Joe Biden, n’est pas revenue sur la reconnaissance par les Etats-Unis d’Amérique de la souveraineté marocaine sur son Sahara. En effet, non seulement, le Président américain Joe Biden n’est pas encore revenu sur la décision du 10 décembre 2020 prise par son prédécesseur, Donald Trump, de reconnaître la souveraineté du Maroc sur son Sahara, mais, aussi et surtout, il a été noté que Washington continue toujours de s’en tenir à des déclarations prudentes sur le sujet qui reste très sensible. Il est de notoriété publique que les responsables algériens rêvent de coloniser le Sahara marocain pour avoir un accès sur l’Océan Atlantique et c’est pour cette unique raison qu’ils ont tout sacrifié et usent et abusent même des ressources du peuple algérien pour corrompre des pays importants, mais le monde a découvert le pot aux roses de ces escrocs terropolisariens et par sagesse de nombreux pays sont aujourd’hui sont pour l’autonomie. Ce soutien du régime algérien à la pseudo RASD atteindrait la somme pharaonique de plusieurs dizaines de milliards de dollars ; une perte considérable d’argent pour le peuple algérien dans un contexte de grave crise financière. Un rêve de voir la marocanité sur son Sahara remise en cause par les Etats-Unis d’Amérique se dissipe au fil des jours aussi bien en Algérie qu’en Espagne et en Allemagne. Farid Mnebhi.
L’Algérie est bel et bien impliquée jusqu’au cou dans la production et le trafic de drogues dures
TRIBUNE. Il n’en fallait pas plus pour pouvoir affirmer que l’Algérie est bien la plaque tournante du trafic de drogues dures en Afrique suite à l’interception, le 22 juin 2021, par les garde-côtes algériens de près de 500 kilogrammes de cocaïne au large du port d’Oran, près du Cap Carbon. On notera qu’il s’agit d’une des plus importantes saisies de cocaïne depuis la découverte en mai 2018 au port d’Oran de plus de 700 kilogrammes de cocaïne dans un bateau de transport de viande en provenance du Brésil. Une affaire qui avait coûté sa place à l’ex-patron de la police, Abdelghani Hamel, après l’implication de son chauffeur personnel ainsi que de nombreuses personnes, dont des magistrats et des procureurs, étaient impliqués dans cette affaire. Mais en plus de s’adonner à ce trafic de cocaïne, générateur d’importants revenus illicites, les responsables algériens s’adonnent également, et à grande échelle, à la production de cannabis et d’opium dans les oasis de l’Ouest algérien, notamment dans la Wilaya de l’Adrar. Ainsi, à Tamine, Cheraouine, Aougrouf, Tinerkouk, Ksar Bahmou, Ksar Lichta, Ksar Yahia Oudris, des localités parsemées de paisibles oasis, situées dans la région des Zenata, ont été rendues célèbres après la découverte du plus gros lot de plantations de pavots et de cannabis. Des plantations cultivées par des algériens qui y font même travailler leurs femmes et enfants. Ces productions de drogues dures font que le régime algérien mène contre le Maroc une guerre d’un nouveau genre en l’inondant de comprimés psychotropes. En effet, les militaires algériens n’ont de cesse de mener toutes les guerres possibles et inimaginables contre le Royaume du Maroc et aujourd’hui ils ouvrent un nouveau conflit, celle du celle du « karkoubi », ces centaines de milliers de comprimés psychotropes qui inondent le Maroc à partir de la frontière Est. Cette nouvelle guerre de destruction totale menace la paix sociale à travers des « armes de destruction massive », tel le Rivotril (karkoubi ou bolat)), un comprimé fabriqué en Algérie et presque exclusivement destiné au Maroc. Une plaie qui, au-delà de son impact sur l’économie nationale, a des effets désastreux sur une partie de la jeunesse marocaine. Ces psychotropes portent le label de la société étatique Saïdal qui détient le monopole de l’industrie pharmaceutique en Algérie et qui commercialise, sans contrôle, des poisons notamment sous le nom de Valzépam, puisque ce comprimé de couleur bleue, très prisé par les jeunes, mais aussi le Rivotril, autre psychotrope fabriqué par Saïdal et tout aussi dangereux. * Selon les experts, ce médicament déclenche chez le consommateur une « toxicophilie » ou une dépendance inexorable et est à portée de main des trafiquants qui bénéficient de la complicité de grossistes en médicaments sans scrupules et qui jouissent, eux aussi, du laxisme des autorités algériennes et d’une législation permissive. Raison pour laquelle, le trafic est devenu très lucratif pour certains réseaux du « trabendo » et est même devenu juteux pour certaines officines pharmaceutiques opérant dans les villes algériennes de la région limitrophe du Maroc et a atteint des proportions très inquiétantes. Même les terropolisariens y sont impliqués, puisque déjà en octobre 2009 il a été découvert dans l’épave d’un Boeing 727 calciné dans le secteur de Bourem, au Nord du Mali, des tonnes de cocaïne provenant de l’Amérique Latine (Venezuela) et destinées à Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI). Sur ce point, il convient de dire que les forces de sécurité maliennes, qui luttent contre le trafic de drogue dans la région saharienne, ont démantelé un important réseau connu sous le nom de « Polisario ». Cette appellation s’expliquerait par la proximité entre les trafiquants et le soi-disant mouvement indépendantiste du Sahara occidental. Ce principal réseau de trafiquants dans la zone du Sahara était surnommé « Polisario » parce qu’il était composé à plus de 90 % de polisariens issus des camps des séquestrés Sahraouis marocains de Tindouf, selon une source sécuritaire nigérienne interrogée à Bamako, qui vient d’être démantelé dans la bande saharienne. Parmi les personnes arrêtées figurent Breika Ould Cheikh, présenté comme un élément du polisario, Farha Ould Hmoud Ould Maâtallah, ancien militaire vivant dans les camps de réfugiés sahraouis marocains de la région de Tindouf, ainsi que Lahcen Ali Ould Brahim, surnommé « Grandayzar », né en Algérie. Pour toutes ces raisons, on peut affirmer, sans risque de se tromper, que le régime algérien est bien impliqué dans le trafic et la production de drogues dures et douces et que Sahel-Algérie-Europe constitue le nouvel axe du trafic du trafic mondial de cocaïne. Farid Mnebhi.